Hôtel Wisteria Titre original : Everybody Ought to Have a Maid Saison 6 - Episode 5 | N° dans la série : 117 | N° de Production : 605 1ère Diffusion (Originale) : 25/10/2009 - (Française) : 15/04/2010
RésuméGaby doit faire face à la rumeur comme quoi elle serait une mauvaise mère après que Rachel Miller se soit aperçue qu’elle avait laissé Juanita et sa fille, Rachel, sans surveillance. Cette histoire va jusqu’à entraîner des annulations pour la fête d’anniversaire de Juanita mais Gaby décide de ne pas se laisser faire. Alors que Julie rentre enfin chez elle et rompt avec Nick Bolen, le fils de ce dernier, Danny, menace son père de tout raconter à sa mère s’il les revoit encore ensemble.
De son côté, Lynette accepte d’embaucher Roy Bender, le petit ami de Karen McCluskey, comme homme à tout faire tandis que Susan apprend, avec surprise, que Katherine a fait des avances à Mike. Enfin, Bree est contrariée par le jugement de la femme de chambre de l’hôtel où elle retrouve Karl lorsque cette dernière comprend qu’elle trompe son mari.
Synopsis de l'épisode Alors que Juanita et une amie jouent sans être surveillées, Gaby prend son courrier quand elle aperçoit une femme qui fait de la marche rapide qu’elle trouve très mal habillée, elle regarde ensuite le jardin de ses voisins remplis de mauvaises herbes puis entend Bob et Lee qui se disputent devant chez eux. Gaby rentre chez elle et se serre un verre de vin lorsqu’elle entend un bruit de chute. Elle se rend dans son entrée et trouve Juanita et son amie, Rachel au pied de l’escalier dans une valise. Elles ont utilisé cette valise pour faire de la luge dans les escaliers. Alors qu’elle sermonne Juanita, Laura Miller, la mère de Rachel, vient rechercher sa fille et quand elle voit cette dernière par terre, elle demande ce qui s’est passé. Gaby explique ce qu’elles ont voulu faire puis avoue n’avoir même pas été dans la pièce. Laura lui reproche d’avoir laissées les filles sans surveillance alors que Gaby prétexte ne pas pouvoir avoir l’œil sur elles constamment. Laura Miller lui rappelle que quand Juanita vient chez elle, elle revient sans égratignure. Elle la traite de désinvolte et Gaby la prend à part pour lui signaler qu’elle est rabat-joie depuis qu’elle a arrêté la cigarette. Laura lui rétorque qu’elle la trouve très nulle comme mère et qu’elle n’amènera plus sa fille chez elle. Elle ajoute également que sa fille ne viendra pas à la fête d’anniversaire de Juanita. Gaby lui dit que ça leur fera plus de gâteau et Laura prend sa fille et elles s’en vont. Gaby les suit jusqu’à sa porte et crie à Laura qu’elle n’avait qu’à enseigner la technique du roulé-boulé à sa fille.
Deux semaines après son agression, Julie rentre enfin de l’hôpital et tous les habitants de Wisteria Lane sont là pour l’accueillir : M.J. tient une pancarte qui dit « Nous t’aimons » alors qu’il se trouve à côté de Bob qui sourit, Gaby et Lynette tiennent des plats de desserts dans leurs mains et les présentent à Julie et des amies lui apportent des fleurs. Un homme se tient alors à l’écart, Nick Bolen, qui la regarde et sourit.
Chez elle, Julie remercie ses deux amies d’être passées et une fois qu’elle a pris congé, elle voit Nick Bolen qui la rejoint. Il lui dit être content de la revoir et lui avoue s’être fait énormément de souci pour elle. Il demande un endroit pour pouvoir parler au calme avec elle mais Julie refuse et lui dit que c’est terminé. Elle va Ensuite parler à Karen McCluskey tandis que Nick se rend compte que Danny a les yeux fixés sur lui. Ils se jettent un regard puis Danny s’en va.
Bree arrive à son tour et s’excuse de son retard auprès de ses amies. Gaby est surprise que Katherine ne l’aide pas et Bree avoue qu’elle a dû s’en séparer après que Katherine soit devenue hystérique et qu’elle ait intentionnellement rayé sa voiture (voir épisode précédent). Les avis sont partagés en ce qui concerne Katherine et Lynette finit par leur rappeler que si elle vraiment elle se sent mal et qu’elles ne font rien, Katherine risque de faire comme Mary Alice. Quand Gaby demande à Susan ce qu’elle en pense, celle-ci avoue qu’elle a dû mal à se sentir désolée pour elle. Angie le comprend vu ce que Katherine a fait à son mariage (voir épisode 1, saison 6 “Le Mariage de ma Meilleure Ennemie”) et Bree fait alors une gaffe en mentionnant les avances que Katherine a également faites à Mike. Les autres sont surprises tandis que Bree comprend que Mike ne l’a pas dit à Susan. Cette dernière fait semblant d’être au courant et se précipite vers Mike.
Susan emmène Mike à part et veut savoir pourquoi il ne lui a rien dit des avances de Katherine. Mike explique que Julie venant alors d’être hospitalisée, il a pensé que ça la perturberait encore plus de le savoir. Susan réalise que Katherine ne souffre pas mais qu’elle complote. Elle veut aller la voir mais Mike l’en dissuade en lui disant de la laisser comploter car elle est tout pour lui et Katherine ne représente rien. Puis, ils s’embrassent.
Nick rejoint son fils dehors et propose d’en parler avec lui. Danny le repousse car il ne veut pas qu’il lui raconte comment il trompe sa mère. Il explique à son père qu’il s’est disputé avec Julie car il croyait qu’elle mentait et qu’elle lui avait dit qu’il avait un copain juste pour se débarrasser de lui. Après, il la suivi chez elle et a vu que son petit ami était en fait son père. Nick lui demande pardon et lui annonce que c’est terminé avec Julie. Danny menace Nick de le dire à sa mère s’il les revoit ensemble, lui et Julie. À ces mots, Nick lui propose de le faire immédiatement car il sait que si Angie apprend qu’il a une liaison, ça ne la détruira pas mais si elle découvre que son fils était au courant, c’est ça qui la détruira. Nick demande à son fils s’il croit que sa mère est irréprochable dans leur couple quand Angie sort pour les prévenir qu’ils vont apporter le gâteau pour Julie. Angie sent une tension et demande si ça va et Danny lui répond qu’ils ne faisaient que parler entre hommes. Elle leur dit de venir puisqu’ils découpent le gâteau et Danny la rejoint suivi peu après de Nick.
Lynette est entrain de faire à manger quand Karen vient lui demander un petit service. Elle explique que la retraite de Roy, son petit ami, n’ayant pas augmentée, il n’a pas les moyens de lui offrir le restaurant et quand elle paye, il fait la tête ayant l’impression d’être entretenu. Lynette se demande comment elle pourrait l’aider et Karen lui suggère de faire faire un peu de bricolage à Roy quelques heures par semaine afin que cela lui fasse de l’argent pour les extras. Lynette se montre hésitante alors Karen lui raconte que quand le moral de Roy est en berne, rien ne va plus chez lui. Elle insiste auprès de Lynette pour qu’elle le prenne à l’essai pendant une semaine tandis que Lynette ne veut pas risquer de gâcher leur belle amitié. Karen lui rappelle que si elle était sa grande amie, elle ne la mettrait pas dans une situation aussi embarrassante et Lynette finit par accepter d’engager Roy. Karen la remercie en lui disant qu’elle ne se rend pas compte de ce qu’elle vient de faire pour sa vie sexuelle puis s’en va alors que Lynette en reste songeuse.
Dans leur chambre d’hôtel, Bree et Karl s’apprêtent à partir et Bree jette un œil nostalgique sur la chambre. Karl lui fait remarquer qu’il adore quand elle fait ça car la première fois qu’il l’a amené à l’hôtel, elle ne voulait pas y mettre un pied alors que maintenant, elle est triste à chaque fois qu’elle la quitte. Bree lui explique que c’est leur chez eux et même si ce n’est ce qu’elle aurait choisi, avec le temps, elle l’apprécie. Ils s’embrassent alors que la femme de chambre entre à ce moment-là croyant qu’ils étaient déjà partis. Karl lui dit que ce n’est pas grave puisqu’ils s’en allaient en précisant où se trouve le pourboire.
La femme de chambre commence à défaire le lit quand Bree revient car elle a perdu une boucle d’oreille en perles de nacre. La femme de chambre indique qu’elle va la chercher quand Bree reçoit un coup de fil d’Orson et lui ment en prétendant être au supermarché. La femme de chambre comprend alors qu’elle est mariée à un autre homme que celui qu’elle a vu. Bree raccroche et la femme de chambre lui donne la boucle d’oreille. Quand Bree lui propose de lui donner un peu d’argent, la femme de chambre lui rétorque que ça ira car elle est sure qu’elle est pressée de retrouver son mari. Bree perd son sourire, met ses lunettes de soleil et s’en va sans prononcer un mot.
Carlos est dans son fauteuil quand Gaby lui explique qu’elle a encore reçu une annulation pour la fête d’anniversaire de Juanita. Carlos ne comprend pas pourquoi ça énerve Gaby mais celle-ci sait que les raisons des annulations sont des mensonges car tout ce qui arrive est à cause de Laura Miller qui raconte partout que quand les enfants se trouvent chez Gaby, ils ne sont pas en sécurité. Carlos lui fait remarquer que Juanita sera très malheureuse si personne ne vient à sa fête mais Gaby assure qu’ils vont venir en indiquant qu’il faut juste qu’ils mettent le paquet. Carlos est certain que ça va lui coûter beaucoup d’argent et Gaby lui dit qu’il y a des femmes qui pensent qu’elle est une mauvaise mère et qu’il doit la soutenir. Donc, tout ce qu’il doit faire, c’est se taire et sortir l’argent. Carlos lui fait remarquer que ce serait sans doute plus simple de surveiller les enfants quand ils s’amusent mais au regard de Gaby, il finit par lui donner son portefeuille.
Orson a préparé le repas préféré de Bree et lorsqu’il lui parle du vendeur qui a voulu lui vendre des crevettes au lieu des langoustines qu’il lui avait demandées, Bree lui fait part du changement qu’elle a constaté chez les gens qui proposent leurs services. Ces derniers sont devenus méprisants et Bree trouve cela intolérable. Orson ne veut pas les laisser gâcher leur bon dîner tandis que Bree s’excuse et lui avoue avoir fait une rencontre désagréable. Quand il lui demande où elle a fait cette mauvaise rencontre, elle ment et lui dit que c’était dans un café où elle déjeunait et où elle a eu affaire à une serveuse mal élevée et méprisante. Orson lui dit qu’elle aurait dû lui mettre son livre sous le nez comme elle l’a déjà fait la semaine d’avant dans un centre commercial mais Bree lui rétorque qu’elle pense qu’il lui en faut beaucoup plus pour être impressionnée. Bree lui avoue avoir été tellement déconcertée qu’elle a finit par laisser courir. Orson lui conseille de mettre les choses au clair en exigeant un peu de courtoisie la prochaine fois qu’elle ira dans ce café. Bree le remercie pour son conseil et pense le faire dès le lendemain. Orson lui fait remarquer que c’est agréable de partager leur repas et de se raconter leurs journées. Il lui propose de faire une croix sur le déjeuner dans son café et il lui préparera, à la place, une délicieuse salade ou une omelette. Bree lui dit que c’est très gentil à lui mais, pour le lendemain, elle é déjà prévu quelque chose d’un peu plus relevé.
Tom montre à Lynette le travail de Roy car il en est enchanté. Puis, voyant le savoir faire de Roy, Lynette lui demande s’il ne pourrait pas faire des bacs à fleurs pour les fenêtres des chambres. Tom intervient pour dire qu’il est d’accord pour la fenêtre de leur chambre mais pas pour celle des enfants car ils ne les arroseront jamais. Lynette insiste et affirme qu’il y aura des bacs à fleurs malgré ce que pense Tom. Elle dit à Roy qu’il peut commencer à travailler quand ce dernier s’enquiert auprès de Tom pour savoir qu’il est d’accord. Tom déclare que ça lui est égal et alors que Lynette, qui allait partir, revient, Roy s’en va. Lynette fait remarquer à Tom que Roy l’a consulté alors qu’elle lui a donné des instructions mais Tom ne fait que lui répondre qu’il savait qu’elle allait apprécier Roy dès que ce dernier est entré et lui montre encore une fois le travail de Roy sur leur tiroir qui ne s’ouvrait plus avant qu’à l’aide d’une spatule.
Alors que Laura et deux amies préparent un goûter, Gaby vient les saluer et s’excuse de son comportement auprès de Laura. Celle-ci accepte les excuses de Gaby mais ne veut toujours pas que sa fille vienne au goûter d’anniversaire de Juanita. Gaby parle alors assez fort pour que les enfants entendent et annonce qu’il y aura un atelier maquillage, de la barbe à papa ainsi qu’un clown. À ces mots, Rachel, la fille de Laura, demande à sa mère d’aller à l’anniversaire de Juanita mais sa mère lui dit qu’ils verront ça plus tard. Rachel s’en va et Laura demande à Gaby à quoi elle joue. Gaby lui dit qu’elle n’a fait que répondre à la question de Rachel et ajoute, en haussant la voix, qu’il y aura également la plus grande maison trampoline qui existe. Là, ce sont Rachel et les deux autres filles qui veulent venir. Une mère lui reproche son attitude et Gaby appelle Juanita car elles doivent acheter des bananes pour nourrir le singe. Les trois filles se précipitent vers leur mère et les supplient de les laisser aller à la fête, sous l’œil satisfait de Gaby.
Bree retourne à l’hôtel alors que la femme de chambre fait son travail. Cette dernière lui demande s’il manque quelque chose dans sa chambre mais Bree lui avoue qu’elle n’est pas venue en tant que cliente mais qu’elle est venue la voir, elle. La femme de chambre croit qu’elle est revenue la voir pour qu’elle lui fournisse de l’herbe et explique à Bree que toutes les femmes bourgeoises pensent qu’une femme comme elle vend de l’herbe. Bree lui rétorque qu’elle n’est pas venue pour lui acheter de l’herbe mais pour lui dire qu’elle est reconnaissante qu’elle lui ait retrouvé sa boucle d’oreille mais qu’elle n’a pas apprécié son attitude qui était insultante. La femme de chambre ne comprend pas car elle ne lui a pas dit un seul mot de travers. Bree lui signale que cela aurait superflu vu son regard qui en disait suffisamment long sur le mépris qu’elle lui inspire. La femme de chambre lui indique qu’elle a beaucoup de travail et qu’elle n’a pas le temps de discuter. Bree se propose de l’aider et prend un drap. Quand la femme de chambre la voit faire, elle promet de ne plus la regarder mais Bree insiste sur le fait qu’elle trouve qu’elle porte des jugements trop hâtifs sur autrui. Elle lui reproche de déduire qu’elle est une mauvaise personne juste après l’avoir vu avec son amant et de la traiter aussi de toxicomane. Elle se met à lui raconter ce qu’elle vit avec Orson mais la femme de chambre pense qu’elle n’a pas besoin de savoir ce qui se passe dans son ménage. Bree lui révèle qu’Orson est un ex-détenu qui n’en fait qu’à sa tête et qu’elle le supplie d’accepter de divorcer mais il refuse ce qui fait d’elle sa prisonnière. La femme de chambre est persuadé qu’Orson est quelqu’un de bien car il lui fait ses courses et qu’elle donnerait cher pour avoir quelqu’un comme ça. Elle lui reproche de ne pas être reconnaissante pour ce qu’il fait pour elle et affirme que porter on non des perles, tromper est un péché. Puis, elle met fin à la conversation et Bree s’en va.
Lynette constate que Roy a bien avancé avec les bacs à fleurs et lui amène une cabane à oiseaux afin qu’il l’installe dans le grand arbre devant la maison. Roy prend la cabane à oiseaux et se dirige à l’opposé du grand arbre. Lynette lui en fait la remarque quand Roy lui dit en avoir parlé avec Tom qui la veut de l’autre côté. Lynette lui fait remarquer que Tom a dû oublier qu’il y a le système d’arrosage et insiste pour qu’il la mette là où elle lui a demandé. Lynette le remercie et s’en va tandis que Roy soupire.
Alors que Lynette revient avec un pot de fleurs, elle surprend Roy au téléphone avec Tom. Lynette veut savoir pourquoi Roy téléphonait à Tom et Roy lui explique qu’il voulait être sûr que Tom était d’accord sur l’endroit où il devait accrocher la cabane à oiseaux parce que c’est lui l’homme de la maison. Lynette lui fait remarquer que comme il utilise un portable, il sait également dans quel siècle ils vivent. Elle insiste sur le fait que ce n’est pas la peine de vérifier tout auprès de Tom car elle prend beaucoup de décisions. C’est justement ce que lui reproche Roy qui voulait traiter Tom avec un peu de respect. Il lui signale qu’elle lui écrase les noix et que ça lui plaît mais ce n’est pas son cas. De colère, Lynette le renvoie mais Roy veut d’abord accrocher la cabane à oiseaux car il l’a promis à Tom qui lui a dit que l’endroit lui était égal. Quand il déclare à Lynette qu’elle a encore gagné et insiste pour accrocher la cabane à oiseaux, Lynette la lui reprend de force et la jette par terre. La cabane à oiseaux est en miettes et Roy lui dit qu’il aurait bien nettoyé le bazar mais il ajoute qu’elle vient de le renvoyer. Il prend sa caisse à outils et s’en va.
Julie regarde l’endroit où elle s’est fait agresser quand Danny la surprend et lui fait peur. Il s’excuse et lui parle de ce que les gens ont dit de lui après son agression mais Julie lui assure qu’elle sait que ce n’est pas lui le responsable. Il lui rappelle la nuit où ils se sont disputés lorsqu’elle lui a avoué avoir quelqu’un et veut savoir si elle croit qu’il pourrait être le coupable. Julie révèle y avoir pensé mais affirme que non car ce n’est pas son genre. Julie aimerait bien avoir une idée sur la personne qui l’a agressée car elle ne peut plus dormir. À chaque fois que ses yeux se ferment, elle a peur de se réveiller et de le trouver à côté d’elle. Danny lui dit avoir quelque chose qui pourrait l’aider à avoir moins peur et va chercher le revolver de ses parents dans le deuxième tiroir de la commode de sa mère (voir épisode 3, saison 6 “Sa Femme, Son Ex et Lui”) et qui se trouve dans une boîte remplie d’argent et avec trois passeports.
Mike remercie les personnes qui se sont portés volontaires et signale que leur souci c’est que l’agresseur de Julie soit toujours en liberté. Il explique que c’est à eux de veiller les uns sur les autres et c’est là que le comité de surveillance du quartier intervient. Susan se trouvant derrière Mike, elle remarque le regard de Katherine sur Mike qui introduit Susan afin qu’elle leur parle du planning des patrouilles. Avant de leur parler, Susan donne un baiser très langoureux à Mike. Elle demande ensuite des volontaires pour une tranche horaire et alors que Katherine a la main levée, elle ne la choisit pas. Katherine fait de grands signes tandis que Susan lève la séance. Lynette prévient les personnes qu’il y a du café dans la cuisine alors que Mike vient prévenir Susan qu’il doit aller déboucher la canalisation de la douche de Mme Pritchet. Susan embrasse Mike sous le regard de Katherine qui lui signale ensuite qu’elle se portait volontaire. Susan lui avoue qu’elle l’a vu mais elle a voulu prendre des personnes ayant toutes les qualités pour protéger les environs. Katherine lui rappelle qu’elle a pris une femme âgée mais Susan lui rétorque qu’elle est peut-être âgée mais qu’elle ne ment pas. Susan déclare devant tout le monde que Katherine raconte que Mike la drague. Katherine lui fait savoir que ce n’est pas très sage d’étaler son linge en public et Susan lui réplique que c’est son linge qui est sale puis la traite de barjot. Bree intervient pour savoir si tout va bien et Katherine déclare alors que Susan vient la traiter de menteuse et de barjot. Susan rappelle comment a agi Katherine qui insiste sur le fait que cela est normal qu’elle soit contrariée puisque son couple rencontre des problèmes. Susan lui affirme le contraire et lui ordonne de rester en dehors de leur vie. Katherine lui demande où se trouve Mike et quand Susan lui répond qu’il est parti débouché le siphon d’une dame, elle se rend compte que la formulation était équivoque et demande aux personnes présentes d’arrêter les fantasmes.
À la fête d’anniversaire de Juanita, Laura amène sa fille, Rachel, et propose de rester un moment mais Gaby lui assure qu’elle va les surveiller. Laura se tourne vers Susan et lui demande si elle ne sera pas loin. Susan lui fait signe que oui et Laura consent à partir. Gaby dit à Susan qu’elle n’en revient pas car elle est une supère maman et Susan lui rétorque qu’elle a amené son fils. Quand Gaby lui fait remarquer qu’elle se trouve toujours là, Susan lui propose d’aller leur faire un cocktail. Puis, Juanita vient voir sa mère car le dresseur du singe lui a dit que son singe était trop fatigué pour jouer. Gaby va le voir et exige que le singe reste. Le clown intervient pour dire à Gaby de le laisser partir puisqu’il peut faire le show tout seul mais Gaby lui indique que son numéro ne met pas les enfants en transe. Elle menace le dresseur du singe de faire de son singe un tricard s’il ne reste pas.
Bree a fait venir la femme de chambre pour une ampoule et lorsque celle-ci arrive, Bree lui précise que c’est pour la lampe de chevet. La femme de chambre pense que le rendez-vous galant de Bree lui a fait faux bond mais Bree lui assure le contraire et raconte que Karl est en chemin. Bree étant entrain de lire un magazine, la femme de chambre lui dit qu’une fois qu’elle aura terminé, une bible se trouve dans la table de chevet. À ces mots, Bree demande à la femme de chambre si son mari l’a trompée une fois ou continuellement. Cette dernière ne répond pas et s’en va pour revenir quelques secondes plus tard. Elle lui raconte que son mari était l’homme le plus formidable qu’elle ait connu et comme ça ne lui suffisait pas, c’est elle qui s’est trouvé un amant séduisant et sexy. Comme elle avec Karl, ils passaient du bon temps ensemble. La femme de chambre lui dit d’en profiter car une fois que tout s’est arrêté pour elle, elle n’avait plus ni mari, ni amant. Elle s’est retrouvée toute seule et maintenant, elle est femme de chambre. Elle ajoute qu’elle voit tous les jours des femmes qui se conduisent aussi stupidement qu’elle mais elle ne leur dit rien, elle les regarde seulement. Bree est désolée que ça se soit mal terminé pour elle mais pense que cela ne veut pas dire que ça sera pareil pour elle. Elle se lève pour aller se laver les mains et la femme de chambre lui dit qu’elle semble être une femme gentille puis lui demande si elle n’a pas mauvaise conscience. Bree affirme tout d’abord que non mais révèle ensuite qu’elle a raison et ça la ronge à longueur de temps. Elle explique qu’elle ne supporte plus le regard aimant d’Orson car elle sait qu’elle ne le mérite plus. Et alors que la femme de chambre lui demande si elle veut en redevenir digne, Karl arrive avec des fleurs.
Alors que les enfants sont entrain de jouer, Susan propose un verre à Gaby qui est assise sur sa terrasse. Susan lui demande si elle est toujours fâchée après Laura puis la rassure car les enfants s’amusent. Gaby est contente d’avoir gagné et insiste sur le fait qu’elle a offert aux enfants la plus belle fête d’anniversaire de l’année quand les enfants se mettent à crier et à courir. Susan tente de prévenir Gaby qu’il y a u problème mais Gaby fait remarquer qu’ils sont juste bruyants. Susan insiste et demande à M.J. ce qui se passe. Ce dernier lui répond que le singe est entrain de tuer le clown. Gaby se précipite pour aller voir ce qu’il y a et voit le clown par terre. Le dresseur du singe passe devant elle pour aller chercher son fusil anesthésiant et lui dit l’avoir prévenue qu’il avait besoin que son singe se repose. Il raconte que le clown a explosé un ballon devant le visage du singe qui s’est énervé. Gaby voit ensuite le singe avec des morceaux de la perruque du clown dans les mains.
Gaby tente de se justifier auprès de Laura Miller mais celle-ci ne veut rien savoir. Elle insiste sur le fait que ce n’est pas sa faute si le singe était un meurtrier et affirme que le plus important c’est que les enfants se sont amusés. Un brancard passe alors devant elles avec le clown mal en point.
Tom ne comprend pas que Lynette ait viré Roy d’autant que ce dernier était d’accord pour mettre la cabane à oiseaux où elle le voulait. Lynette lui explique que ce n’est pas ça le problème mais plutôt le fait que Roy ait dit qu’elle l’émasculait. Tom le trouve marrant ce qui n’est pas le cas de Lynette qui lui suggère d’intervenir pour dire à Roy qu’elle n’est pas l’odieuse castratrice qu’il imagine. Tom se rend compte que l’histoire ne fait absolument pas rire Lynette et Tom lui fait remarquer qu’ils s’entendent à merveille et qu’il ne faut pas qu’elle se soucie de ce que Roy pense. Lynette avoue en avoir rien à cirer mais elle n’aime pas que Roy la juge. Tom sort alors du poulet pour le faire cuire en brochettes mais Lynette lui rétorque que c’est quasiment l’heure de dîner et comme le poulet n’est toujours pas décongelé, elle l’envoie chercher des hamburgers dans le garage. Tom accepte.
De son garage, Tom aperçoit Roy entrain de boire une bière sur son porche, devant chez lui, et décide de le rejoindre pour lui parler. Roy lui offre une bière et est désolé de ce qui s’est passé avec Lynette. Il sait que les temps ont changé mais pour lui un homme reste un homme et il estime que Tom est en droit d’attendre du respect de sa femme. Tom lui assure que Lynette le respecte beaucoup. Quand Roy en doute, Tom lui explique que Lynette a grandi sans son père et sa mère étant alcoolique, c’est elle qui devait s’occuper de tout le monde. Alors maintenant, elle a une peur constante que tout d’un coup, tout ce qui l’entoure s’effondre et disparaisse et c’est pourquoi elle a besoin de tout contrôler sans arrêt. Tom sait que c’est impossible car personne ne peut tout contrôler mais il avoue que si elle veut le contrôler, elle le peut s’il la laisse faire et il la laisse faire. Grâce à ça, Lynette se sent en rassurée et c’est le travail de son homme de veiller à la rassurer. Tom boit une gorgée de bière tandis que Roy lui déclare qu’il est un homme bien. Tom lui rétorque qu’il essaie et s’excuse car il doit sortir les hamburgers du congélateur.
Carlos rejoint Gaby qui est allongée sur leur lit et lui dit d’arrêter de se torturer car ce n’était pas si dramatique. Gaby lui rappelle qu’un singe a failli tuer un clown et admet que Laura a raison en disant qu’elle est une mère minable. Carlos la prend dans ses bras et lui dit que, même s’il n’est pas un spécialiste de l’éducation, la réaction de leurs filles face au danger a été très futée puisqu’alors que les autres enfants couraient en appelant leur maman, Juanita s’est réfugiée dans la maison trampoline pendant que Celia faisait la morte. Ce qui n’aurait sans doute pas été le cas si Gaby avait été constamment sur leur dos. Grâce à Gaby, leurs filles ont appris à être indépendantes et super débrouillardes. Gaby dit à Carlos qu’il est un amour quand ils entendent un bruit de chute et Juanita dire aïe. Gaby lui crie qu’elle espère que ce n’est pas la valise de marque.
Susan dort quand Julie l’appelle en criant. Susan se précipite en bas et voit Julie devant la fenêtre qui lui demande d’appeler Mike car il y a quelqu’un dehors. Julie se retourne et Susan remarque qu’elle tient un revolver. Susan le lui prend des mains et lui dit qu’elle est folle quand elles voient une ombre passer devant leur porte. Elles se cachent et sachant le pistolet chargé, Susan se dirige doucement vers la fenêtre, prévient l’intrus qu’elle a une arme et qu’elle a prévenu la police qui va arriver d’une minute à l’autre. Elle se met devant la fenêtre et lorsqu’elle voit l’ombre face à elle, elle tire dans un carreau. Elle regarde ensuite sur qui elle a tiré et voit Katherine avec du sang sur son bras, allongée par terre.
Susan et Julie sortent de chez elles et Susan explique à Katherine que le coup est parti tout seul. Elle lui demande si ça va alors que Katherine qui pense que Susan a voulu la tuer. Cette dernière lui fait remarquer qu’elle lui a juste tiré dessus tandis que Julie remarque que Katherine a juste une éraflure à l’épaule qui saigne à peine. Bob et Lee les rejoignent et demandent ce qui s’est passé. Katherine affirme que Susan lui a tiré dessus et leur demande d’appeler la police tandis que Susan insiste sur le fait que c’était un accident. Katherine demande à Bob d’être son avocat mais Susan, le revolver à la main, veut que ce soit le sien. Bree et Orson arrivent à leur tour après avoir entendu un coup de feu et Katherine leur raconte que Susan a tiré sur elle. Bree n’en revient pas tandis que Susan explique qu’elle ne savait pas que c’était Katherine. Nick vient voir ce qui se passe tandis que Susan demande à Katherine pourquoi elle tournait autour de sa maison. Katherine lui donne le prétexte de la surveillance du quartier car elle remplaçait Tom Scavo qui avait des cours à réviser. Susan lui rappelle qu’elle aurait dû voir ça avec elle et Katherine lui rétorque qu’elle allait le faire quand elle lui a tiré dessus. Nick intervient pour faire cesser la conversation et propose d’aller appeler une ambulance. Il s’en va tandis qu’Orson suggère de vider le chargeur du revolver avant que quelqu’un d’autre ne soit blessé. Il ramasse le revolver et le donne à Bree qui enlève les balles comme si elle avait fait ça toute sa vie.
Nick rentre chez lui et prévient Angie et Danny que Susan vient de tirer sur Katherine mais qu’il n’y a rien de grave. Alors que Nick prend le téléphone pour appeler une ambulance, Angie se montre surprise de savoir que Susan possède une arme. Danny comprend de quelle arme il s’agit et leur avoue qu’il a donné leur arme à Julie pour qu’elle puisse se protéger parce qu’elle avait peur. Nick précise alors que l’arme est enregistrée sous leur vrai nom et que la police peut remonter jusqu’à eux. Il est en colère après Danny mais Angie lui affirme qu’ils vont tout faire pour éviter que cela se produise.
Dehors, Katherine menace Susan de l’envoyer en prison en lui faisant remarquer que tout le monde l’a entendu proférer des menaces contre elle. Susan lui rétorque qui si elle avait voulu la tuer, elle ne l’aurait pas fait dans son jardin côté rue mais elle serait plutôt rentrer en douce chez elle pour la descendre dans son sommeil. Elle précise, devant le regard outré de Bree, qu’elle ne ferait jamais ça quand Katherine décide de rentrer chez elle pour appeler la police. Nick et Angie les rejoignent et tandis que Nick va vers le groupe de Susan, Angie rattrape Katherine et la prévient que l’ambulance ne va pas tardé puis ajoute qu’elle a une trousse de soin et lui propose de nettoyer sa plaie avant qu’elle appelle la police.
Alors qu’Angie la soigne, Katherine réclame le téléphone pour appeler la police. Angie l’en empêche et lui fait croire que Mike est encore amoureux d’elle. Si elle appelle la police pour envoyer la mère de son fils en prison, Mike ne sera pas content. Elle lui conseille de rester au-dessus de tout ça et lui rappelle que le fait d’avoir le bras en écharpe fera passer Susan pour un monstre alors qu’elle passera pour une sainte. Nick les rejoint et montre à Angie, sans que Katherine s’en aperçoive, qu’il a récupéré le revolver.
Angie va voir Susan pour lui dire que Katherine a renoncé à appeler la police. Elle explique qu’elle était énervée mais qu’elle a parlé avec elle et affirme que tout ira bien tandis que Susan regarde en direction de la maison de Katherine.
Dans les derniers plans, on voit Katherine qui regarde par sa fenêtre un sourire aux lèvres, Lynette qui regarde Roy mettre la cabane à oiseaux là où elle l’avait demandé, Gaby qui est au téléphone alors que ses filles jouent dans l’herbe sans surveillance et que Laura Miller s’en aperçoit, Angie et Nick qui sortent de chez eux sous le regard de Danny tandis que Bree regarde la Bible qui se trouve dans la table de chevet de la chambre d’hôtel puis se tourne vers Karl qui se déshabille, l’embrasse et ferme le tiroir.
Voir le synopsis Distribution & Production principale Scénariste(s) :
Jamie Gorenberg
Réalisateur(s) : Larry Shaw
Acteurs présents : Andrea Bowen (Julie Mayer), Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Drea de Matteo (Angie Bolen), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Kathryn Joosten (Karen McCluskey), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Doug Savant (Tom Scavo)Guest Star(s) Récurents :
Daniella Baltodano (Celia Solis) [x48], Orson Bean (Roy Bender) [x23], Richard Burgi (Karl Mayer) [x20], Maria Cominis (Mona Clark) [x7], Kevin Rahm (Lee McDermott) [x27], Tuc Watkins (Bob Hunter) [x24]
Guest Star(s) :
David Bickford (Coco le clown), Dennis Cockrum (Dresseur du singe), Aisha Hinds (Femme de chambre), Cindy Lu (Kirstin), Alyssa Shafer (Petite fille #1), Mackenzie Brooke Smith (Rachel Miller), Haley Tju (Petite fille #2), Barbara Alyn Woods (Laura Miller)
Notes de production
* Notes :
- Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est "Il Est dans Notre Nature...".
- Barbara Alyn Woods (Nora Miller) est surtout connue pour son rôle de Deborah Lee-Scott de 2003 à 2009 dans la série Les Frères Scott (One Tree Hill). Elle y joue la mère de Nathan Scott (James Lafferty) mariée à Dan Scott (Paul Johansson) puis divorcée. C’est sa fille aînée Natalie Alyn Woods qui joue Lily Roe Scott, la fille de Karen Roe (Moira Kelly) et la sœur cadette de Lucas Scott (Chad Michael Murray) dans la saison 5 de la série.
- On aperçoit David Chisum et Rebecca Staab qui jouent dans le spot publicitaire de la nouvelle saison, “Another Desperate Housewives”, lors de la réunion de voisinage qu’organisent Mike et Susan même s’ils ne sont pas crédités.
- Dates des diffusions internationales :
● Turquie : 22 décembre 2009 sur CNBC-e.
● Pays-Bas : 26 janvier 2010 sur Net5.
● Allemagne : 3 février 2010 sur ProSieben.
● Australie : 1er mars 2010 sur Channel 7.
● Norvège : 2 mars 2010 sur TV2.
* Gaffe :
- Quand la saison 5 a commencé, la série avait fait un bond de cinq ans dans le futur ce qui implique que Gabrielle n’était même pas enceinte il y a cinq ans. Donc Juanita ne devrait pas être âgée de plus de cinq ou six ans. Toutefois, dans cet épisode, il est clairement dit qu’elle est âgée de sept ans. La saison 5 faisait aussi la gaffe dans l’épisode 21 de la saison 5 (“Trop Laide Pour Toi”).
* Allusion :
- Le titre de l’épisode en version originale, “Everybody Ought to Have a Maid”, vient dune chanson de la comédie musicale A Funny Thing Happened On the Way to the Forum (Le Forum en Folie, 1962) de Stephen Sondheim.
* Citations :
Laura : - Mais, qu’est-ce qui se passe ?
Gabrielle : - Rassure-toi, tout va bien. Ces deux bécasses ont décidé de faire de la luge dans les escaliers.
Laura : - Mais pourquoi tu leur as pas interdit ?
Gabrielle : - C’est pas ma faute, j’étais même pas dans le salon.
Laura : - Tu as laissé les filles sans surveillance ?!
Gabrielle : - Mais… elles jouaient. Je peux pas avoir constamment l’œil sur elles.
Laura : - Pourquoi ? Je surveille Juanita quand elle vient chez moi et elle rentre chez toi sans la moindre égratignure.
Gabrielle : - Oh ! Ça, c’est parce qu’elle est indestructible ! (S’adressant à Juanita) Chérie, fais-lui le truc, là, où tu fonces dans le mur. (À Laura) Regarde, c’est trop drôle.
Laura : - Je te trouve bien désinvolte quand on sait que ta négligence a failli tuer ma fille.
Gabrielle (elle prend Laura à part) : - Je dois dire, Laura, que t’es un peu rabat-joie depuis que t’as laissé tomber la cigarette. Si t’essayais la pipe ?!
Laura : - Je dois dire, Gaby, que je te trouve très nulle comme mère.
Gabrielle : - Attends, tu oses me dire ça en face ?
Laura : - Oui et je ne pourrais, hélas, plus amener ma fille ici à l’avenir, la sécurité et le bien-être de mon enfant étant, bien sur, la priorité.
Gabrielle : - D’accord. Juanita ne recevait la pauvre Rachel que parce qu’elle lui faisait pitié. C’était purement humanitaire.
Laura : - Et, Rachel ne viendra pas à la fête d’anniversaire de Juanita, inutile de le préciser.
Gabrielle : - Très bien, ça nous fera du gâteau en plus. Dégage.
Laura (à sa fille, Rachel) : - Aller viens, ma bichette, on s’en va.
Mary Alice (en voix off) : - Oui, il est dans notre nature de juger ceux qui nous entourent. Tout comme il est dans notre nature…
Gabrielle : - Si tu lui avais enseigné la technique du roulé-boulé, à ta gamine, on n’aurait jamais eu cette conversation.
Susan : - Si c’est pas une affaire d’Etat, pourquoi est-ce que tu ne m’as rien dit ?
Mike : - Julie venait d’être hospitalisée. Si je ne t’ai rien dit, c’est parce que j’ai pensé, quel imbécile, que ça te perturberait de la savoir.
Susan : - Et là, je suis perturbée parce que je viens de réaliser que Katherine ne souffre pas et qu’elle complote. Alors, je vais aller la voir immédiatement et je vais…
Mike : - Non, Susan, tu ne vas pas jeter de l’huile sur le feu.
Susan : - Oh, ben t’as raison, je vais jeter de l’huile sur Katherine. Et si tu m’aimes, trouve-moi une allumette et un alibi.
Mike : - Chérie, laisse-la raconter des histoires, laisse-la comploter et arrête de t’inquiéter pour rien. Je t’aime, Susan, tu es tout pour moi. Et Katherine ne représente rien.
Susan : - Mm, ça c’est gentil (elle embrasse Mike). Je fonce le lui répéter.
Mike (retenant Susan) : - Viens par ici (ils s’embrassent de nouveau).
Carlos : - Qu’est-ce qui se passe ?
Gabrielle : - Heidi Bremmer vient de m’informer que sa fille ne viendra pas à l’anniversaire. Elle doit aller avec Dan rendre visite à sa mère qui est en maison de retraite.
Carlos : - Pourquoi ça te fâche ?
Gabrielle : - Parce que c’est faux. Heidi déteste sa belle-mère. Elle traverserait même pas la rue pour aller vois cette espèce de fossile. C’est la troisième annulation de la journée et toutes leurs excuses sont bidons.
Carlos : - Pourquoi les gens mentiraient pour échapper à un goûter d’anniversaire ?
Gabrielle : - Parce que Laura Miller crache son venin partout. Elle dit à tous les parents d’élèves que quand les enfants sont ici, ils sont pas en sécurité. Et toutes ces bonnes femmes l’écoutent. Et en plus, elles gobent ça.
Carlos : - Juanita sera malheureuse comme tout si personne ne vient.
Gabrielle : - Ils vont venir, t’inquiètes pas. Faut qu’on mette le paquet, c’est tout.
Carlos : - Et ça, ça va me coûter un fric fou, je suis sûr.
Gabrielle : - Carlos, y a des femmes qui pensent que je suis une mauvaise mère et toi, ton job, c’est de me soutenir. Alors tu la fermes et t’allonges le blé.
Carlos : - Mais ce serait pas plus simple de garder un œil sur les enfants pendant qu’ils s’amusent.
Gabrielle : - Attends, tu oses me dire ça ?
Carlos : - Tiens (il lui donne son portefeuille), il est à toi.
Orson : - Et voilà ! Langoustines grillées. Ton plat préféré.
Bree : - Orson, quelle délicate attention !
Orson : - J’ai eu un mal fou à en trouver. Un premier poissonnier a essayé de me refiler des crevettes. Et quand j’ai voulu lui expliquer la différence, monsieur a commencé à se fâcher.
Bree : - Mais qu’ont donc les gens sensés être à notre service ? Avant, ils se montraient polis et respectueux. De nos jours, ils ont une façon de nous regarder de haut… C’est intolérable.
Orson : - Mais je ne les laisserais pas gâcher un bon dîner, ça non.
Bree : - Excuse-moi, aujourd’hui, j’ai eu moi aussi une rencontre des plus désagréables.
Orson : - Ah oui ! Où ça ?
Bree : - Dans… un café. Un café où je déjeunais. Et j’ai eu affaire à une serveuse mal élevée et méprisante.
Orson : - Méprisante ! Avec toi ?! Mais tu aurais dû tout simplement lui mettre ton livre à succès sous le nez comme tu l’as fait la semaine dernière au centre commercial.
Bree : - À mon avis, il lui en faut beaucoup plus pour être impressionnée.
Orson : - Tu crois ? Mine de rien, tu l’as remise à sa place, cette vendeuse de bretzels.
Bree : - J’étais tellement déconcertée que je n’ai pas su quoi dire. J’ai juste… laissé courir.
Orson : - C’est un café où tu déjeunes souvent ?
Bree : - Oh ! Aussi souvent que je le peux.
Orson : - Dans ce cas, la prochaine fois que tu y vas, tu devrais mettre les pendules à l’heure. Un peu de courtoisie, que diable !
Bree : - Merci de ton conseil, je le ferais peut-être dès demain.
Orson : - C’est agréable, non, de partager nos repas, se raconter nos petites journées. Et si tu faisais une croix sur ce café demain et que j’ose te préparer une délicieuse salade ou une omelette ?
Bree : - C’est très gentil à toi mais pour demain, j’ai déjà prévu quelque chose d’un peu plus relevé.
Roy : - Bon sens, vous êtes partout, vous. Faudrait qu’on songe à vous mettre une clochette.
Lynette : - Pourquoi vous téléphoniez à Tom ?
Roy : - Je voulais être sûr qu’il n’a rien contre l’endroit où vous voulez accrocher ce nichoir parce que c’est lui l’homme de la maison.
Lynette : - Ok, je vois ! Etant donné que vous utilisez un portable, vous savez dans quel siècle on vit. Alors juste pour clarifier les choses, c’est inutile de tout vérifier comme ça auprès de Tom, je prends un max de décisions dans notre foyer.
Roy : - Je l’avais remarqué. Disons que je préfère le traiter avec un peu de respect.
Lynette : - Excusez-moi !
Roy : - Vous lui écrasez les noix et on sent que ça vous plaît de faire ça mais moi, c’est pas mon truc.
Lynette : - Mais sans vouloir vous contredire, ses noix sont tout ce qu’il y a de plus intact. Et vous voulez que je vous dise, je crois qu’on a finit là. Je ne vous retiens plus.
Roy : - Je m’en vais. Dès que j’ai accroché votre cabane à oiseaux. Au fait, il a dit que l’endroit lui était égal. Vous avez donc gagné, encore !
Lynette : - Quoi ? Il ne s’agit pas du tout de gagner et je viens de vous virer, alors vous n’avez qu’à rentrer chez vous.
Roy : - Pas tout de suite. J’ai promis à Tom que je l’installerais, je vais donc le faire.
Lynette : - Oui, alors (elle reprend de force la cabane à oiseaux des mains de Roy et la jette par terre).
Roy : - Oh ! J’aurais volontiers nettoyé ce bazar mais vous venez de me renvoyer.
Katherine : - Susan. Juste un mot. Tu n’as pas vu que j’avais levé la main ? Je me portais volontaire.
Susan : - J’ai vu. Là, en fait, j’ai voulu prendre des personnes ayant toutes les qualités pour protéger les environs.
Katherine : - Et tu as pris Irma Pritchet ? Elle a un fils en maison de retraite, Irma.
Susan : - Oui, Katherine, c’est vrai, elle est âgée mais c’est pas une supère menteuse, elle.
Katherine : - Je ne suis pas sûre d’avoir compris.
Susan : - Dis-moi, c’est pas toi qui va raconter à tout le monde que mon mari te drague ?
Katherine : - Oh ! Susan. Tu es sous tension, c’est terrible, je sais, mais… franchement, crois-tu que ce soit sage d’étaler ton linge sale comme ça, ce soir, devant tout le monde ?
Susan : - C’est ton linge qui est sale. Mon linge est nickel, plié et bien rangé, espèce de barjot.
Bree : - Hum ! Les filles ? Est-ce que tout va bien ?
Katherine : - Non, rien ne va. Je suis soi-disant une menteuse et… et une barjot, à présent.
Susan : - Très bien. Vous avez tous entendu ce qu’elle a raconté, vous avez vu la conduite qu’elle a eue à mon mariage.
Mona Clark : - Susan, tout le monde n’a pas été invité à ton mariage.
Susan : - Ça va, Mona, je sais que t’as pas digéré cet affront.
Katherine : - Susan, ça se conçoit que tu sois contrariée. Oui, moi aussi, je serais à cran si mon couple avait ce type de problèmes.
Susan : - Ok ! Alors, Mike est heureux avec moi et je suis heureuse avec lui. Le seul problème qu’on ait c’est toi. Donc, tu restes en dehors de nos vies sinon tu vas le regretter.
Katherine : - Si vous êtes aussi heureux que tu le prétends, Mike, où est-ce qu’il est parti ?
Susan (soupirant) : - Il est allé déboucher le siphon d’une dame (ses amies lui lancent un regard étrange). Et oui, la formulation était équivoque. Vous devriez arrêter les fantasmes !
Carlos : - Faudrait peut-être arrêter de te torturer. C’était pas si dramatique.
Gabrielle : - Carlos, un macaque a failli tuer un clown. Ça c’est la définition d’une fête qui a pris une tournure dramatique.
Katherine : - Tu vas aller en prison. Tout le monde t’a entendu proférer des menaces contre moi, j’ai des témoins.
Susan : - Oh mais enfin ! Si je voulais te tuer, tu crois que je le ferais dans mon jardin, côté rue, non. J’entrerais chez toi en douce et je te descendrais dans ton sommeil. (Regard désapprobateur de ses amis) Quoi ? Jamais je ferais ça !
Membres additionnels de la production
Producteur exécutif :
Matt Berry (II), Marc Cherry, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif :
Dave Flebotte, Peter Lefcourt, Marco Pennette
Producteur :
Stephanie Hagen, Charles Skouras III
Producteur superviseur :
Jamie Gorenberg
Producteur consultant :
Alexandra Cunningham, Joe Keenan
Musique :
Steve Jablonsky
Montage :
Jonathan Posell
Directeur de la photographie :
Lowell Peterson
Création des décors :
P. Erik Carlson
Assistant montage :
Joe Rockom
Bruiteur :
Ryan Maguire
Chargé de Production :
Charles Skouras III
Chef accessoiriste :
Chuck McSorley
Chef décorateur :
Erica Rogalla
Coiffeur :
Gabor Heiligenberg
Coordinateur des cascades :
Wally Crowder
Coordinateur des Effets Spéciaux :
Mark DiSarro
Coordinateur de la production :
Julianne Weick-Maunder
Coordinateur de Post-Production :
Nick Corney
Coordinateur des transports :
Bo Ehrig
Créateur des Costumes :
Catherine Adair
Directeur Artistique :
Brian Jewell
Distribution des rôles :
Scott Genkinger, Junie Lowry-Johnson
Maquilleur :
John Elliott
Montage de l'histoire :
Jason Ganzel
Monteur online :
Greg Faluszczak
Monteur Son :
Gary Megregian
Premier Assistant Réalisateur :
Thomas A. Irvine
Producteur associé :
Dana N. Wilson
Second Assistant Réalisateur :
Richard E. White
Supervisation du scénario :
Linda Leifer
Superviseur de la musique :
David Sibley
Superviseur de la post-production :
Luke Haberkorn
Superviseur de la production :
Amanda K. Roberts
Superviseur du montage son :
Robb Navrides
Technicien des effets spéciaux :
Jamal J. Farley
Membres : pour accéder aux avantages membres, vous devez être inscrit ou identifié avec votre login Mise à jour le : 22/09/2010 à 02:16 |