Et Dieu Créa les Femmes Titre original : The Story of Lucy and Jessie Saison 5 - Episode 17 | N° dans la série : 105 | N° de Production : 5171ère Diffusion (Originale) : 15/03/2009 - (Française) : 28/05/2009 RésuméEn tentant d’impressionner Jessie, une collègue qui doit évaluer ses capacités en tant qu’institutrice, Susan passe, aux yeux de celle-ci, pour une lesbienne. De son côté, Gaby convainc Carlos d’embaucher Lynette car elle veut que cette dernière espionne Lucy, une ex-petite amie et désormais collaboratrice de Carlos.Pendant ce temps, alors que la kleptomanie d’Orson empire et que Bree fait tout son possible pour que personne ne le découvre, Edie continue à fouiller minutieusement le passé de Dave qui prépare sa vengeance. Synopsis de l'épisodeDistribution & Production principale Scénariste(s) :
Jordon Nardino
Réalisateur(s) : Bethany Rooney Acteurs présents : Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Neal McDonough (Dave Williams), Doug Savant (Tom Scavo), Nicolette Sheridan (Edie Britt) Guest Star(s) Récurents : Kevin Rahm (Lee McDermott) [x27] Guest Star(s) : Lesley Boone (Lucy Blackburn), Davis Cleveland (Jeffrey), Kevin Cooney (Owen Johnson), Caroline Fogarty (Jody), April Hong (Réceptionniste), Laura Ann Kesling (Mia), Swoosie Kurtz (Jessie), Ken Lerner (Dr Bernstein), Quinton Medina (Charlie), Bevin Prince (Mariana), William Schallert (Ken), Melissa Strom (Nikki), Marc Valera (M. Vivinetto) Notes de production * Notes : - Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est "Des Intentions Cachées". - Cet épisode marque la 100ème apparition de Ricardo Antonio Chavira dans le rôle de Carlos Solis. - Swoosie Kurtz (Jessie) est principalement connue pour avoir joué dans les Liaisons dangereuses avec Glenn Close et John Malkovich (1988). Après deux apparitions dans la série Huff en 2004, elle participe à l’épisode 19 de la saison 1 (“Tombé du ciel”) de Lost dans le rôle de la mère de John Locke. En 2007, elle incarne le rôle de Lily dans la série Pushing Daisies. - Dates des diffusions internationales : ● Amérique Latine : le 27 mai 2009 sur Sony Entertainment Television (Canal Sony). ● Australie : le 8 juin 2009 sur Channel Seven/7HD. ● Les Pays-Bas : le 1er septembre 2009 sur Net5. ● Finlande : le 7 septembre 2009 sur Nelonen. ● Allemagne : le 7 octobre 2009 sur ProSieben. * Allusion : - Le titre de l’épisode en version originale, “The story of Lucy and Jessie”, fait parti des paroles d’une chanson d’une comédie musicale jouée à Broadway, datant de 1971, dont l’auteur est Stephen Sondheim et qui porte le titre de Follies. * Citations : Mary Alice (en voix d’ouverture) : - Gabrielle Solis avait horreur des enterrements. Pour toutes sortes de raisons : le noir ne lui allait pas, les pleurs la déprimaient et les lys la faisaient éternuer. Et puis, Gabrielle méprisait tous les évènements dont elle n’était pas le centre d’intérêt. Par chance, à cet enterrement, elle n’aurait pas ce problème. (Jodie demande à Gaby ce qui s’est passé quand Bradley, le patron de Carlos, est mort. Gaby demande à Carlos de rentrer et Carlos de voit offrir le poste de son ancien patron). Oui, Gabrielle Solis avait horreur des enterrements (Carlos demande à Gaby d’arrêter de sourire.). Surtout parce qu’elle était incapable de prendre un air triste quand elle ne l’était pas. Mary Alice (en voix d’ouverture) : - On en trouve sur tous les trottoirs de n’importe quelle ville. Des gens avec des intentions précises : la femme qui appelle une vieille amie parce qu’elle veut emprunter de l’argent, l’homme qui emmène son patron déjeuner parce qu’il veut le bureau avec fenêtre, la jeune fille qui s’occupe de son vieil oncle parce qu’elle veut être couchée sur son testament. Oui, on les trouve quasiment partout, faisant tout leur possible pour ne pas dévoiler leurs intentions. Bree (s’arrêtant devant Susan et Gaby) : - Sur qui on médit, là ? Pas sur moi, j’espère. Susan : - Non, on s’est déjà occupé de ton cas. Gabrielle : - On est passé à ma fille, la vilaine voleuse. Bree : - Oh Seigneur, que se passe-t-il ? Susan : - Ma coupelle à bonbons a disparu. Je l’avais encore hier soir quand vous êtes venus dîner puisque je me souviens qu’Orson l’a admirée. Bree : - Oui, je… je m’en souviens moi aussi. Gabrielle : - Bon, bref. Juanita est allée chez Susan ce matin pour inviter M.J. à la fête d’anniversaire. Et comme on le sait, les bonbons et Juanita, il n’y a pas besoin d’être Sherlock Holmes pour élucider l’affaire. Nikki : - Mariana, mon intuition me disait que j’allais te croiser ici. Mariana : - Salut, Nikki. Et Anna va débarquer d’un moment à l’autre, non. Nikki : - Non, Anna est enceinte. T’es pas au courant ? Mariana : - C’est pas vrai, un enfant ? Elle vient d’avoir trente ans. Mais c’est la mort de sa carrière. Nikki : - Oh non, arrête. Et moi qui vais avoir trente deux ans. Han, si tu savais comme je me sens vieille. Encore plus triste dans le genre. J’ai appris que Veronica cherchait du travail et elle a trente neuf ans. Mariana : - Dans ce milieu ! Oh, oh, mais après trente cinq ans, ils te font sortir à reculons et ils te tirent dans la figure. (Les deux amies rigolent.) Femme : - Lynette Scavo. On va vous recevoir. Lynette : - J’arrive. (S’adressant aux deux femmes.) Vous voulez être gentilles, si vous entendez un coup de feu, dites à mes quatre enfants que je les aime. Jessie (s’adressant à Susan) : - Susan, leurs parents déboursent 22 000 dollars par an pour les scolariser ici. Notre rôle à nous, professeurs d’arts graphiques, consistent à leur fournir un truc adorable à poser sur leur bureau qui les font sourire quand ils libellent le chèque pour les frais de scolarité. Non, mais (prenant le dessin d’une petite fille) personne ne trouvera ces espèces de pattes de mouche adorables (elle repose le dessin et la petite fille la regarde d’un air triste). Pas le tien, Mia, ton dessin est réellement prometteur. Mia : - J’espère qu’ils vont pas vous renvoyer. La dame au pull violet aussi, elle s’est disputée avec Mme Jessie et elle est plus là. Susan : - La dame au pull over violet ? Mia : - Je n’ai jamais su son nom, elle est partie tellement vite. Elle était créative, elle aussi. Bree (se tenant devant tous les objets volés par Orson) : - Je t’écoute. Orson : - Que veux-tu que je dise ? Bree : - Explique-moi pourquoi tu persistes à avoir cette conduite insensée. Quand tu as volé le dictaphone, tu as dis qu’il s’agissait d’un dérapage, d’un acte de vengeance impulsif. Orson : - C’était le cas. Au début. Mais ensuite… ça va te paraître étrange mais… ça a commencé à m’exciter. Bree : - A t’exciter ? Voler un canard en céramique gris ça t’excite vraiment ? Dave : - Cette virée c’est aussi bien pour Katherine que pour nous deux. Dis-lui qu’elle doit nous accompagné. Mike : - Ecoute, Dave, et d’une je ne lui dis jamais ce qu’elle doit faire et de deux, on sera mieux entre mecs. On pourra roter et se gratter tout ce qu’on veut. Et puis, de toute façon, à la base, elle faisait pas partie du projet. Jessie : - Vous m’écoutez pas. Je vous dis pas que je renonce à l’amour subitement, Susan, je vous dis que j’y ai déjà renoncé. Susan : - Non, je ne vais pas vous laissez faire ça. Vous êtes brillante et marrante et adorable. Jessie : - Oh, vous trouvez ? Ça faisait longtemps qu’on m’avait pas fait un compliment de ce genre. Susan : - Je suis sincère, vous rendriez plus d’une personne heureuse, vous. (Lui mettant la main sur le genou.) Vous êtes canon. (Regardant sa montre.) Oh, la la la, j’ai pas vu l’heure passée. Est-ce que dans le règlement, il est interdit d’arriver ivre à l’école ? Jessie : - C’est vu d’un mauvais œil. Gabrielle : - D’accord, et de quelle sorte de baiser on parle ? Susan : - Un baiser normal sur la bouche qui a duré un peu plus longtemps que j’aurais cru. Lynette : - Est-ce que c’était un bon vieux baiser romantique ? Ou plutôt le niveau au-dessus, est-ce qu’elle t’a roulé une pelle (faisant le geste) ? (Après les deux baisers de Gaby.) Susan : - Le deuxième. Lynette : - Félicitations, Susan, tu sors avec une lesbienne. Lee : - Rendez-vous à la gay pride. Lynette : - Gaby. J’aurais quelque chose à te demander mais tu as le droit de dire non. Gaby (croyant qu’elle parle de son baiser donné à Susan) : - Pff, je suis flattée mais je ne l’ai fait que pour aider Susan. Lynette : - Tu sais que je cherche du boulot en ce moment ? Gaby : - Ah oui, qu’est-ce que ça donne ? Lynette : - C’est dur. Figure-toi que pendant que je travaillais au resto, j’ai vieilli de sept ans et ça fait bizarre de voir que de leur côté, tous les cadres dirigeants ont rajeuni de sept ans. Le problème c’est que personne ne veut recruter une femme qui aurait pu flirter avec leurs pères au bal du lycée. Gabrielle : - Lucy Blackburn ! Je t’en prie, dis-moi que c’est une coïncidence que ton nouveau bras droit porte le même nom que ton ex copine. Carlos : - C’était pas ma copine. On était colocataire, on vivait dans le même appart. Gabrielle : - T’as quand même couché avec elle. Carlos : - Oui, euh, c’était un tout petit appartement. Arrête, c’était juste comme ça, c’était il y a un million d’années. Gabrielle : - Ça m’est égal. Pourquoi tu me l’as pas dit avant que cette nana soit sur le point de sonner à ma porte. Carlos : - J’en ai eu l’intention mais tu étais toujours à côté d’un couteau. Gabrielle (parlant de Lucy Blackburn) : - T’as dû être surpris quand tu as ouvert la porte ? Carlos : - Comment ça ? Gabrielle : - J’veux dire. C’est clair qu’elle ne compte plus les calories depuis la dernière fois que tu l’as vue. Carlos : - Elle a toujours été comme ça. Gabrielle : - Quoi ? Mais, tu couchais avec elle ? Carlos : - Oui, ça te surprend ? Gabrielle : - Ok, qu’il n’y ait pas de malentendu, elle est attirante. Le truc c’est que ton type de femme c’est plus le mannequin ultra mince. Carlos : - C’est sur que tu ne la verras jamais sur un podium. Gabrielle : - Sauf, peut-être, au championnat de sumo. Carlos : - Gaby, tu me crois aussi superficiel que ça, il n’y aurait que l’apparence qui compte ? Gabrielle : - Oui, je croyais qu’on avait ça en commun. Lynette (parlant de l’employeur qui lui a fait passer un entretien d’embauche) : - Rien, il n’a même pas bronché. Je lui ai dit que j’avais 54 ans et il l’a gobé. Il a pas dit « waouh, vous êtes supère pour votre âge », tu crois qu’il aurait fait celui qui n’en revient pas ? Tom : - Ecoute, il t’a filé ce job. Tu vas gagner 80 000 dollars par an, chérie, ça n’a aucune importance. Lynette : - Si, mais si, voyons. Parce que j’ai 43 ans et j’en fais seulement 39. Tom : - T’as 43 ans ? Mais moi j’ai deux ans de moins que toi… Lynette : - Je m’en fiche de l’âge que t’as. Jessie : - Susan, j’étais comme vous il y a vingt ans. Vous êtes de toute évidence angoissée à l’idée que la lesbienne qui est en vous essaie de sortir. Susan : - En réalité, ce qui m’angoisse franchement c’est la lesbienne qui est déjà dehors qui me fait du rentre dedans. Susan (aux enfants) : - J’adore les rhinocéros. Jessie : - Ah bon, vous êtes sûre ? Susan : - Excusez-moi. Jessie : - Je veux dire, si vous faisiez un safari et que vous voyez une élégante gazelle à côté d’un rhinocéros entrain de grogner et en sueur, vos yeux ne se poseraient pas aussitôt sur la gazelle ? Susan (comprenant l’allusion de Jessie) : - Même s’il ne fait aucun doute que je verrais et apprécierais la beauté de la gazelle, si je devais voyager dans un des nombreux pays d’Afrique, je serais quand même plus excitée à la vue d’un rhinocéros. Jeffrey : - Moi aussi j’aime les rhinocéros. Jessie (à Jeffrey) : - Nous le savons, Jeffrey, nous t’avons tous vu jouer à la marelle à la récréation. Lucy Blackburn (en parlant de Carlos) : - Lui et moi, on a vécu ensemble dans une vie antérieure. Lynette : - Oh, c’est drôle, Gaby ne m’a rien dit. Lucy Blackburn : - C’est ça que j’aime justement chez elle. Beaucoup de femmes seraient folles de jalousie si leur mari engageait une de ses ex et s’ils bossaient ensemble sans que quelqu’un les surveille, mais elle a assez confiance en elle pour laisser courir. Lynette : - Oui, oui. Cette Gaby, qu’est-ce qu’elle est classe. Lynette : - Le rideau est tombé, tu peux arrêter cette comédie. Si tu m’as aidé pour ce travail c’est parce qu’il te fallait quelqu’un qui les espionne. Gabrielle : - Comment oses-tu mauvaise langue ? Eh oui, c’est vrai. Dr Bernstein : - Souhaitez-vous commencer par une thérapie de couple, tous les deux ? Bree : - Ce n’est pas moi le problème, Dr Bernstein. C’est Orson, le malade. Soignez-le je vous prie (elle s’en va). Orson (au Dr Bernstein) : - Savez-vous pourquoi elle est en colère ? (Le Dr Bernstein fait non de la tête.) Parce qu’elle n’a strictement aucun contrôle là-dessus. Et… je trouve ça jouissif (il sourit). Mary Alice (en voix de clôture) : - On en trouve pratiquement partout. Des gens aimables avec des intentions cachées : la femme qui sert de sa voisine pour décrocher un poste, l’épouse qui se sert de son influence pour faire embaucher une amie qui espionnera pour elle, un mari qui se sert de son charme pour voler ses amis. Et une chose est sure, les plus aimables d’entre eux ont des intentions qui ne seront percées à jour que lorsqu’il sera déjà trop tard. Membres additionnels de la production Producteur exécutif :
Matt Berry (II), Marc Cherry, Alexandra Cunningham, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif : Dave Flebotte, Lori Kirkland Baker Producteur : Stephanie Hagen, Charles Skouras III Producteur superviseur : Jamie Gorenberg Producteur consultant : Jeff Greenstein Musique : Steve Jablonsky Montage : Andrew Doerfer Directeur de la photographie : Eric Van Haren Noman Création des décors : P. Erik Carlson
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