Commandée en avril 2016 pour la saison 2017 - 2018, The Orville en laissait plus d'un dubitatif. Si Seth MacFarlane nous a habitué à bien écrire pour l'animation et aussi à la vulgarité (American Dad, Ted), ce n'est pas toujours des réussites. Une série de science fiction rendant hommage à Star Trek tout en la parodiant ne pouvait que faire peur.



Si le pilote est un peu lent et difficile à regarder, on voit déjà le potentiel de la série. Il a fallu trois épisodes à la série pour se poser et trouver le ton juste en étant drôle, actuelle sans pour autant faire dans le pastiche ridicule de Star Trek et surtout en évitant d'être un doublon médiocre de Galaxy Quest.

A bord de l'Orville, on suit Ed Mercer incarné par MacFarlane et son équipage. Ce dernier s'est vu offrir son propre vaisseau après avoir été mis au banc lorsqu'il a pété un câble après avoir découvert son épouse, Kelly Grayson (Adrianne Palicki), au lit avec un extra-terrestre bleu avec des trous ejectant du liquide bleu dans le front.
Il demande à ce que Gordon Malloy (Scott Grimes) soit son navigateur et il accepte le reste de l'équipage sans problème. Le seul souci sera son second, et c'est Kelly qui remplit ce rôle bon gré mal gré. Elle reconnaît avoir commis l'irréparable et essaie de soutenir son ex époux du mieux qu'elle peut.

Le générique est un réel hommage à celui de Star Trek : Nouvelle Génération que ce soit par l'imagerie ou la musique.

Ces trois acteurs sont entourés par Mark Jackson dans le rôle d'Isaac, Penny Johnson dans le rôle du Docteur Claire Finn, J. Lee dans celui de John LaMarr, Halston Sage dans le rôle d'Alara Kitan et Peter Macon dans le rôle de Bortus.

Le tournage de la saison 1 est achevé. Elle n'a que 13 épisodes et la saison 2 devrait aussi être composée d'un nombre limité d'épisodes.

Vous pouvez féliciter l'équipe de The Orville sur Twitter : @SethMacFarlane @AdriannePalicki @ScottGrimes @PennyJJerald @halstonsage @markjacksonacts @jleefilm @BrannonBraga @DavidAGoodman @Jon_Favreau