Alors que Yukihira demande à Hasumi de lui trouver des informations concernant Kiyoko Makimura, Satou se rend au domicile de la gouvernante, mais trouve porte close. Les inspecteurs de police se sont déployés dans tout le quartier pour vérifier toutes les terrasses susceptibles d'être el lieu du crime ; mais vérifier les 4000 possibilités qui s'offrent à eux s'avère une épreuve insurmontable et tous comptent sur la chance de tomber au bon endroit. Ando pense qu'il faut avertir les médias et obtient de sa partenaire l'autorisation d'en parler au Chef Yamaji.
Persuadé que sa fille est en danger, Satou se rend à l'agence où il apprend que Makimura a perdu son mari et sa petite fille dans un accident de voiture. Yukihira, toujours à ses recherchent, reçoit un coup de fil de Sezaki, qui la remercie pour la nuit précédente et souhaite la revoir lorsqu'elle aura résolu son enquête.
De son coté, Morikawa négocie avec Kurumi : son prochain roman contre la possibilité de lire le manuscrit du tueur. Sezaki n'apprécie pas la manoeuvre et donne sa démission, que son patron refuse.

Mais contre toute attente, les médias révèlent que la police patauge dans son enquête et invite la population à surveiller les toits d'immeubles par mesure de sécurité. au téléphone, Yukihira remercie son ex-mari.
Et grâce à Mikami, l'enquête fait un bon en avant : en écoutant la conversation téléphonique du tueur chez l'éditeur, il a peu isoler des bruits environnementaux et ainsi cibler la position probable de l'assassin au moment de son appel. Yukihira arrive sur les lieux la première et découvre le corps sans vie de Tadahito Hirai.
Soulagé par la nouvelle, Satou joint Makimura qui s'excuse d'avoir laissé son portable éteint durant la journée et lui annonce qu'elles rentrent. Mais à peine a-t-elle raccroché qu'un individu lui reprend son téléphone et la fait monter dans un fourgon en compagnie de Mio.

Hirai tient dans sa main l'un des fameux marque-pages. En se mettant à sa place, Yukihira aperçoit une enveloppe, qui contient la suite du roman.
Satou assite pendant ce temps à la conférence de presse où la police est bien embarrassée de devoir reprendre tout à zéro depuis la mort de leur principal suspect. L'inspectrice, toujours dans ses pensées, se rappelle des conversations qu'elle a eu avec Sezaki ; des conversations au contenu parfois étrange, comme à double sens. Elle décide de se rendre aux éditions Iwasaki pour en avoir le coeur net.
Là-bas, Sezaki a emmené son patron sur le toit. Ne supportant plus son cynisme, il commence à el frapper violemment. Lorsque Yukihira arrive sur place, il est cependant seul. Une rpaide discussion lui permet de confirmer ses doutes : Sezaki est bien le tueur au manuscrit. Celui-ci récupère un Morikawa mal en point dans une des cages électriques et menace de lui trancher la gorge si Yukihira ne lui tire pas dessus. Apprès un instant d'hésitation, la jeune femme accède à sa demande et l'abat froidement..

Alors que le cadavre est évacué, Mikami remet à yukihara une lettre trouvé de la poche du tueur : celui-ci avait écrit la fin du roman à l'avance, persuadé du comportement qu'adopterait l'inspectrice. L'inspection de l'appartement permet de découvrir les originaux du romans, prouvant de façon irréfutable la culpabilité de Sezaki.
Kurumi est lui assailli par les journalistes, qui s'intéressent principalement à la rumeur qui fait de Hirai son nègre. L'écrivain la prend sur le ton de la plaisanterie et annonce la sortie prochaine de son nouveau roman. Un roman rédigé par Miki Hashino, la remplaçante d'Hirai.

Mais alors que tout le monde se félicite de la fin de cette histoire, Satou toruve sa maison vide. Et Yukihira reçoit un coup de téléphone d'un homme qui prétend retenir sa fille.