Résumé

Tarou s'est bien remis de sa chute. A l'hôpital où Masayuki est venu le voir, il rencontre le Dr. Ootori qui lui explique en partie le fonctionnement du cerveau et la cause probable de ce qui ne seraient que des hallucinations (et non des phénomènes paranormaux). Pourtant, il reste persuadé d'avoir voyagé à l'intérieur même de son cerveau.

Pendant ce temps, Makoto cherche à en savoir plus sur le suicide de son père et se rend au bureau de Motoi Yazaki, qui le connaissait bien...

Synopsis de l'épisode

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Scénariste(s) : Chiaki Konaka

Réalisateur(s) : Ryuutarou Nakamura

Acteurs présents : Jun Fukuyama (Masayuki Nakajima), Souichirou Hoshi (Makoto Oogami), Kenshou Ono (Tarou Komori)

Guest Star(s) Récurents : Yoshinori Fujita (Dr Atsui Hirata) [x15], Michiko Neya (Reika Ootori) [x14], Tooru Ookawa (Yasuhiro Nakajima) [x9], Mitsuki Saiga (Kei Yakushi) [x11], Fumihiko Tachiki (Ryouya Komori) [x10]

Guest Star(s) : Eiji Miyashita (L'Urgentiste), Kaori Shimizu (La Voix intérieure), Jin Urayama (Motoi Yazaki)

Le Syndrome de Charles Bonnet tient son nom du naturaliste genevois qui en fit la description en 1760. Il se traduit par des hallucinations visuelles, faisant percevoir les personnes et objets plus petits qu'il ne sont en réalité. Cela n'est pas considéré et ne s'accompagne pas d'un trouble mental.
On le diagnostique surtout chez des personnes âgées victimes de dégénérescences de la vue.


Le Syndrome de Capgras (ou délire d'illusion des sosies de Capgras) est un toruble psychiatrique dans lequel la personne, bien que capable d'identifier des visages, est persuadée que tout son entourage a été remplacé par des sosies. Cette situation est très mal vécue et peut provoquer des réactions agressives.
Les dernières théories tendent à penser que le lien entre la reconnaissance visuelle et le souvenir affectif ne s'opère plus.


Le Syndrome de Cotard, du nom du neurologue français, constitue un état délirant et hypocondriaque. Il est consécutif à une dépression mélancolique et est associé à la damnation, à des négations d'organes ou même de corps. Contrairement à l'hypocondrie névrotique, la personne ne consulte pas et ne pense pas pouvoir être aidée. Le risque de suicide est très important et nécessite un internement psychiatrique.

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Mise à jour le : 16/10/2010 à 21:07