Piège en Forêt Titre original : A Spark. To Pierce the Dark. (1) Saison 5 - Episode 18 | N° dans la série : 106 | N° de Production : 5181ère Diffusion (Originale) : 22/03/2009 - (Française) : 28/05/2009 RésuméTandis que Bree commence à prendre conscience qu’il faudrait qu’elle abandonne son entreprise pour sauver son mariage, Lynette a du mal à supporter Lucy lorsque celle-ci la menace de licenciement.Susan a pour élève Evan, le fils de Karl, son ex-mari, et s’inquiète de voir l’enfant dessiner des meurtres. Dave entame la dernière phase de son plan alors qu’Edie se rapproche de plus en plus des réelles intentions de ce dernier. Ce qui ne sera pas sans conséquence pour elle. Synopsis de l'épisodeDistribution & Production principale Scénariste(s) :
Alexandra Cunningham
Réalisateur(s) : David Grossman Acteurs présents : Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Neal McDonough (Dave Williams), Shawn Pyfrom (Andrew Van De Kamp), Doug Savant (Tom Scavo), Nicolette Sheridan (Edie Britt) Guest Star(s) Récurents : Daniella Baltodano (Celia Solis) [x48], Richard Burgi (Karl Mayer) [x20], Charlie Carver (Porter Scavo) [x18], Madison De La Garza (Juanita Solis) [x13], Kathryn Joosten (Mme McCluskey) [x6], John Rubinstein (Principal Hobson) [x7] Guest Star(s) : Lesley Boone (Lucy Blackburn), Sawyer Church (Evan Mayer), David Grant Wright (M. Dinsmore), Ken Lerner (Dr Bernstein), Gloria LeRoy (Rose Kemper), Quinton Medina (Charlie), William Schallert (Ken) Notes de production * Notes : - Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est "Un Plan d'Une Grande Simplicité". - C’est le second épisode (le premier était l’épisode 14, saison 3 (“Souviens-Toi… l’An Dernier”) qui se termine par “A suivre”. Les deux ont été utilisé pour deviner si un personnage survit ou pas à une situation dangereuse. Dans l’épisode 14 de la saison 3, Mike pousse Orson dans le vide et dans cet épisode, Edie est électrocutée. - Dates des diffusions internationales : ● Amérique Latine : le 3 juin 2009 sur Sony Entertainment Television (Canal Sony). ● Australie : le 15 juin 2009 sur Seven à 20h30. ● Les Pays-Bas : le 8 septembre 2009 sur Net5. ● Finlande : le 14 septembre 2009 sur Nelonen. ● Allemagne : le 14 octobre 2009 sur ProSieben. * Allusions : - Edie découvre que Dave s’est marié avec elle seulement pour atteindre son but : faire souffrir Mike. C’est une allusion au roman de Nabokov (publié une première fois à Paris, en 1955 dans sa version originale, et en 1959 en français), intitulé Lolita. En effet, dans ce roman, Charlotte Haze se marie avec Humbert Humbert, professeur de littérature, et, peu après son union, découvre le journal intime de son mari où celui-ci décrit dans un crescendo érotique son attirance pour sa fille âgée de 12 ans, surnommée Lolita, et son dégoût de la mère. De plus, Edie meurt d’un accident de voiture peu de temps après qu’elle ait découvert la vérité. Or, dans le roman de Nabokov, Charlotte Haze, choquée par sa découverte, s’enfuit précipitamment de chez elle et meurt quelques minutes plus tard, en traversant la rue, renversée par une voiture. - Le titre de l’épisode en version originale, “A Spark. To Pierce The Dark”, fait parti des paroles de la chanson Broadway Baby tirée de la comédie musicale jouée à Broadway, datant de 1971, dont l’auteur est Stephen Sondheim et qui porte le titre de Follies. * Citations : Mary Alice (en voix d’ouverture) : - Dave Williams avait préparé le meurtre pendant des années. Et comme tous les excellents plans, le sien était d’une grande simplicité. Pour commencer, il emmènerait Mike Delfino et Katherine Mayfair dans un chalet isolé. Le lendemain matin, il ferait semblant d’être endormi quand les deux amoureux partiraient en randonnée. Une fois seul, il sortirait l’arme qu’il avait soigneusement cachée et il partirait sur les traces de ses proies. Il attendrait que le couple s’arrête un instant pour reprendre son souffle et là, il appuierait sur la détente. Brisant ainsi le cœur de l’homme qui avait tué sa femme. Quand les rangers arriveraient, ils évoqueraient les braconniers qui sévissaient dans le secteur et Dave reconduirait Mike chez lui, tout en savourant le chagrin de ce dernier. Oui, Dave Williams avait mis au point un plan d’une grande simplicité. Mais, comme il n’allait pas tarder à le découvrir (l’archiviste demande à son employé d’envoyer l’article qui parle de Mike à Edie Williams), rien n’est jamais simple quand il s’agit d’un meurtre. Mary Alice (en voix d’ouverture) : - La vie est pleine de mauvaises surprises. De chocs désagréables qui secouent notre organisme à tel point que notre cœur fait des bonds. Et ces surprises arrivent toujours quand on s’y attend le moins. Susan : - Karl, je peux savoir ce que tu fais ici ? Karl : - Oh, je suis venu inscrire Evan. Susan : - Waouh, et dire que j’avais tellement peur qu’on soit définitivement sortis de nos vies l’un et l’autre. (Serrant les dents.) Quelle chance ! Karl : - Et toi, qu’est-ce que tu fais ici ? Susan : - Je suis prof d’arts graphiques. Karl : - Non, sans blague. Et ils le savent, ça ? Karl : - Raconte, Suzie jolie, qu’est-ce qui va pas ? Hein, dis-moi ce que t’as sur le cœur caché derrière cette poitrine qui attend toujours ses implants. Susan (mettant la main sur sa chemise) : - Ecoute, c’est déjà limite d’avoir un de mes ex maris qui se balade dans les couloirs. Et je ne veux pas qu’en plus ils apprennent que j’en eu deux. Alors pas un mot sur le fait qu’on ait été mariés et plus de vannes douteuses, ni de “Suzie jolie”. Je suis Melle Susan, prof d’arts graphiques. Karl : - Bien, Melle Susan. (Susan prend son matériel resté sur le banc.) Est-ce que je pourrais jouer avec votre brosse après le cours ? Susan : - Karl, je suis sérieuse. Ne me cherche pas. J’ai une règle et j’aurais pas peur de m’en servir. (Karl rigole) Lucy (voyant Lynette déplacer une de ses figurines) : - Mais enfin, Lynette, qu’est-ce que vous faites ? Ne touchez pas à mes figurines ! Elles valent plus que la maison où vous vivez. Lynette : - Et alors ça vaut aussi pour ce mugg (parlant de la tasse qu’elle tient). Carlos : - Ah au fait, Tom et toi, vous venez prendre l’apéro samedi ? Lynette : - Oh oui, je compte bien me soûler et me plaindre de mon patron. Bree : - Et bien, quelle est donc cette “révélation” que vous me cachez tout en me prenant 200 dollars de l’heure ? (Le Dr Bernstein fait un signe de tête à Orson.) Orson : - Je veux te faire du mal. Bree : - Pour quelle raison voudrais-tu me faire du mal ? Orson : - L’an dernier tu t’es employé, quotidiennement, étape par étape, avec une incroyable minutie, à faire de moi quelqu’un qui n’est pas loin d’être un eunuque. Bree (au Dr Bernstein) : - Voudriez-vous nous excuser, un moment. (Regardant Orson) C’est désormais une conversation à caractère privée. Dr Bernstein : - En restant là, je pourrais peut-être vous être utile ? Bree : - Vous voulez être utile ? Et bien dans ce cas docteur (sortant un billet de son sac), descendez à la pharmacie juste en bas pour m’acheter de l’aspirine. Je vais en avoir besoin. (Elle lui tend le billet et lui fait signe de sortir.) Gabrielle : - Hey, ça ne tente pas un câlin vite fait ? Carlos : - J’ai pas le temps, bébé. Gabrielle : - Très juste. C’est pour ça que je ne te propose pas la totale ! Oh, allez mon chéri. Je te jure que je vais te faire grimper au rideau en trois minutes, montre en main. (Elle s’assoit sur la table.) Carlos : - Attends, tu veux faire ça là ? Devant les gobelets des filles ? (Gaby met les gobelets des filles par terre.) Gabrielle : - C’est réglé, allez, on y va. Ça va nous rappeler le bon vieux temps. Carlos : - On l’a jamais fait sur la table. Gabrielle : - Oh mais si, il y a des années. Tu te souviens pas ? Carlos (repoussant Gaby) : - Je pense pas que c’était moi. Gabrielle (réfléchissant) : - Oh exact. Grâce à la table, on va se créer de nouveaux souvenirs. Carlos : - Si tu essayais de m’allumer, tu viens d’échouer lamentablement. Gabrielle : - Tu me manques, je veux passer du temps avec toi. Arrête de faire ta mijaurée et saute-moi. Carlos : - Pourquoi pas demain soir ? Gabrielle : - Ouais, je connais ça par cœur. Et bien sur, demain soir, tu seras fatigué. Carlos : - Très bien. Ben alors, ce week-end. Je serai tout à toi. Et on pourra essayer autant de meubles que tu voudras. Tom : - Dis donc, qu’est-ce que vous faites quand vous vous réunissez ? Gabrielle : - On se raconte surtout des potins. T’en aurais pas un sous le coude ? Tom : - Ed Simmons s’est acheté une bécane très chère. Gabrielle : - OK, je crois que je vais rentrer. Tom : - Allez, non, mais je manque de pratique à ce jeu-là, soit indulgente. Gabrielle : - D’accord. On va commencer par quelque chose de plus simple. Se plaindre. Tom : - Ah ça, ça va, je sais le faire. Vas-y plains-toi. Gabrielle : - Bon. Je suis super remontée après Carlos. Il est tout le temps au travail et quand il rentre, il est trop crevé pour faire quoi que ce soit. Et par quoi que ce soit, j’entends rapports sexuels. T’es gêné Tom ? Tom : - Un peu. Continue. Gabrielle : - Jamais, on a eu un creux aussi long, ça va bientôt faire deux semaines. Tom : - Deux semaines ! Et t’appelles ça un creux toi ? Gabrielle : - Oui, ces derniers temps Carlos n’a pas envie. Tom : - Tut ! Erreur. Nous, les garçons, on a toujours envie. Gabrielle : - C’est vrai ? Tom : - Si je te le dis. Gabrielle : - Même si vous rentrez tard et que vous êtes fatigués ? Tom : - Ouais. Et même si on est HS et qu’il est tard et qu’un malade nous a tiré dans la cuisse, deux fois, l’envie est toujours là. Tout ce que tu dois faire c’est contourner l’adulte fatigué et trouver l’ado en rut qui se planque derrière. Gabrielle : - Han ! Très intéressant. Je te trouve très doué en conversation de filles. Tom : - Merci (il rigole). Ah au fait, euh… Lynette, est-ce qu’elle vous parle de moi et de sexualité ? Gabrielle : - Maintenant, il faut que je rentre. Karl : - Je crois que ça suffit, maintenant. Allons droit au but. On sait que tu me hais et que tu ne veux pas de mon fils dans ta classe. Susan : - Mais, non, c’est faux, ça. Karl : - Mais c’est la vérité. Aujourd’hui, je paie encore pour ce qui s’est passé entre nous deux. Tu n’as pas tourné la page et bien sur c’est ma faute si t’as foiré ta vie. Susan : - Alors qu’on appelle le Guinness là, parce que tu viens de battre le record du monde du plus grand nombre de conneries débitées en une phrase. Karl : - Oh mais va te faire voir. Mr Hobson : - Je suis parti combien de temps ? Susan (regardant Mr Hobson) : - C’est rien, Mr Hobson. Nous avions juste une… divergence d’opinion. Karl (s’adressant à Mr Hobson) : - Oui et mon opinion c’est que votre enseignante ne fait pas la différence entre des problèmes qualifiés d’émotionnels et la créativité. Susan (regardant Karl) : - La ferme, Karl. Mr Hobson (s’adressant à Susan) : - Excusez-moi mais vous venez vraiment de lui demander de la fermer ? (Susan fait un haussement d’épaules.) Karl (s’adressant à Susan) : - C’est typique comme comportement, c’est du “Susan pur jus”, ça. Et tu te demandes pourquoi aucun homme n’a envie de rester avec toi ? (Susan lance un pot de peinture à la figure de Karl.) Susan (regardant Mr Hobson) : - Vous trouveriez ça moins choquant si je vous disais que nous avons été mariés pendant douze ans ? Edie : - Et voilà. (Donnant le sac de courses à Mme McCluskey) Tout le reste est à vous, Karen. Mme McCluskey : - Merci. Je sais pas ce que j’ai, à chaque fois que je fais les courses, j’oublie des trucs. Edie : - Moi, je sais. Vous êtes trop vieille. Mme McCluskey : - Où est-ce qu’il est Dave ? Edie : - Parti camper. Mme McCluskey : - Parti camper ? Oh qu’est-ce que c’est sympa. Communier avec la nature tout en étripant une clique d’adolescents venus camper leur classe. Oh oui, je suis bien contente pour lui ! Lucy Blackburn : - C’est ça votre défense ? Vous étiez convaincue que votre trahison n’avait rien donnée ? Lynette (mettant la main dans ses cheveux) : - C’est pas très convaincant, je dois l’admettre. Mais… en attendant mieux de trouver mieux. Lucy Blackburn : - OK ! Si jamais vous aviez d’autres reproches, vous savez où me trouver. (S’apprêtant à sortir de son bureau.) Oh, eh euh… en ce qui concerne le vendredi soir, voyez-le comme une mesure définitive. Rassurez-vous, si vous êtes aussi douée pour entraîner que vous l’êtes pour le relationnel, votre gamine, elle va pas manquer grand-chose. Bree : - Orson, songe à la manière dont j’ai monté cette affaire, en partant de presque rien. Tout cela me remplit de joie, de fierté, j’ai le sentiment d’avoir accompli quelque chose. Oh, veux-tu réellement que j’abandonne une chose pareille ? Orson : - Oui ! Orson : - Bree, tu as oublié mon problème. Je vais peut-être recommencer à voler. Bree : - Vole ce qu’il te plait, mon chéri. Mais ce ne sera pas mon entreprise. Katherine : - C’est quoi ton secret ? Dave : - Je me suis rendu compte, à force d’attendre que quelqu’un vienne régler ce qui clochait, que personne ne viendrait. Que je devais me débrouiller. J’ai dû décider de ce qui était important, je suis allé le chercher. J’ai tout fait pour me sentir bien. Katherine : - Et là, tu te sens bien ? Dave : - Ça va venir. Carlos : - Salut, ma puce, t’es pas encore couchée. Gabrielle (enlevant sa robe de chambre en soie) : - J’arrivais pas à dormir. J’avais un peu chaud (elle porte un déshabillé très sexy). Là, c’est mieux. (S’approchant de Carlos) Toi aussi, t’as l’air d’avoir un peu chaud. Carlos : - OK, je sais où tu veux en venir. Gabrielle (enlevant la cravate de Carlos) : - Si ce que tu dis était vrai, t’aurais le pantalon sur les chevilles, à l’heure qu’il est (elle pousse Carlos sur le lit). Carlos : - Gaby, qu’est-ce que tu fais ? Gabrielle : - Je libère l’adolescent en rut qui est en toi. Allez, y a une paire de lolos qui t’attend. Carlos : - Oh, bon sens, Gaby, on a dit qu’on attendait le week-end, je suis fatigué. Gabrielle : - C’est pas mon problème (elle arrache la chemise de Carlos). Carlos (lui prenant les poignets) : - Détrompe-toi. Tu sais que quand le grand Carlos est naze, le petit Carlos a du mal lui aussi. Gabrielle : - Bon, écoutez-moi bien tous les deux. C’est pas pour rien que j’ai porté toute la soirée ce truc qui me rentre dans les fesses. Alors, faites un effort. Lynette (à Lucy alors que Carlos vient de la virer) : - N’oubliez pas vos petits animaux !... Dave : - Edie ! Edie : - Je me suis toujours demandée pourquoi tu avais tant insister pour qu’on habite Wisteria Lane. Tu disais, on sera très heureux, là-bas, tu verras. Et j’avais très envie de te croire. Mais en réalité, il s’avère que tu voulais seulement te rapprocher de Mike Delfino (elle lui montre l’article sur Mike). Dave : - Qui t’a donné ça ? Edie : - Personne ne me l’a donné, je l’ai trouvé. J’ai fait mon enquête. Tu crois que je suis trop nulle pour mener une enquête ? (Elle lui donne l’article.) Dave : - Edie, écoute, ça ne veut rien dire, ça. Edie : - Tout y est, l’accident, Mike acquitté et même quelques mots sur le fait que… David Dash… n’est pas pu assister à l’enterrement parce que ses nerfs avaient carrément lâchés. Dave : - Chérie, écoute, si tu veux bien, je vais tout t’expliquer. Edie (se servant un verre de vin) : - Oh, alors maintenant, tu veux tout m’expliquer. Très bien. Et si pour commencer, tu me disais pourquoi tu t’es marié avec moi ? Dave : - Je me suis marié avec toi parce que je t’aime. Edie : - Faux. Tu t’es marié avec moi parce qu’il te fallait une couverture pour être près de l’homme qui a tué ta famille. Dave : - C’est absurde, Edie. Edie : - Oui, c’est de la folie. Mais c’est pour ça que tu l’as fait. C’est quoi la prochaine étape, maintenant ? Tu comptes lui faire du mal ? (Se détournant) Oui, parce que là c’est la seule (il froisse l’article qu’elle lui a donné) explication logique. Et la seule question qui me vient c’est… qu’est-ce que tu attendais pendant tout ce temps ? Dave : - Chérie, ça se voit que tu ne vas pas bien. Viens, tu vas monter te reposer. Edie (le repoussant) : - Dis-moi la vérité, espèce de fêlé. Est-ce qu’on est venu ici pour que tu t’en prennes à Mike Delfino ? Dave (lui prenant les épaules) : - Dans cet accident, il a détruit ce que j’avais de plus cher et il est resté impuni. Ils l’ont acquitté alors je dois réparer cette injustice. Edie (se dégageant) : - Pourquoi ? Pourquoi est-ce qu’il a fallu que tu fasses ça ? On aurait pu tellement être heureux ensemble. Mary Alice (en voix de clôture) : - Oui, la vie est pleine de mauvaises surprises, de chocs désagréables qui arrivent toujours quand on s’y attend le moins. Et quand notre organisme a subi un tel choc, la question est de savoir… si nous lui survivrons. Membres additionnels de la production Producteur exécutif :
Matt Berry (II), Marc Cherry, Alexandra Cunningham, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif : Dave Flebotte, Lori Kirkland Baker Producteur : Stephanie Hagen, Charles Skouras III Producteur superviseur : Jamie Gorenberg Producteur consultant : Jeff Greenstein Musique : Steve Jablonsky Montage : Jonathan Posell Directeur de la photographie : Lowell Peterson Création des décors : P. Erik Carlson
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