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Tom Dans le Jardin du Bien et du Mal
Titre original : Rose's Turn
Saison 5 - Episode 20 | N° dans la série : 108 | N° de Production : 520
1ère Diffusion (Originale) : 26/04/2009 - (Française) : 04/07/2009

Résumé

Orson panique quand il s’aperçoit que Rose Kemper, la femme à qui il a voulu voler un bibelot, est hospitalisée dans le même hôpital que lui. Et tout le monde s’inquiète pour Dave, suite à la mort d’Edie, car ce dernier reste enfermé chez lui.
Pendant ce temps-là, Gaby suit des cours de jardinage mais quand elle s’aperçoit que ce sont vraiment des cours de jardinage, elle demande à Tom de se joindre à elle car elle veut se débarrasser de la responsable des cours, Edna. Mais sa venue va causer des problèmes.
Venue chercher Lynette chez elle alors qu’elle prend une douche et qu’elle tombe inconsciente, Carlos voit Lynette nue. Cette dernière lui demande de ne rien dire à Tom.


Synopsis de l'épisode

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Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Dave Flebotte

Réalisateur(s) : David Warren

Acteurs présents : Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Neal McDonough (Dave Williams), Shawn Pyfrom (Andrew Van De Kamp), Doug Savant (Tom Scavo)

Guest Star(s) Récurents : Kendall Applegate (Penny Scavo) [x14], Mason Vale Cotton (Mayard "M.J" Delfino) [x8], Madison De La Garza (Juanita Solis) [x13], Joshua Logan Moore (Parker Scavo) [x11]

Guest Star(s) : John Eric Bentley (L'officier), Bonnie Hellman (Phyllis), Judy Kain (Edna), Sarah Knowlton (Patty Rizzo), Gloria LeRoy (Rose Kemper), Matt Malloy (Dr Kagan), Corinne Reilly (Grace)

Notes de production

* Notes :
- Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est "Un Geste Amical".
- Cet épisode marque la centième apparition de Marcia Cross en tant que Bree Hodge.
- Dates des diffusions internationales :
● Amérique Latine : le 17 juin 2009 sur Sony Entertainment Television (Canal Sony).
● Australie : le 8 juillet 2009 sur Channel Seven/7HD.
● Les Pays-Bas : le 22 septembre 2009 sur Net5.
● Finlande : le 28 septembre 2009 sur Nelonen.
● Allemagne : le 28 octobre 2009 sur ProSieben.

* Allusion :
- Le titre de l’épisode en version originale, “Rose’s Turn”, est tiré d’une comédie musicale de Stephen Sondheim qui porte le titre de Gypsy et qui date de 1959.

* Citations :
Mary Alice (en voix d’ouverture) :
- Rose Kemper était une survivante. Cela se voyait à son regard. Elle avait enterré un mari, donné naissance à cinq enfants, avait survécu à la maladie, la banqueroute et même à la perte de ses dents. Le résultat c’était que Rose Kemper n’avait plus peur de rien. Hélas, l’homme qui a grimpé à sa fenêtre cette nuit-là, ignorait tout ça. Et Rose s’est fait un plaisir de lui expliquer. (Rose frappe Orson entrain de la cambrioler, regarde par la fenêtre, voit l’accident d’Edie et a une attaque. Katherine se rend à son chevet.) Non, Rose Kemper n’avait peur de rien. Mais l’homme qui s’est introduit chez elle, était désormais terrifié par Rose Kemper.

Katherine : - Les médecins disent que vous avez fait une attaque.
Rose Kemper : - Vous savez pourquoi ? (Katherine lui fait signe non de la tête.) C’est la mort, en personne, elle est venue me voir.
Katherine : - La mort est venue vous voir.
Rose Kemper : - Mais je l’ai fait fuir. Avec ma batte de baseball. Je l’ai frappé un bon coup en plein sur la caboche.
Katherine (rigolant) : - Quelle dose de morphine vous ont-ils injectée ?
Rose Kemper : - Vous savez tous les bibelots que j’ai sur mon étagère ? Elle a essayé de m’en voler un.
Katherine : - La mort collectionne les bibelots.
Rose Kemper : - Et voyant qu’elle ne pouvait pas m’avoir, elle s’en ait pris à l’autre dame. Celle qui a eu l’accident de voiture.
Katherine : - Edie Britt ?
Rose Kemper : - Oui, j’ai vu tout ce qui s’est passé. La mort a couru, elle s’est précipité dans la rue en levant les mains comme ça (elle met les mains en l’air). Elle a obligé cette femme à rentrer dans ce poteau.

Mary Alice (en voix d’ouverture) :
- A qui n’est-ce jamais arrivé ? Parfois, il suffit de retourner le coussin. D’autres fois, c’est le gros pot de plantes qui fait l’affaire. Et par moment, c’est un bouton de chemise qui nous sauve. Nous avons tous quelque chose que nous aimerions garder à l’abri des regards. (Le médecin de l’hôpital examine Orson.) Mais certains sont plus doués que d’autres… pour le mensonge.

Katherine (parlant de Dave) : - Là, ça commence à m’inquiéter.
Susan : - Ouais, je lui ai laissé ce ragoût il y a trois jours devant chez lui et il est toujours là. Je suis étonné que les écureuils l’aient pas touché.
Lynette : - Peut-être qu’ils y ont touché ? En tout cas, si on voit un écureuil mort, on saura pourquoi.

Lynette (parlant de Dave) : - Je propose de revenir et d’insister jusqu’à ce qu’il ouvre.
Susan : - Des filles emmerdante et persévérante, ça on sait faire.
Lynette : - Alors, qui peut revenir tout à l’heure ? Je le ferais bien mais je vais rentrer tard.
Susan : - Et moi, j’ai cours toute la journée et après je suis en réunion.
Katherine : - Je prépare un dîner de mariage.
Gabrielle : - Oh, j’ai un cours de jardinage cet après-midi.
(Katherine, Lynette et Susan la regardent d’un air de ne pas la croire.)
Lynette : - Un cours de jardinage ?
Gabrielle : - Oui, je viens de m’inscrire.
Susan : - Eh ben…
Lynette : - J’espère qu’il n’y a pas de vrais jardiniers dans ton club, si ?
Susan : - De beaux jardiniers torses nus avec des abdos incroyables et un permis tout neuf ?
Gabrielle : - Dites donc, quel humour les filles ! Je vous trouve de plus en plus drôle.
Katherine : - On taquine seulement ceux qu’on aime. Revenons à Dave. Je dirais à Mike d’y aller.
Lynette : - Bonne idée.
Susan : - Rappelle-lui, emmerdant et persévérant. Et je peux faire un autre ragoût.
Lynette : - Ouais, il a pas assez souffert !
Gabrielle (rigolant) : - Ça c’est le genre de blague que j’adore.

Tom (s’approchant de Lynette et l’embrassant) : - Mm, tu sens bon.
Lynette : - J’ai pris une douche. Tom, je sais pas où tu veux en venir mais je… je suis vraiment crevée.
Tom (se relevant) : - Oh Lynette, s’il te plait.
Lynette : - Ooh, pleurniche, c’est excitant ! (Tom met les mains sur ses hanches.) Très bien, faisons l’amour. (Elle se couche, les bras en l’air.) Mais je ferais l’étoile de mer et sache que je t’en voudrais de tout mon cœur jusqu’à ce que le supplice prenne fin.
Tom : - D’accord, enfin, si t’en es sure.

Tom : - Attends, t’as débarqué dans le bureau de Carlos, tu t’es mise à poil et t’as décidé d’utiliser sa douche ?
Lynette : - Non, je suis entrée dans sa salle de bain, j’ai fermé la porte, je me suis mise à poil et j’ai pris une douche.
Tom : - Eh mais, ça ne ma plait pas du tout. Et s’il s’était pointé ?
Lynette : - J’aurais peut-être eu cette fameuse augmentation.
Tom : - C’est pas drôle. Tu passes déjà 16 heures par jour avec lui et là, tu m’annonces l’air de rien, comme ça, que tu peux être pendant tout ce temps-là mouillée et toute nue.
Lynette : - Pendant tout ce temps-là ? Mais ça a duré deux minutes. Crois pas que j’ai allumé les bougies et que j’ai mis Barry White.
Tom : - Ça m’est égal, je veux que t’arrête, point.
Lynette : - D’accord.
(Tom se lève et va dans la salle de bain.)
Lynette (se parlant à elle-même) : - J’aurais dû le laisser faire, je dormirais à l’heure qu’il est.
(Tom repasse la tête par la porte.)

Gabrielle (s’adressant à deux autres femmes du cours de jardinage) :
- Je sais que je viens d’arriver dans le club mais c’est quoi cette folie ? Je pensais que le jardinage c’était surtout l’occasion de boire et de commérer.

Lynette (parlant du fait que Carlos l’ait vue nue) : - Et ce qui me ferait encore plus plaisir c’est que cette histoire, tu évites d’en parler.
Carlos : - Oh, j’ai pas le droit de me vanter d’être un super héros moi qui me faisais une joie de l’écrire dans ma lettre au Père Noël.
Lynette : - Tom deviendrait dingue s’il le savait. Il est bizarre pour ça. Il ne veut pas qu’un autre homme me voit à poil.
Carlos : - Bon d’accord. Maintenant habille-toi, on y va (il reste dans la chambre).
Lynette : - Sort de ma chambre, s’il te plait. Je me donne en spectacle qu’une fois par jour.
Carlos (s’en allant) : - Excuse-moi.

Tom : - Non, mais rassure-toi, ça me plait beaucoup d’être là. L’ambiance est très agréable. Il y a plein de gens intéressants.
Gabrielle : - Oui, je vois ce que tu veux dire. Et à ce propos, Patty a un faible pour les hommes mariés.
Tom : - Oh, Patty, non ! Non, non, non, non, non, elle est sympa, c’est tout.
Gabrielle : - Oui, elle donne son soutien gorge au premier venu, c’est sympa.
Tom : - Oh, oh, oh mais ça va, on fait que discuter.
Gabrielle (imitant Patty) : - Oh, Tom, tes bras, comme ils sont musclés. C’est ça discuté.
Tom : - Ah ça, oui c’est vrai. Bon, j’en prends note.
Gabrielle : - Parfait. Sur ce, excuse-moi, je retourne à mon jardinage (elle met en route le mixer).

Andrew (parlant d’Orson) : - Heureux mais à quel point ? Est-ce qu’il va seulement siffler en travaillant ou bien il faut s’attendre à le voir faire le tour de la maison en sautillant ?
Bree : - Je ne t’ai pas élevé pour être médisant.
Andrew : - Non, tu m’as élevé pour être un passif, agressif. Ma médisance est venue naturellement.
Bree : - Et bien, garde ce penchant pour les petits karaokés chez Bob et Lee car moi, ça ne m’amuse pas du tout.
Andrew : - Maman, ton baromètre à conneries est peut-être en panne mais le mien fonctionne très bien. Orson va te décevoir.

Mike : - Tu lessives le plafond, pourquoi ?
Susan : - J’ai cuisiné toute la nuit.
Mike : - Des couvercles. Je t’assure il faut que tu te mettes à utiliser des couvercles.
Susan : - C’est souvent la faute de la gazinière, figure-toi.

Gabrielle : - Je voudrais pas que tu…
Tom : - Quoi, Gaby, que je trompe ma femme ?
Gabrielle : - Moi, j’allais dire que tu crèves d’une MST mais, ça revient au même.
Tom : - Ah d’accord, tu t’inquiètes pour moi, je sui très touché mais euh… comment je pourrais dire, euh… oublie-moi.
Gabrielle : - Puisque tu ne me laisses pas le choix, tu n’as plus l’autorisation de revoir Patty.
Tom : - L’autorisation ! Mais tu te prends pour qui, là, pour ma mère ?
Gabrielle : - Je suis pire que ta mère, je suis présidente du club de jardinage.
Tom : - C’est n’importe quoi cette histoire. Dire que je te prenais pour une amie, tiens.
Gabrielle : - Je t’aime beaucoup Tom, mais t’es mon ami avec un petit a. Ma véritable amie avec un grand A, c’est Lynette. Si je suis témoin d’un truc qui risque de la blesser, t’attends pas à ce que je reste les bras croisés.
Tom : - Bon, une voisine m’a proposé de me raccompagner. Si toi, t’as décidé d’en faire quelque chose qui va blesser Lynette, alors c’est toi qui es dégueulasse. Et avec un grand D.

Dr Kagan : - Êtes-vous sure qu’il ne s’est pas battu dans un bar ? On dirait qu’il a été frappé avec une queue de billard ou quelque chose de ce genre.
Bree : - Orson n’est pas du genre bagarres de bar, il est plutôt du genre éclats de voix à une dégustation de fromage.

Lynette : - Hey, parlez-nous de votre club de jardinage. Tom dit qu’il a pu rencontrer plein de gens sympas.
Gabrielle : - Sans blague ! (Regardant Tom) Tu penses à quelqu’un en particulier ?
Tom (s’adressant à Lynette et Carlos) : - Que des filles géniales. On a une vraie peste dans le groupe mais sinon, moi je m’éclate.
Gabrielle : - J’arrête pas de dire à Tom que dans les jardins, le danger est partout. A chaque pas, on peut tomber sur une souris vicieuse, une grosse pelle, un trou…

Lynette : - Carlos, tu devais le dire à personne.
Carlos (parlant de Gaby) : - C’est ma femme, je lui raconte tout.
Tom : - Tiens, t’entends ça, Lynette, ils se racontent absolument tout ben comme ça au moins, ils sont surs de ne rien se cacher.
Lynette : - Je craignais seulement que tu réagisses mal et c’est ce que tu fais en ce moment, d’ailleurs.
Tom : - Transparence totale, c’est ça le fondement du mariage.
Gabrielle : - Transparence totale aussi pour ta petite amitié avec Patty Rizzo ?

Tom : - Quoi ? Patty m’a raccompagné à la maison et, je sais pas pourquoi, Gaby en fait tout un fromage.
Lynette : - Parce que c’est Patty Rizzo. C’est la pire des salopes. Tu devrais être sous antibiotiques rien que pour t’être assis dans sa voiture.
Gabrielle : - Exactement !
Carlos : - Reste à ta place, Gaby, tu as fait suffisamment de dégâts.
Gabrielle : - Je sais où est ma place. Lynette est mon amie, je surveille quand elle est pas là.
Tom : - Oui, elle surveille et son mari se rince l’œil.

Mary Alice (en voix de clôture) :
- C’est un réflexe on ne peut plus humain. S’efforcer de dissimuler ce que l’on ne souhaite pas exposer au regard des autres. Les femmes cachent leur besoin d’engagement, les hommes camouflent leur insécurité grandissante, les épouses masquent leur profond mépris. Comment les gens ordinaires parviennent-ils à dissimuler aussi bien leurs ressentiments ? Il suffit d’un geste amical (M.J. part récupérer son ballon sur la route et c’est Dave qui le lui rend en lui disant de ne pas jouer sur la route car sa mère serait malheureuse s’il lui arrivait quelque chose.) et d’un plan diabolique.
Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Matt Berry (II), Marc Cherry, Alexandra Cunningham, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif : Dave Flebotte, Lori Kirkland Baker
Producteur : Stephanie Hagen, Charles Skouras III
Producteur superviseur : Jamie Gorenberg
Producteur consultant : Jeff Greenstein, Jeffrey Richman
Musique : Steve Jablonsky
Montage : Andrew Doerfer
Directeur de la photographie : Lowell Peterson
Création des décors : P. Erik Carlson

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Mise à jour le : 20/06/2015 à 16:39