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Mon Métier de Rêve
Titre original : My Dream Job
Saison 2 - Episode 22 | N° dans la série : 46 | N° de Production : S145
1ère Diffusion (Originale) : 17/04/2003 - (Française) : 19/07/2003

Résumé

C’est la période annuelle où le Dr Kelso choisit un interne pour le torturer et son choix finit par se porter sur Elliot qui lui a lancé une seringue au visage. Tandis que Turk, J.D. et Elliot arrivent à la fin de leur deuxième année d’internat, Spence, un copain d’université, débarque pour assister au mariage de deux de leurs amis. Son arrivée va valoir des remontrances à Turk et J.D. De plus, Spence, après une soirée arrosée, fait une gaffe en dévoilant au Dr Cox qu’il est le père du bébé de Jordan.


Synopsis de l'épisode

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Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Tim Hobert, Matt Tarses

Réalisateur(s) : Bill Lawrence (III)

Acteurs présents : Zach Braff (Dr John "J.D." Dorian), Sarah Chalke (Dr Elliott Reid), Donald Faison (Dr Chris Turk), Neil Flynn (Le Concierge), Ken Jenkins (Dr Bob Kelso), John C. McGinley (Dr Perry Cox), Judy Reyes (Infirmière Carla Espinosa)

Guest Star(s) Récurents : Johnny Kastl (Doug Murphy) [x51], Sam Lloyd (Ted Buckland) [x90], Robert Maschio (Todd Quinlan) [x114], Christa Miller (Jordan Sullivan) [x88], Aloma Wright (Infirmière Laverne Roberts) [x80]

Guest Star(s) : James Henriksen (Mari), Sarah Lilly (Femme), Ryan Reynolds (Spence), Steve Susskind (M. Groff), Richard Voigts (M. Weinberg)

Notes de production

* Notes :
- Ryan Reynolds (Spence) a été nommé aux MTV Movie Awards 2003 dans la catégorie “Meilleure Révélation” pour son rôle dans American Party (2002). Sa carrière a débuté en 1991 avec la série télévisée Fifteen et semble prendre son envol au milieu des années 2000 avec son rôle dans Blade : Trinity et le remake d’Amityville sans toutefois obtenir de véritables premiers rôles dans des films majeurs. Le 27 septembre 2008, il se marie avec Scarlett Johansson, actrice américaine au grand succès, dans l’intimité. Il prépare le spin off de X-Men Origins : Wolverine, Deadpool dont la sortie est prévue pour 2010.
- Lorsque Spence conseille à J.D. d’essayer la mousse ou la gomina pour redresser ses cheveux, la scène ne devrait pas exister puisque dans le pilote de la série, lors d’un flashback de la première journée d’université de J.D., celui-ci a déjà les cheveux redressés.
- La marionnette de ventriloque de l’épisode 19, “Mon Royaume”, est visible sur le lit derrière J.D. dans la scène du flashback des cheveux.
- Il existe un épisode portant le numéro 23 pour cette saison qui est une collection de clips faite à partir des deux premières saisons et qui a été diffusé le 24 avril 2003. Il porte le titre de Scrubs Funniest Moments ou Scrubs : The Outtake Show.

* Gaffes :
- Dans la scène où J.D. s’imagine être le Roi du Chocolat et prend la main de Turk pour la manger, les doigts de Donald Faison peuvent être distingués et ce dernier cherche visiblement à se retenir de rire.
- Lorsqu’Elliot parle à Ted au sujet du Dr Kelso, il dispose d’un clavier sur son bureau alors qu’il n’y a pas d’écran d’ordinateur.

* Allusions :
- Dans la version originale (mais pas dans la version française), Spence appelle J.D., Crockett et Turk, Tubbs.
James “Sonny” Crockett, le blanc, et Ricardo “Rico” Tubbs, le noir, sont les deux personnages de la série Deux Flics à Miami (Miami Vice, 1984-1989) joués respectivement par Don Johnson et Philip Michael Thomas.
- Dans la version originale, le Dr Cox salue Turk, Spence et J.D. (qui sont assis sur un banc) en leur disant « Good morning, Angels », « Bonjour les anges » (ce qui n’est pas le cas dans la version française). Le Dr Cox se réfère manifestement aux trois Drôles de Dames et il joue le rôle de Charlie. La série Drôle de Dames (Charlie’s Angels) date de 1976 et il s’agit de trois jeunes femmes belles, intelligentes et indépendantes qui travaillent pour un certain Charlie qui les contacte uniquement par téléphone pour leur confier des missions.

* Citations :
Dr Kelso (montrant sa montre à Carla) : - Mademoiselle Espinosa, sauriez-vous par hasard à quelle heure commence le service de 9h30 ?
Carla : - A 9h30.

Carla : - Ça valait bien la peine de faire des études juridiques.
Ted : - Je voulais devenir sénateur.

Dr Cox s’adressant au Dr Kelso :
- Tiens, Bob, je crois que j’ai une idée. Arrêtez de venir nous emmerder à l’hôpital, restez chez vous, on vous remplacera par une horloge énorme. Ah et si jamais vous veniez à nous manquer, on y rajouterait un petit Bob Kelso en forme de coucou qui surgirait toutes les cinq minutes en disant « j’ai jamais su combler une femme, j’ai jamais su combler une femme, j’ai jamais su combler une femme ».

Pensées de J.D. : - On arrive à la fin de notre deuxième année et pour nous, les jours se suivent et se ressemblent. Finalement, l’internat, ça se résume à deux ou trois choses. Paperasse… trois médicaments par malade…
Elliot : - Donner à Madame Allan de l’acétamide pour la migraine, du Restoril pour l’insomnie et du Colace pour la déconstiper.
Pensées de J.D. : - Paperasse… examens de routine… et bien entendu… paperasse.

J.D. : - Euh, écoutez monsieur Groff, cette douleur au pied est dû au diabète, c’est pour ça que les analgésiques n’agissent pas. Mais je voudrais tout de même essayer un traitement antispasmodique avant d’envisager une amputation.
Monsieur Groff : - Très bien, je passe un concours de danse acrobatique, demain. Allez-y, coupez-moi cette saleté.

Spence : - Jill Anderson.
Turk : - Ouais.
Spence : - Ouais.
J.D. : - Non.
Turk : - Monica Meyer.
Spence : - Ouais.
Turk : - Ouais.
J.D. : - Vous savez les gars, je ne suis pas sur que ce soit de très bon goût d’être là à recenser toutes nos anciennes conquêtes de la fac alors que Carla est à côté, dans la chambre.
Turk : - Leslie Stevens.
J.D. : - Ouais, sur une pile de manteaux avec une centaine de personnes tout autour. Un sacré coup !
Carla : - Et qui d’autre, qui d’autre tu t’es tapé ?
J.D. : - Carla, la fac ça ne se résume pas au sexe et aux manteaux

J.D. : - Spence m’a tiré de pas mal de mauvais pas.
Flashback
Spence : - Et si t’essayais de la mousse ou de la gomina ? Ça les redresserait un peu.
J.D. : - Ouais.
Fin du flashback
J.D. (se touchant les cheveux) : - Ma vie a changé ce jour-là.

Spence : - J’ai l’impression que ça fait des siècles. C’est vrai, vous deux (montrant Turk et Carla), vous êtes fiancés et je suis venu en ville parce que nos copains Martin et Jack vont se marier.
Carla : - Un double mariage ?
J.D., Spence et Turk répondent ensemble en baissant la tête : - Non.
Carla : - Ooh… un mariage homo !

J.D. : - C’est une perfusion de vitamines calcium et potassium en solution saline à cent centimètres cube de l’heure.
Turk : - C’est radical contre la gueule de bois, tu verras.
Spence : - Ça me fait tout chaud dans l’estomac.

Dr Cox : - Alors messieurs, qu’est-ce qui vous arrive, on a un peu abusé des cocktails, hier soir ?
J.D. : - Spence, voilà le Dr Cox et…
Jordan : - Ça va, laisse tomber.
Spence : - Oh, ah oui, c’est lui le fameux mentor dont tu m’as parlé hier soir. (S’adressant au Dr Cox) Toutes mes félicitations.
Dr Cox : - Pourquoi tu me félicites ?
Spence : - Vous venez d’avoir un bébé.
J.D. : - Non, non, non, (montrant Jordan) elle vient d’avoir un bébé.
Spence : - Mais tu m’as dit que c’était le sien. Et qu’est-ce que tu m’as dit d’autre ?
Turk : - Qu’il savait pas que c’était le sien.
Spence : - T’as raison, c’est ça.

Pensées de J.D. : - Il n’a pas ouvert la bouche depuis dix minutes. Bon, j’y vais, je me lance.
J.D. : - Dr Cox…
Dr Cox : - Bizut, si les deux premiers mots qui sortent de ta bouche, c’est pas « au revoir », ceux qui suivront, ce sera « oh, mon Dieu, mes couilles, il m’a donné un coup de pied dans les couilles ».
J.D. : - Au revoir.

Spence : - Et celui-là ?
J.D. : - Oui.
Spence : - Celui-là aussi ?
J.D. : - Oui. Ecoute, ce serait peut-être plus simple si tu me demandais dans quels fesses je n’ai pas mis mes doigts.

Spence : - Vous avez des cas intéressants au moins ?
Turk : - Voilà, Monsieur Weinberg atteint de démence sénile mais toujours enchanté de gronker.
Spence : - C’est quoi gronker ?
Monsieur Weinberg : - GRONK !
Spence : - Passionnant.

Spence : - Et quand est-ce qu’on entend crier « Au bloc » et le reste.
Carla : - Presque jamais.

Carla : - Bambi, tes visites.
J.D. : - Oh, c’est vrai.
Spence : - Cours Forest, cours. (Regardant Carla) Je voulais le motiver un peu.
Carla : - Oui, j’avais compris.

Pensées de J.D. : - J’ai pas intérêt à être en retard. C’est la période de l’année où Kelso choisit un interne pour le torturer à mort. Le secret c’est de répondre tout de suite aux questions faciles pour l’impressionner.
Dr Kelso : - Vous êtes prêt, on peut y aller.
J.D. (levant la main) : - Oui.
Dr Kelso : - Qu’est-ce qui vous prend ?
J.D. : - Est-ce qu’on peut y aller, réponse oui.
Dr Kelso : - Oh.

Dr Kelso : - Docteur euh… docteur… japonais ou chinois, le lit sept, posez une perfusion. Et vous Dr Murphy et Dr Toujours Prêt, faites un pas en avant.
Pensées de J.D. : - Ça y est, on est fichu.
Dr Kelso : - Quels sont les quatre différents diagnostics pour une surtension persistante dans une électrocardiographie, Dorian ?
J.D. : - Ischémie.
Dr Kelso : - Murphy ?
Doug : - Anévrisme.
Dr Kelso : - Dorian ?
J.D. : - Péricardite.
Dr Kelso : - Murphy ?
Doug : - Je passe.
(Soupirs du Dr Kelso)
Pensées de J.D. : - Mon pauvre Doug, je te garderai une tablette de chocolat.

Carla : - Oh, je te crois pas.
Elliot : - Je te jure. Et maintenant, c’est parti, le Dr Kelso me saute dessus chaque fois qu’il me voit.
Todd : - Il en a de la chance. (Présentant sa main) Aller toooooooooope. Non ? Alors moi je tope (il se tape dans la main). J’ai besoin de personne.

Carla s’adressant à Elliot :
- Ecoute, Elliot, il fait le coup régulièrement. Dès que Kelso commence à croire qu’il n’effraie plus personne, il prend n’importe qui comme bouc émissaire et il le choisit au pif. Sauf si… on lui lance une seringue au visage.

Jordan : - Je sais, je ne t’ai pas dit que l’enfant était de toi et tu m’en veux, je comprends ça mais ce que je comprends pas c’est pourquoi tu en fais toute une histoire. Je voudrais bien savoir ce qui te perturbe tant.
Dr Cox : - Parce que tu trouves que c’est pas assez ?
Jordan : - Oh, je t’ai dit que c’était pour pas que tu te sentes obligé de vivre avec moi, pour pas que tu te sentes manipulé.

Carla (parlant de Jordan) : - Moi j’ai l’impression qu’elle a voulu protéger votre couple.
Elliot : - Oui, y a pas mal de mères qui disent que le meilleur moyen de se faire épouser c’est de se faire faire un môme.
Dr Cox : - Quoi ?
Elliot : - Oui et ces mères-là sont encore bien pire quand elles décident d’arrêter de boire.

J.D. : - Bonjour.
Le concierge : - Je gagne plus que vous.
J.D. : - Hein, quoi ?
Le concierge : - J’ai vu votre paye et ça m’a bien fait marrer. Je gagne plus que vous… beaucoup plus que vous.
J.D. : - Vous pouvez pas voir les bulletins de salaire.
Le concierge : - Bien sur que non, je n’ai aucun moyen d’accéder aux fiches du personnel (il sort toutes les clés de l’hôpital de sa poche). C’est impossible ?

Le concierge : - Oh, je me rappelle, euh… 9, 8, 7, 75… 43, 20.
J.D. : - C’est mon numéro de sécurité sociale, ça ?
Le concierge : - Non, celui de votre compte en banque.
J.D. : - Désolé, mon compte en banque c’est 3, 6, 84.
Le concierge : - Bingo !

Turk : - J’ai un peu prêt 500 dollars d’économie. Où est-ce que tu me conseilles de les mettre ?
Spence : - J’en sais rien, achète un paquet de chips. Hey, offre un cadeau de mariage à Martin et Jack. Jack veut un furet.
J.D. : - Un furet, c’est sympa.
Turk : - Non, ça mord.

Dr Kelso (parlant du travail d’Elliot) : - Ces points de suture sont très mal faits, n’est-ce pas Ted ?
Ted : - Euh, j’en sais rien, monsieur… oui… non… je m’en fiche d’ailleurs.

Elliot : - Je sais ce que vous cherchez, vous essayez de me terroriser. Grrrrr ! Ça me dérange pas.
Dr Kelso : - Dr Reid, même si vous n’aviez pas été assez maladroite pour essayer de m’éloigner tout à l’heure, c’est vous que j’aurais prise comme bouc émissaire. Vous êtes extrêmement émotive, exaspérante, toujours pleine d’enthousiasme et bien que vous travaillez aussi dur que les autres, vous n’arrivez toujours pas à hurler aussi fort que la meute. Je vous ai choisi parce que j’espère, de tout mon cœur, que vous allez vous interroger sincèrement, vraiment, très sincèrement, pour savoir qu’il n’y a pas une autre profession qui correspondrait mieux à ce que vous êtes. En attendant, soyez gentille et refaites la suture de cette plaie.
Ted (s'adressant à Elliot) : - On va prendre une bière ensuite ?

Dr Cox : - Tu aurais dû me le dire franchement.
Jordan : - Euh, puisqu’on en est à s’avouer nos mensonges, Perry, je t’ai toujours fait croire que j’aimais les pommes mais c’est pas vrai… j’aime que les poires.

Spence : - Y a rien de mieux qu’une bonne bière dans un jacuzzi. J’ai pas raison, Ed ?
Ed : - Oui, il m’arrive de rester là-dedans des heures d’affilées et d’en descendre dix les unes après les autres.
J.D. : - Et quand vous avez envie de pisser ?
Ed : - Vous êtes tous médecin, non ?

Pensées de J.D. : - Un médecin doit savoir gérer l’imprévisible. Qu’il s’agisse de quelqu’un qui soit têtu comme une mule…
Jordan : - Oui, j’ai décidé que je n’accepterais pas de me faire jeter alors je reste dans le coin jusqu’à ce que tu me pardonnes.
Pensées de J.D. : - …ou parce qu’on a été blessé à vif… ou encore parce qu’on doit travailler avec un slip trempé.

Dr Cox : - Salut, Betty. Salut, Wilma. Ne vous pressez pas, vous n’avez que 50 minutes de retard. Cette odeur, c’est pas de la bière ?
J.D. : - Et bien, oui, on en a bu.
Dr Cox : - J’ai un scoop pour vous. On ne peut pas travailler quand on a bu avant. C’est réservé aux pilotes.

J.D. : - Ecoutez, docteur…
Dr Cox (s’adressant à J.D. et Turk) : - Non, taisez-vous. Si quelqu’un m’avait demandé encore ce matin s’il y avait un seul moyen pour que j’éprouve moins de respect pour les génies que vous êtes, je lui aurais dis « non, non, non, non, non, ce n’est pas possible » mais oh, surprise, vous êtes parvenu à me décevoir, félicitations. Le seul petit problème c’est que je n’ai pas… je n’ai pas apporté de ruban bleu pour vous décorer. Il va falloir que vous contenter de cinq paires de claque et de trois coups de pied au cul. Rentrez chez vous, je ne veux plus vous voir, ce soir.
Jordan (s’adressant au Dr Cox) : - Très bien, le speech.

Pensées de J.D. : - Après ça, j’étais plus d’humeur à plaisanter.
Le concierge : - Alors, toujours fauché ? (Sortant un billet de sa poche) Un geste anonyme et gratuit de la part d’un type qui gagne plus que vous.
J.D. : - Vous voulez que je vous dise. Moi, ce que je fais, ça a de l’importance, OK. Vous, vous nettoyez encore le même couloir que ce matin et je suis prêt à parier que vous nettoierez le même endroit demain. Alors vous n’aurez qu’à passer me voir et m’expliquer en quoi ce que vous faites, jour après jour, peut être utile aux autres et faire la moindre différence dans le monde.
Le concierge : - Trop méchant.

Jordan : - Quand est-ce qu’on mange ?
Dr Cox : - Oh, arrête, Jordan, sois gentille et laisse-moi dix secondes que je puisse réfléchir.
Jordan : - Mmm, non.
Dr Cox : - Oh, écoute. Tu as une attitude vraiment immature, là. (Regardant ailleurs) Oh, mon Dieu, ce type est en flammes, fuyons.

Elliot : - Dr Cox, je suis ravie de vous voir.
Dr Cox : - Oh, c’est de pire en pire.

Elliot : - Oh, le Dr Kelso me torture. Je croyais vraiment que j’allais tenir le coup parce que je reviens de loin, moi aussi, c’est vrai. Tenez, j’avais peur de vous par exemple. Maintenant, je peux vous parler de n’importe quoi. Vous dire que vos cheveux sont particulièrement bouclés ces temps-ci. Pas bouclés à l’anglaise mais plutôt comme un caniche ou un mouton.
Dr Cox : - Je n’ai pas compris un mot de ce que tu viens de me dire.

Turk : - Mais qu’est-ce qui t’a donné l’idée de te pointer ce week-end ?
Spence : - Mais je suis là pour le mariage, c’est moi qui ai présenté Martin à Jack. Enfin… je les ai pas vraiment présentés mais c’est moi qui les ai vus le premier se faire du pied sous la table.

J.D. : - Typique de Spence. Tu débarques en ville et tu nous crée des tas de problèmes.
Spence : - Quoi, c’est pas moi qui vous est forcé à sortir ? Hey, je fais une présentation de capital jeudi, demande moi si je vais sortir mercredi soir.
J.D. et Turk : - Tu veux qu’on sorte…
Spence : - Je ne peux pas, les gars, je regrette. J’ai une présentation. En fait, la vérité, c’est que vous n’avez pas arrêté de vous plaindre de votre travail depuis que je suis là et chercher des tas d’excuses pour vous échapper. Alors peut-être qu’au lieu de vous en prendre à moi, vous devriez reconnaître que vous faites un boulot détestable.

Ted (s’adressant à Elliot) : - Dr Reid, j’ai bien peur que rien de ce que vous me racontez ne puisse, juridiquement, être considéré comme du harcèlement.
Dr Kelso (entrant dans le bureau de Ted) : - Encore un coup dans l’eau, Dr Reid. Mais la prochaine fois que vous demanderez un avis juridique, vous ferez peut-être mieux de consulter un avocat qui ne s’y est pas repris à cinq fois pour obtenir son diplôme.
Ted : - Le stress provoque une dyslexie chez moi et vous le savez Dr… Oslek.

Dr Cox : - Mais pourquoi tu me fais ça ?
Jordan : - Je vais te le dire, Perry. Parce que ça fait des années qu’on s’amuse à ce petit jeu. On est comme des ados. Y en a un qui se fâche et qui s’en va et l’autre personne est trop orgueilleuse pour lui courir après. Et dans l’heure qui suit, tu te retrouves au lit avec une représentante en pharmacie et moi, j’essaie de convaincre ma mère, que ce truc dans ma valise, c’est le dernier fer à friser vibrateur à la mode. Mais il faut que ça change maintenant. Les données sont plus les mêmes, on a un enfant. J’ai pas l’intention de partir tant que tu m’auras pas promis de rentrer avec moi.
(Le Dr Cox embrasse Jordan.)
Dr Cox : - Aller rentre. Je te rejoins tout à l’heure.
Jordan : - Apporte le dîner.

J.D. : - C’est vrai, regardez ce carrelage, on pourrait presque manger par terre.
Le concierge : - Vous le feriez ?
J.D. : - Je ferais quoi ?
Le concierge : - Vous mangeriez par terre ?
Pensées de J.D. : - Je l’ai fait. J’ai mâchonné ce morceau de jambon sans avoir que le détergent utilisé pour nettoyer le carrelage déclenchait des diarrhées aigües. Et je me suis rendue compte d’une chose : on est médecin parce que notre priorité dans la vie, c’est d’aider les autres.
Le concierge : - Je trouve ça dégoûtant.
Pensées de J.D. : - Et il faut que cela reste une priorité. Parce qu’à la fin de la deuxième année, on ne voit même plus la lumière au bout du tunnel. Alors on s’accroche à ce qu’on peut. Persévérance… courage… sacrifice…

Spence : - Dommage que vous ne veniez pas au mariage.
J.D. : - Ouais, tu les embrasseras bien pour nous.
Turk : - Et surtout, oublie pas de leur dire que le furet adore les légumes.
Spence : - Ça me manquera de ne plus vous voir… Ah, ah, ah… A un de ces jours.

Pensées de J.D. : - …Et surtout, il ne faut pas attendre de reconnaissance.
J.D. : - Le traitement a bien marché, votre pied va beaucoup mieux.
M. Groff : - Et en plus il faut que je vous remercie parce que vous faites votre métier correctement ?
Pensées de J.D. : - Y a pas de quoi.

J.D. : - Euh, peut-être que j’aurais dû vous parler de votre bébé avant. On peut en discuter plus tard.
Dr Cox : - Non… d’ailleurs, je n’en veux pas à Jordan.
J.D. : - Non ?
Dr Cox : - Non, j’ai peur. En fait, j’ai même flippé toute la journée parce que je me dis que je suis nul et que je serais le plus abominable des pères.
J.D. : - Oh, vous ? Dites pas ça, vous allez être épouvantable… non, non, non, pardon, je veux dire, vous allez être un père époustouflant. Comme hier soir, vous nous avez botté les fesses parce qu’on l’avait mérité. Et vous vous rappelez quand vous avez dit que je n’étais peut-être pas le pire interne que vous ayez jamais vu ?
Dr Cox : - Oui, je me rappelle, c’était il y a trois semaines.
J.D. : - Vous pouvez pas savoir ce que ça m’a fait du bien.
Dr Cox : - Oh, mais j’ai dit je pense que t’es peut-être pas le pire interne que je connaisse, mais je ne peux pas être sur, ça demande réflexion, faut que je te compare encore un peu et c’est long.

Dr Kelso (s’adressant à Elliot) : - Pourquoi est-ce que je reste là, Dr Reid ? Parce que je ne veux pas rater le moment où vous allez fondre en larmes devant tout le monde. Tenez, ça vient, je le sens. De grosses larmes… de belles grosses larmes de crocodile
J.D. (s’adressant au Dr Cox) : - Si c’était votre fille, je suis sur que vous sauriez quoi faire.
Dr Cox : - Bon sens, tu as raison.
(Il se dirige vers le Dr Kelso et lui tape sur l’épaule.)
Dr Kelso : - Oui ?
(Le Dr Cox lui met un coup de poing en plein dans le nez et le Dr Kelso tombe à terre.)
Dr Cox (s’adressant à Elliot) : - T’es un bon médecin, poupée.
Elliot : - Merci.
Dr Cox : - Aller, salut tout le monde. (S’adressant à Eliot.) Je m’en vais, je vais voir mon fils. (Il sourit à Elliot puis enjambe le Dr Kelso.) Attention Bob, je passe.
(Tout le monde regarde le Dr Kelso alors que Ted est mort de rire.)
Infirmière Roberts (au téléphone) : - En plein dans le nez, oui.
Pensées de J.D. : - Vaut mieux pas traîner dans le coin.

* Musiques de l’épisode :
- Pinch Me de The Barenaked Ladies (Lorsque J.D. explique ce que c’est que l’internat.)
- Candyman de Sammy Davis, Jr (Lorsque J.D. s’imagine être le Roi du Chocolat.)
- Sunday de Keren DeBerg
- My Brilliant Feat de Colin Hay (Quand le Dr Kelso s’en prend à Elliot et que le Dr Cox lui met un coup de poing dans le nez qui le fait tomber à terre.)
Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Bill Lawrence (III)
Co-producteur exécutif : Tim Hobert, Matt Tarses , Eric Weinberg
Producteur : Gabrielle Allan, Garrett Donovan, Neil Goldman, Randall Keenan Winston
Co-producteur : Liz Newman
Musique : Jan Stevens
Montage : John Michel
Directeur de la photographie : John Inwood
Création des décors : Susan Bolles
Producteur associé / délégué : Danny Rose
Assistant de Casting : Blyth Nailling, Blyth Nailling
Chargé de Production : Mark J. Greenberg
Chef accessoiriste : Paul Iannizzotto
Chef décorateur : Brian Kasch
Coiffeur : Scot Williams
Consultant médical : Dr Jonathan Doris, Dr Dolly Klock
Coordinateur de la production : Hillary Simone Hirsch
Coordinateur de Post-Production : Nicola Scaramuzzo
Costumes / Costumière : Carey Bennett
Directeur Artistique : G. Victoria Ruskin
Distribution des rôles : Brett Benner, Debby Romano
Ensemblier (Décorateur de plateau) : Yinka Wilson
Maquilleur : Darla Albright
Montage de l'histoire : Janae Bakken, Debra Fordham, Mark Stegemann
Montage de la musique : Mike Schwartz (II)
Premier Assistant Réalisateur : Richard A. Wells
Second Assistant Réalisateur : Franklyn M. Gottbetter
Supervisation du scénario : Denise Karey

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Mise à jour le : 12/12/2009 à 11:53