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Trop Laide Pour Toi
Titre original : Bargaining
Saison 5 - Episode 21 | N° dans la série : 109 | N° de Production : 521
1ère Diffusion (Originale) : 03/05/2009 - (Française) : 11/06/2009

Résumé

Katherine aimerait que sa relation avec Mike évolue et fait tout pour obtenir une demande en mariage tandis que Bree part à la recherche du meilleur avocat pour obtenir le divorce.
Lynette et Tom ont décidé d’épicer leur vie sexuelle et Gaby se rend compte que sa fille, Juanita, est malheureuse de ne pas lui ressembler après qu’elle se soit rendue à l’école maquillée.
Quant à Dave, il met en place son plan de vengeance contre Susan qui reçoit une proposition inattendue de Jackson Braddock, de retour à Wisteria Lane.


Synopsis de l'épisode

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Distribution & Production principale
Scénariste(s) : David Schladweiler

Réalisateur(s) : David Grossman

Acteurs présents : Ricardo Antonio Chavira (Carlos Solis), Marcia Cross (Bree Van De Kamp Hodge), Dana Delany (Katherine Mayfair), Jamie Denton (Mike Delfino), Teri Hatcher (Susan Mayer Delfino), Felicity Huffman (Lynette Scavo), Eva Longoria (Gabrielle Marquez Solis Lang), Kyle MacLachlan (Orson Hodge), Neal McDonough (Dave Williams), Doug Savant (Tom Scavo)

Guest Star(s) Récurents : Richard Burgi (Karl Mayer) [x20], David Fabrizio (Inspecteur Collins) [x6], Gale Harold (Jackson Braddock) [x12], Kathryn Joosten (Mme McCluskey) [x6], Tuc Watkins (Bob Hunter) [x24]

Guest Star(s) : Sawyer Church (Evan Mayer), Susan Carol Davis (La femme élégante), Susan Hinshaw (La femme d'âge moyen), Nicholas Hormann (Walter Bergen), Cal Iseminger (Serveur), Leslie Ishii (La femme asiatique), Elisa Leonetti (La femme brune), Billy Mayo (Détective Lyons), Darcy Shean (Stephanie Lynne), Camden Singer (La jeune femme)

Notes de production

* Notes :
- Le titre donné est celui de Canal+, celui de M6 est “Les Négociations”.
- Tuc Watkins (Bob Hunter) apparaît dans l'épisode mais n’a pas de lignes de dialogue.
- Gale Harold (Jackson Braddock) revient pour la première fois depuis novembre, un accident de moto l’ayant contraint au repos. Il s’est rétabli et a repris le tournage en expliquant son absence dans quelques épisodes.
- Les titres internationaux :
● Italie : “Contrattazioni” (Bargains).
● Allemagne : “Verhandlungssache” (Matter Of Negotiation)
- Dates des diffusions internationales :
● Amérique Latine : le 24 juin 2009 sur Sony Entertainment Television (Canal Sony).
● Australie : le 8 juillet 2009 sur Channel Seven/7HD.
● Les Pays-Bas : le 29 septembre 2009 sur Net5.
● Finlande : le 5 octobre 2009 sur Nelonen.
● Allemagne : le 4 novembre 2009 sur ProSieben.

* Gaffe :
- Quand Gaby et Carlos ont une discussion avec Juanita au sujet du maquillage, Gaby lui dit qu’elle n’a que six ans et qu’il y a des tas de choses qu’elle n’a pas droit de faire. Or, la série se déroule cinq ans après la saison précédente ce qui implique que Gaby n’était même pas enceinte il y a cinq ans. De plus, dans le 1er épisode de la saison 5, “Demain Ne Mourra Jamais”, Gaby dit à un commerçant que Juanita est âgée de quatre ans et demi.

* Allusion :
- Le titre de l’épisode en version originale, “Bargaining”, vient d’une chanson de la comédie musicale Do I Hear a Waltz ? (1965) dont la musique est de Richard Rodgers et les paroles de Stephen Sondheim.

* Citations :
Mary Alice (en voix d’ouverture) :
- Dans cette rue, les négociations commencent au petit matin. Une dame âgée propose un bon pourboire au livreur de journaux pour que celui-ci lance le journal sous sa véranda, une femme promet à son mari de faire son dîner préféré à condition qu’il lui rapporte des roses, un homme dit à sa voisine qu’il rentrera ses poubelles le jour où elle tondra enfin sa pelouse. Oui, tous les habitants de Wisteria Lane si entendent en négociations. Absolument tous. (M.J. demande à Mike s’il a l’intention de se marier avec Katherine.) Oui, dans cette rue, les négociations commencent au petit matin. Et elles ne s’achèvent que lorsqu’une des parties a obtenu exactement ce qu’elle voulait.

Mary Alice (en voix d’ouverture) :
- Walter Bergen était un avocat spécialisé dans le divorce. Ses clientes avaient toujours quelque chose à raconter sur les hommes dont elles voulaient divorcer. (Différentes clientes parlent de leur mari.) Oui, Walter Bergen croyait avoir tout entendu jusqu’au jour où l’une de ses clientes déclara :
Bree : - Maître, mon mari est quelqu’un de bien et je veux être correct avec lui.
Walter Bergen : - Il n’est pas fréquent que mes clientes potentielles tiennent ce genre de discours.
Bree : - Et bien, je veux croire que je suis quelqu’un de respectable.
Walter Bergen : - Oh, j’en suis convaincu. Et je n’ai aucun souci à me faire pour votre mari car les revenus qu’il tirera de la moitié de l’entreprise devraient, à eux seuls, lui ap…
Bree (l’interrompant) : - Oh mais non, je n’envisage pas de lui en laisser la moitié, c’est mon entreprise.
Walter Bergen : - Que vous avez créé alors que vous étiez mariée. Il a le droit à la moitié, de fait.
Bree : - J’ai… j’ai peut-être forcé le trait en vous présentant mon mari comme quelqu’un de bien. Il a notamment tout un éventail du trouble du comportement.
Walter Bergen : - Mme Hodge, c’est la loi. Que voulez-vous que je vous dise ?
Bree : - Dites-moi qu’avec des honoraires de 300 dollars de l’heure, vous avez de bonnes petites astuces d’avocat dont vous userez pour protéger mon bien.
Walter Bergen : - Vous ne songez à rien d’illégal, évidemment ? (Bree est gênée.) N’avez-vous pas dit que vous vouliez croire que vous êtes quelqu’un de respectable ?
Bree (se levant) : - Et bien, il est clair que je veux encore plus croire que je suis quelqu’un de riche, Maître.

Susan : - Ben qu’est-ce qui se passe ?
Lynette : - En fait, on lit un livre qui recommande aux couples de conclure un pacte pour avoir des rapports chaque soir pendant un mois.
Katherine : - Laisse-moi deviner, écrit par un homme ?
Gabrielle : - Est-ce qu’il s’appelle Carlos Solis ?
Lynette : - Tom et moi, on a quelques petits problèmes. La théorie est que ça aide à recréer une intimité et on est plus proche de l’autre.
Susan : - Et ça fonctionne ?
Lynette : - Forcée de constater que oui. On est beaucoup plus attentif au besoin l’un de l’autre et plus sensible, je dois dire.
Tom (appelant de la chambre) : - Lynette.
Lynette (énervée) : - Oui, ça va, deux secondes.
Bree : - On devrait vous laisser.
Lynette : - Non, c’est notre troisième semaine, ça va, on est super rôdé. (Posant ses cartes et commençant à dégrafer sa chemise.) Vous n’avez qu’à faire une partie sans moi.

Jackson : - Ça va, Mme McCluskey ?
Mme McCluskey : - Oh, j’ai mal, c’est atroce. Merci de vous en inquiéter.
Susan (à Jackson) : – Je l’emmène chez le médecin. Il va pratiquer une petite… intervention.
Mme McCluskey : - Furoncle à la fesse. Il va me le percer. Il risque même de se percer tout seul (faisant un signe à Susan).
Susan (à Mme McCluskey) : - Très bien. (A Jackson) Ma voiture vient d’être nettoyer alors il faut peut-être pas que je traîne.
Jackson : - Pas de problème. Mais, quand est-ce que je peux te voir ?
Susan : - Euh, on dîne ensemble demain soir, si tu veux ?
Jackson : - Bonne idée.
(Jackson et Susan se regardent longuement.)
Mme McCluskey : - Si vous voulez continuer à vous regarder dans le blanc des yeux, je peux aller m’allonger sur le gazon et rendre l’âme. Ça ne me gêne pas.

Karl (glissant un billet dans la main de Mike) : - Si vous regardez cette liste à deux fois, vous constaterez que le nom d’Evan y est.
Mike (regardant le billet) : - Je suis le papa de M.J., je suis pas son videur. Mais… merci.

(Lynette et Tom sont au téléphone.)
Lynette : - Salut, mon chéri, alors cette journée ?
Tom : - Vachement excitante, je rentre du supermarché. C’était double bons de réduction pour tout le monde, ce coup-ci. Genre, allez, on vous fait les Oscars et le Superbawl en une seule soirée.
Lynette : - Ah ! Est-ce que tu as pensé à m’acheter mon… mon déodorant naturel ?
Tom : - Et comment, oui ! Fini les sels d’aluminium pour les dessous de bras de ma petite chérie.

(Carlos appelle Lynette alors qu’elle fait l’amour dans son bureau avec Tom.)
Carlos (entendant les soupirs de Lynette) : - Lynette !
Lynette : - Oui ?
Carlos : - Euh, qu’est-ce qui se passe ? Ça va ?
Lynette : - Désolée. J’avais fait venir l’homme à tout faire. (Tom se rhabille) C’est bon, il a fini. (Carlos l’écoute) (A Tom) Merci monsieur l’homme à tout faire.
Tom : - A votre service madame.
Lynette : - Bon, Carlos, où en étions-nous déjà ?

Carlos : - Faut pas écouter ce que disent ces enfants, ce sont des crétins. Tu es une petite fille superbe.
Juanita : - Pour toi, oui, c’est normal, t’es mon père.
Carlos : - Non, c’est la vérité, tu es naturellement belle. Le maquillage cache ta beauté.
Gabrielle : - Il a raison. T’as pas besoin de toutes ces cochonneries sur le visage.
Juanita (à Gaby) : - Pourquoi tu en mets, toi ?
Gabrielle : - Parce que je suis une adulte. Mais c’est léger ce que je porte, regarde.
Carlos (se moquant) : - Gaby, ne perdons pas de vue la réalité.

Carlos : - J’ai une supère idée.
Gabrielle : - Tiens, tu vois, ton père a une supère idée.
Carlos : - Et si personne se maquillait pour ce fameux dîner ?
Juanita : - J’suis d’accord. (Carlos sourit)
Gabrielle : - Non, non, non, non, minute, non, non. Ton père fait l’idiot, là. (Mettant une main sur le genou de Carlos.) Papa, qui fait l’idiot, tu peux venir un instant ?
(Carlos et Gaby vont parler seul à seule.)
Gabrielle : - Hey, mais t’es malade ou quoi ? Jamais j’irais dans cette salle de bal remplie de beau monde sans blush et fond de teint.
Carlos : - Oh, mais arrête, c’est l’occasion de lui montrer que c’est très superficiel, en fait, ce genre de beauté.
Gabrielle : - Oui, et ben quand tu verras ce qu’il y a sous la surface, y a des chances que tu reconsidères ta position.
Carlos : - Ta fille souffre, Gaby, tu ne l’aimes pas assez pour lâcher ta vanité juste un soir ?
Gabrielle : - Je suis restée 20 heures en salle de travail. Elle peut payer sa tête ! (Regard de Carlos) C’est bon, t’as gagné. Je vais faire le grand, le suprême sacrifice. Je serais laide par égard pour ma fille. Mais si un jour, il lui faut un rein (elle le montre du doigt).

Tom : - Hier soir, on était entrain de faire l’amour et tu t’es endormie.
Lynette : - Juste après ?
Tom : - Pendant.
Lynette : - Oh, et c’était bon ?
Tom : - Mais j’… j’ai même pas conclu. Agr, t’as foutu notre rythme en l’air.
Lynette : - Pardon mais j’étais complètement HS.
Tom : - Si encore, j’t’avais demandé de lessiver le carrelage mais non, tu devais juste rester allongée. Comme d’habitude.
Lynette : - Je réagis pas, je mets ça sur le compte de ta grosse déception.
Tom : - Mmmais c’est vrai, t’es tellement crevée à force de bosser tard que c’est à moi de me farcir tout le boulot.
Lynette : - Tom, tu perds carrément le sens commun, je trouve. On a eu des relations sexuelles 23 jours d’affilés. J’ai vu plus de plafond que Michel Ange.

Bree : - Au fond, Evan n’est qu’un enfant fragile et sensible qui veut être aimé de tous.
M.J. : - Il m’a tapé avec un écureuil mort.
Bree : - Sache qu’on trouve des défauts chez tous nos amis si on cherche la petite bête.

Bree (parlant d’Orson) : - M.J., on se ressemble toi et moi. Dans la vie, j’ai aussi quelqu’un qui me tape avec un écureuil mort et il le fait sept jours sur sept. Tu es le seul à pouvoir m’aider dans cette affaire. Sois gentil, invite Evan à ta fête, s’il te plait.
M.J. : - Mmm… d’accord.
Bree : - Tu es un amour. Oh, trésor, merci (elle embrasse M.J. sur le front et s’en va).
M.J. (se parlant à lui-même) : - Ben dis donc, qu’est-ce que je ferais pas pour des macarons.

Jackson : - S’il te plait, laisse-moi entrer.
Susan : - T’es gentil mais je regrette, j’ai quasiment dépassé mon seuil de tolérance à l’humiliation, cette semaine.
Jackson : - Ecoute, je suis désolé que tu aies cru que c’était une vraie demande. En y repensant, je n’aurais pas dû te parler d’expulsion.
Susan (ouvrant sa porte et faisant entrer Jackson) : - Alors là, j’ai dépassé mon seuil de tolérance.

Susan (parlant du mariage avec Jackson) : - Je le fais. Mais que ça. Pas d’amour, pas de sexe. Juste… le mariage.
Jackson : - Pas de sexe ?
Susan : - Tu veux que les autres pensent qu’il s’agit d’un vrai mariage, c’est ça ?

Carlos : - Mais enfin, tu vas les enlever tes lunettes ? Il est huit heures du soir.
Gabrielle (enlevant ses lunettes) : - OK. Tant que ça t’embêtes pas que les gens croient que tu t’affiches en ville avec ta sœur lesbienne anémique.

Gabrielle : - Dans le journal, en gros plan, oublie.
Carlos : - Gaby, je travaille avec la ville, est-ce que tu crois que je vais planter le Maire ?
Gabrielle : - Sérieusement, on va pas laisser ce truc (montrant son visage) se faire prendre en photo. Si jamais y a une épidémie, tout le monde croira que c’est moi le patient zéro.
Carlos (tirant la chaise de Gaby) : - Photo, quoi que tu dises.
Gabrielle : - Très bien. Mais que ce soit clair, t’es aussi le connard latino de l’année.

La femme brune (parlant de ses produits de maquillage) : - Vous n’avez qu’à prendre les miens.
Gabrielle : - Ça ne va pas vraiment avec mon teint, désolée.
La femme brune : - Comment ça, on a la même couleur de peau, toutes les deux.
Gabrielle : - Ça ne va pas plus avec le votre d’ailleurs. Mais je ne peux gérer qu’une catastrophe à la fois. (Regardant les autres femmes) Oh, une chinetoque. Ça devrait le faire.
La femme asiatique : - Oh euh, je ne crois pas non.
Gabrielle : - J’aurais dû dire chinoise au lieu de chinetoque, peut-être ? D’accord, toutes mes excuses. Je vous empreinte votre fard à joue.
La femme asiatique : - Je ne prête rien à personne, j’ai peur des microbes.
Gabrielle : - Oh, non, non, je déborde de santé. Rien à craindre.
La femme asiatique : - Ah bon, vous avez l’air souffrante.
Gabrielle : - J’ai ni fard à joue, ni rien du tout.
La femme asiatique : - Je vous ai dit non, laissez-moi tranquille.
Gabrielle (l’empêchant de partir) : - D’accord, je suis désolée. Vous avez raison, j’aurais pas dû vous solliciter. (Elle lui prend son sac à main et s’enferme dans les WC.)
La femme asiatique (frappant à la porte des WC) : - Mais, oh… Ou vous sortez, ou j’appelle la sécurité.
Gabrielle : - Pour une femme qui a le sac à main bourré de petits pains, vous manquez pas d’aplomb.

Gabrielle s’adressant à Juanita :
- Oui, j’ai été mannequin. Et en plus de ça, toute ma vie, les gens m’ont dit que j’étais jolie. Conclusion de l’histoire, j’ai jamais eu l’idée de bien travailler à l’école ou de me faire des amis, de développer un peu ma personnalité, non, jamais. Ensuite, j’ai arrêté le mannequinat et j’ai réalisé que j’étais un peu creuse à l’intérieur. Je veux pas que ça t’arrive. Je veux que tu sois supère courageuse et marrante et créative pour être plus qu’une coquille vide.je veux qu’il y est de quoi se régaler dans cette coquille.

Juanita : - D’accord mais à quel âge est-ce que je peux me maquiller ?
Gabrielle : - Tu sais quoi ? C’est quand on comprend qu’on peut vraiment s’en passer qu’on peut se maquiller.

Bree : - Avant, j’avais tendance à me voir comme quelqu’un de bien. Si j’avais le choix, je choisissais toujours la voix de l’éthique. Dernièrement, je me suis rendue compte que… je suis capable de tout pour arriver à mes fins.
Karl : - Tu sais comment je te vois, maintenant ? Comme la cliente idéale.

Mary Alice (en voix de clôture) :
- Dans cette rue, les négociations s’achèvent à la tombée de la nuit. Une petite fille veut bien aller se coucher à condition que sa mère l’autorise à porter ses vieilles robes du soir, une femme accepte sue son fiancé passe la nuit chez elle à condition qu’il soit d’accord pour dormir sur le canapé, un homme laisse son amoureuse se blottir contre lui tant qu’ils ne parlent pas de leur avenir. Oui, tous les habitants de Wisteria Lane si entendent en négociations (Orson propose à Bree de lui préparer le petit déjeuner du lendemain si elle accepte de lui faire l’amour ce soir. Bree accepte et ils rentrent main dans la main.) Mais parfois, ils obtiennent plus que ce qu’ils visaient.
Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Matt Berry (II), Marc Cherry, Alexandra Cunningham, Bob Daily, David Grossman, Joey Murphy, John Pardee, George W. Perkins, Larry Shaw, Sabrina Wind
Co-producteur exécutif : Dave Flebotte, Lori Kirkland Baker
Producteur : Stephanie Hagen, Charles Skouras III
Producteur superviseur : Jamie Gorenberg
Producteur consultant : Jeff Greenstein, Jeffrey Richman
Musique : Steve Jablonsky
Montage : Jonathan Posell
Directeur de la photographie : Eric Van Haren Noman
Création des décors : P. Erik Carlson

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Mise à jour le : 20/06/2015 à 16:39