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Le Crime Est Son Affaire
Titre original : Crime Doesn't Pay
Saison 5 - Episode 16 | N° dans la série : 104 | N° de Production : 516
1ère Diffusion (Originale) : 08/03/2009 - (Française) : 21/05/2009

Résumé

Suite à la vente de la pizzeria des Scavo, Bree tente d’aider ses amis dans la recherche d’un emploi. Gaby, quant à elle, se retrouve dans une situation précaire lorsque Bradley Scott, le patron de Carlos, l’utilise comme alibi pour tromper sa femme.
Pendant ce temps, Katherine organise une fête en l’honneur de Mike qui vient d’emménager chez elle et qui, finalement, ne se passe pas comme prévue. Alors qu’Edie, suite à une rencontre avec une vieille connaissance de Dave, commence à se poser des questions au sujet de son mari.


Synopsis de l'épisode

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Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Jamie Gorenberg

Réalisateur(s) : Larry Shaw

Acteurs présents : Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Neal McDonough (Dave Williams), Doug Savant (Tom Scavo), Nicolette Sheridan (Edie Britt)

Guest Star(s) Récurents : Kathryn Joosten (Mme McCluskey) [x6]

Guest Star(s) : John Ciccolini (L'homme dans la pizzéria), Megan Hilty (Shayla Grove), Don Moss (Le père Drance), Ion Overman (Maria Scott), Christopher Rich (Bruce), David Starzyk (Bradley Scott)

Notes de production

* Notes :
- Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est "Les Bonnes Manières".
- Dates des diffusions internationales :
● Amérique Latine : le 20 mai 2009 sur Sony Entertainment Television (Canal Sony).
● Australie : le 8 juin 2009 sur Channel Seven/7HD.
● Les Pays-Bas : le 25 août 2009 sur Net5.
● Finlande : le 31 août 2009 sur Nelonen.
● Allemagne : le 30 septembre 2009 sur ProSieben.

* Gaffe :
- Dans la scène où Bree demande à Orson de ranger son manteau dans le placard, elle prend le journal qui est sur la table basse, le plie et le met sous son bras gauche. Or, dans le plan suivant, elle se trouve face à Orson et reprend le journal encore une fois, le plie de nouveau pour le remettre sous son bras gauche.

* Allusion :
- Le titre de l’épisode en version originale, “Crime doesn’t pay”, fait parti des paroles d’une chanson d’une comédie musicale passée à la télévision en 1954, dont l’auteur est Stephen Sondheim et qui l’a coécrit avec Mary Rodgers, mais qui n’a jamais été produite par la suite.

* Citations :
Mary Alice (en voix d'ouverture) : - Tous ceux qui ont rencontré Orson Hodge savent que c’est un homme bien élevé. Il salut ses voisins chaque jour d’un joyeux…
Orson : - Bonjour.
Mary Alice (en voix d'ouverture) : - Il fait preuve de galanterie en volant au secours des femmes.
Orson (se précipitant pour ouvrir la porte de la voiture d’une passante les bras chargés de paquets) : - Vous permettez ?
Mary Alice (en voix d'ouverture) : - Lorsqu’il bouscule un passant dans la rue, il s’en excuse aimablement.
Orson (bousculant quelqu’un) : - Je vous prie de m’excuser.
Mary Alice (en voix d'ouverture) : - Et lorsqu’il sait un de ses amis en difficultés, Orson est le premier à dire…
Orson (entrant dans la pizzeria et s’adressant à Tom) : - Un coup de main peut-être ?
Mary Alice (en voix d'ouverture) : - Que l’ami en question veuille de son aide… ou pas.

Orson : - Je pense que, de tous les gens qui t’entourent, je suis le mieux placé pour comprendre l’épreuve que tu traverses.
Tom : - Pourquoi, toi, tu serais le mieux placé ?
Orson : - Je sais ce que c’est que d’avoir l’impression que tout s’écroule. N’oublie pas que j’ai été dentiste.
Tom : - Ah oui, oui, c’est vrai.
Orson: : - Eh oui.
Tom : - Mais c’est deux situations différentes, je dirais que ça n’a rien à voir.
Orson : - Comment ça ?
Tom : - Mon entreprise a commencé à battre de l’aile parce que toute l’économie est en crise et ça s’est aggravé quand mon fils a été accusé d’un crime qu’il n’a pas commis alors que toi, tu as perdu le droit d’exercer parce que tu as fait de la prison pour un crime que tu as commis.
Orson : - Pourquoi es-tu comme ça avec moi ?
Tom : - Parce que ce qui m’arrive est injuste et ce qui est arrivé à toi…
Orson : - N’est que justice ?
Tom : - Oui. Et que tu compares ma situation à la tienne, dans un moment comme celui-là, c’est… Je suis désolé, je considère que c’est une insulte.

Mary Alice (en voix d'ouverture) :
- Oui, tous ceux qui ont rencontré Orson Hodge savent que c’est un homme extrêmement poli. Ce qu’ils ignorent, c’est qu’il est capable de punir ceux qui ne le sont pas.

Mary Alice (en voix d'ouverture) :
- Le jour où Mike Delfino s’est installé avec Katherine Mayfair, elle pensa qu’il serait bon de partager son bonheur. Elle décida de donner une grande fête et d’inviter ses voisins et amis. Mais dès que les premières invitations furent distribuées, les amis commencèrent à émettre des hypothèses sur qui serait invité et qui ne le serait pas.

Edie : - Wo, wo, wo. Qu’est-ce qui se passe, là ? Pourquoi vous vous crêpez pas le chignon ?
Susan : - Pourquoi on se crêperait le chignon ?
Edie : - Pourquoi ? Mais ton ex va vivre avec elle. Et ça, quand c’est à moi que ça arrive, j’ai le droit à Mayer en furie sur ma pelouse.
Gabrielle : - Elle a raison, faut être honnête, Susan, t’étais pas aux anges quand t’as appris qu’ils allaient vivre ensemble.
Susan : - Ouais, c’est vrai. Au début, j’étais pas contente. Mais je savais qu’un jour Mike finirait par refaire sa vie et… et je peux m’estimer heureuse que ce soit avec quelqu’un qui, malgré ce que j’ai pu dire, a toujours été une véritable amie.
Katherine : - C’est adorable, merci.
Bree : - C’est admirable.
Edie: - Et c’est pas normal. Hey Gaby, tu te rappelles quand j’étais avec Carlos ?
Gabrielle : - Tais-toi pétasse !
Edie : - Vous voyez, ça c’est normal.

Lynette : - Tom, je sais que c’est une journée horrible pour toi, mais on doit essayer de tourner la page et se projeter dans l’avenir maintenant.
Tom : - Je t’ai dis que j’envisageais de trouver un boulot.
Lynette : - Et c’est une très bonne nouvelle. Et quand crois-tu que cette bonne nouvelle portera ses fruits.
Tom : - Lynette, ça suffit. Je suis au bord de la crise de nerfs, je sais pas si tu vois.

Lynette s’adressant à un homme voulant marchander :
- Là, je crois, que vous feriez mieux d’arrêter votre marchandage sinon votre nez va subir le même sort que le four et le lave-vaisselle.

Carlos (parlant de Maria et Bradley Scott) : - Qu’est-ce qu’ils viennent foutre ici ?
Gabrielle : - Ils ont des places de théâtre et leur baby-sitter s’est décommandée, j’ai proposé de garder les petits.
Carlos : - Génial, Gaby. On aide ce salopard à tromper sa femme, on peut bien jouer les baby-sitters.
Gabrielle : - Chut !

Bree : - Et pour Tom, comment ça se passe ?
Lynette (regardant Tom) : - Bien, il tient le coup.
(Tom est en peignoir dans le jardin, des journaux à la main.)
Bree : - Il est déjà midi !
Lynette : - Oui, il s’est levé tôt aujourd’hui.

Orson : - Salut, Mike ! J’avais hâte de voir un de tes fameux cocktails.
Mike : - Oui, comme Mme McCluskey qui est arrivée très tôt.
Orson : - Aah !
Mike : - Non, pas de panique, j’ai envoyé Edie cherché des bouteilles.
Orson : - Tu envoies la souris acheté du fromage ? Bien joué !

Susan : - Katherine et moi, on a décidé de la jouer très classe. Pourquoi vous ne me croyez pas d’ailleurs ?
Lynette : - Ben voyons, je te le demande. Tu crois donc que l’on est né de la dernière pluie ?

Mme McCluskey : - Hey, Kathy ! Où est passé le tableau de Susan ?
Katherine : - Oh ! Je suis maladroite. En faisant la poussière hier, je l’ai fait tomber. La vitre s’est brisée et je l’ai déposé chez l’encadreur. Je le récupère bientôt. (Regardant autour d’elle.) Oh, excusez-moi (elle s’en va).
Bree : - Qu’est-ce que je vous disais, c’est… un mensonge grotesque.

Gabrielle : - Vous m’écoutez, là ! Je suis entrain de vous parler de pauvres innocents à qui je gâche la vie.
Shayla Grove : - Gaby, vous m’avez l’air d’une femme sympathique et extrêmement généreuse. Je dis que vous avez tort de vous faire du mal.
Gabrielle : - Oh ! Mais nom de Dieu, espèce de blondasse tordue, je ne parle pas de moi, je parle de vous et de Bradley.
Shayla Grove : - Hein, quoi ? Mais c’est… c’est quoi ça et qui êtes vous ?
Gabrielle : - Je suis une amie de Maria, qui justement est une femme sympathique et extrêmement généreuse.
Shayla Grove : - Oui, c’est possible mais Bradley ne l’aime plus. Il a dit qu’il allait la quitter.
Gabrielle : - Mais, Shayla, ce sont des histoires. Sa femme est enceinte.
Shayla Grove : - C’est impossible. Ils n’ont plus de relations sexuelles depuis un an.
Gabrielle : - Dans ce cas, appelez le Vatican qu’ils préviennent les Rois Mages et qu’ils préparent la crèche.

Bree : - Merci infiniment de vous joindre à nous, ce soir. Puis-je prendre votre manteau ?
Bruce : - Bien sur (il enlève son manteau). Oh, attendez. Je vais prendre mon cerveau, j’en ai besoin (il sort un dictaphone de sa poche). Je ne vais jamais nulle part sans ceci comme ça quand j’ai une bonne idée, boum, je la mets tout de suite en boîte.
Orson : - Oh, ça a l’air très utile comme appareil.
Bruce : - Merci, Orville.
Bree : - C’est Orson.
Bruce : - Orville, Orson, de toute façon, c’est un enfant qui a dû revenir de l’école couvert de bleus. (Se tournant vers Orson et le montrant du doigt.) J’ai pas raison ? (Il parle dans son dictaphone.) Idée de livre pour enfant : un gamin devient le bouc-émissaire de ses camarades de classe à cause d’un prénom ridicule comme Orson.

(Susan ouvre sa porte et découvre Katherine un bouquet de fleurs à la main.)
Susan : - Salut, Katherine.
Katherine : - Mike est de l’autre côté, il nous observe et veut s’assurer que je viens m’excuser même s’il est évident, pour moi, que c’est toi qui devrait t’excuser d’avoir bousillé ma fête. Alors 1, 2, 3, je suis restée suffisamment longtemps (elle lui donne le bouquet), voilà. Je t’emmerde, au revoir.

Tom (retenant Lynette) : - T’as pas intérêt à prendre mon travail.
Lynette : - Quoi ? Ton travail que tu vas surement décrocher en boudant pendant tout le dîner, comme un gamin. T’avais une chance et tu l’as fichu en l’air.
Tom : - Ah ouais ?
Lynette : - Ouais.
Tom : - Tu as défié le taureau, tu l’as même insulté. Ne t’étonne pas s’il montre les cornes.
Bree (à Orson) : - Il vaut mieux couper la tarte ici, vue l’ambiance, je préfère éviter les couteaux.

Tom (à Bruce) : - Bruce, j’ai voulu expliqué à Lynette que j’ai fait semblant de ne pas être inspiré par votre proposition uniquement pour voir si ce poste était important à vos yeux. Et il l’est. Alors ça devient intéressant.
Bruce : - Astucieux.
Tom : - Oui, bien sur nous n’avons pas encore parlé de rémunération mais je vous fais entièrement confiance.
Lynette : - Tu sais, Tom, tu as raison. Pour Bruce, ce poste est très important, c’est pourquoi il veut s’assurer d’embaucher la personne qu’il faut. (Bruce la montre du doigt.)
Tom : - Justement, Lynette, tu l’a dis toi-même, je suis le meilleur.
Lynette : - C’est vrai, tu étais le meilleur employé que j’ai jamais eu. (A Bruce) J’étais sa patronne.

Orson (parlant de Bruce) : - Je ne comprends même pas que l’un deux veuille travailler pour cet imbécile.
Bree : - N’oublie pas tout ce que Bruce a fait pour moi.
Orson : - C’était intéressé. Il savait qu’avec toi il gagnerait plein d’argent. Moi, en revanche, il me voit comme quelqu’un d’insignifiant, je ne vaux rien. Mon nom ne mérite même pas d’entrer dans son dictaphone maudit en forme de phallus.

Lynette : - Tom était très doué, jusqu’à ce qu’il se fasse viré.
Tom : - Pour être sincère, quand j’ai été renvoyé, ça a été un véritable soulagement. Il faut dire que mon patron n’était pas très tendre. Oups (montrant Lynette), il est là. Je suis désolé, chérie (avec l’accent italien).
Bree : - Une petite douceur, j’espère que ça vous fait plaisir ?
Bruce : - A moi, oui.

Lynette : - Qui n’a pas eu de problèmes avec son patron ? Hein, Tom ? Je vous avouerais que j’ai menti légèrement en vous disant que le restaurant marchait bien. En vérité, il n’a pas su gérer sa pizzeria et il a complètement coulé.
Tom (à Bruce) : - Bon, je vais être très clair. Lynette est quelqu’un de formidable. Elle a le sens des responsabilités, elle a d’excellents rapports avec les gens, c’est vraiment la personne qu’il vous faut. A condition que le cancer ne re-pointe pas le bout de son nez.
Bruce : - Vous savez quoi ? Il se fait tard. Je crois que je ferais bien de rentrer chez moi.
Lynette : - Et pour le poste ?
Bruce : - Ah, oui. J’entame les recherches et je pense que je mettrais du temps à me décider. Mais ce que je peux vous dire, c’est que vous m’avez fait une sacrée impression.

Orson : - Oh, quel dommage que vous ne restiez pas pour le dessert, j’ai fait une tarte tâtin.
Bruce (parlant dans son dictaphone) : - Autre idée de roman : une femme qui a épousé un homosexuel et ne se doute de rien.

Tom : - Franchement, j’aurais donné cher pour entendre ce que Bruce a dit de nous et ce qu’il a enregistré sur son dictaphone après nous avoir quittés.
Lynette (faisant semblant de parler dans un dictaphone) : - Idée : se renseigner sur un couple qui semble évader d’un hôpital psychiatrique.

Susan : - C’est mon tableau que je viens récupérer.
Mike : - Mais, tu me l’as donné, il m’appartient.
Susan : - Et ben, je le reprends et je sais que tu vas t’en remettre.
Mike : - Si c’est à cause de ce qui s’est passé l’autre soir à la fête, c’est…
Susan : - Oui, c’est exactement ça. Et c’est d’ailleurs à ce moment-là que j’ai décidé que ça ne plaisait pas tellement de voir cette œuvre d’art, dont je suis très fière, accrochée dans la maison que tu partages avec ta nouvelle petite amie. Pigé ?
Mike : - J’aimerais comprendre. Tu faisais la tête l’autre jour parce qu’il n’était pas accroché et maintenant tu le reprends ?
Susan : - Et ben, parfaitement. Je suis une nana compliquée. Tu dois être content d’avoir divorcé. Si vous voulez un tableau qui représente une plage, peignez-en un vous-même.

Mary Alice (en voix de clôture) :
- Ne vous laissez pas impressionner par les bonnes manières. Il est facile d’adresser un salut poli et amical à la personne que l’on vient de voler. Ces gens si bien élevés peuvent également vous accueillir avec le sourire et tenter, par ailleurs, de percer tous vos secrets. Ils sont aussi capable de vous offrir un café tout en vous dénonçant à la police. De même, ne soyez pas choqué par le comportement de ceux qui vous traitent sans ménagement. Derrière cette attitude, se cache parfois une générosité sans limite.

Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Matt Berry (II), Marc Cherry, Alexandra Cunningham, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif : Dave Flebotte, Lori Kirkland Baker
Producteur : Stephanie Hagen, Charles Skouras III
Producteur superviseur : Jamie Gorenberg
Producteur consultant : Jeff Greenstein
Musique : Steve Jablonsky
Montage : Karen Castaneda
Directeur de la photographie : Lowell Peterson
Création des décors : P. Erik Carlson
Producteur associé / délégué : Dana N. Wilson
Analyse du scénario : Jordon Nardino

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Ajoutée le : 27/02/2009 à 22:34 -Mise à jour le : 20/06/2015 à 16:38