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Ma Semaine à Nous - Critique de l'épisode Semaine de la saison Semaine

N°95: Semaine du 02 au 08 mars 2009

Par la Rédaction, le 8 mars 2009
Publié le
8 mars 2009
Saison Semaine
Episode Semaine
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Cette semaine, Tigrou nous offre le plus beau résumé de BSG que l’Univers ait connu. Un résumé tout en photos soigneusement choisies, en flèches habilement dessinées et en commentaires à mourir de rire. Ça nous rendrait presque triste de savoir que la série se termine, parce que ça signifie que plus jamais, on ne pourra rire comme ça devant un schéma. Pendant que Tigrou s’amuse avec Paint, Ju s’amuse à tailler un costard virtuel à tous ces créateurs qui croient se rapprocher de leurs fans en commentant leurs séries, Joma ne dit que du bien de la dernière saison d’E.R. et Feyrtys se pose une question essentielle à propos de l’accouchement dans les séries. Et elle vous déconseille d’aller sur la page Wikipédia consacrée justement à l’accouchement, car la photo de qui illustre l’article lui a fait faire des cauchemars terribles. Brrr. Parce qu’il en a accouché plein, des bébés, et sans jamais vomir ni tomber dans les pommes (ou presque) le formidable Morris (Scott Grimes) est à l’affiche cette semaine. On l’aime beaucoup dans E.R. et on n’a pas peur de le dire !

I’ve got Hurt Feelings, I’ve got Hurt Feelings !
Ju et les créateurs de série : une histoire d’amour qui n’en finit pas.

Récemment, on va dire un peu avant la Putain de Grève des Scénaristes, les dirigeants des grands networks américains se sont rendu compte qu’ils pouvaient se faire un peu d’argent grâce à cette nouveauté technologique dont ils avaient vaguement entendu parler au détour d’une conversation trop alcoolisée : l’Internet.

Mais pas assez d’argent pour pouvoir en partager, que ce soit clair.

Résultat, on a assisté depuis à un vrai raz-de-marée de contenu web proposé exclusivement sur les sites officiels des séries les plus populaires. Et des autres. L’idée est simple, il s’agit d’attirer des visiteurs avec des bonus créés spécialement pour le web, toujours un peu d’argent des régis publicitaires, et surtout de faire parler de sa série. Pour ça, rien de mieux que des webisodes plus ou moins passionnants, des vidéos des coulisses (ça coûte moins cher), ou encore des blogs où les créatifs peuvent venir révéler quelques anecdotes bien senties tout en en profitant pour rappeler à leurs fans de regarder le prochain… car c’est bien connu, les gens qui prennent le temps de lire ces blogs ont tendance à oublier à quelle heure passe la série.

Pour ça c’est bien, les blogs. Mais, comme l’Internet lui-même, « les blogs peuvent être la meilleure des choses comme la pire des choses ». Dixit mon grand-père.

Arrêtez de rire. Apparemment il sait de quoi il parle, et j’en suis le premier surpris, mais les blogs officiels ont amené une nouveauté effrayante au monde des séries : ils ont instauré un dialogue entre les créatifs et les fans. Parce que, apparemment, ils ont des choses à dire, ces créatifs. Par exemple, ils doivent s’excuser. De plus en plus souvent.
Et j’avoue que cette nouvelle tendance commence à me fatiguer.
Le Champion incontesté de l’excuse télévisuelle, c’est bien sûr Tim Kring, le créateur de Heroes. Tous les trois mois, Tim réapparait pour s’excuser des dix épisodes bien pourris qu’il vient de superviser, puis assure à qui veut l’entendre qu’il a bien compris la leçon, et que le prochain « Volume » de sa « super série » va « déchirer grave ». Au moins, avec lui, on sait à quoi s’attendre, il est régulier et ça fait deux ans qu’il fait la même chose. Ca ne serait donc pas encore trop grave s’il s’agissait d’un cas isolé.

Malheureusement, c’est contagieux.

Je ne regarde pas la série, mais les signes d’épidémie ont attiré mon attention quand il y a quelques mois Shonda Rhimes de Grey’s Anatomy (la honte !), par l’intermédiaire de Michael Ausiello (la honte !), a expliqué à ses fans qu’elle était désolée que Katherine Heigl soit en train de coucher avec un fantôme dans son drame médical. L’avantage, c’est qu’au moins cette fois, Shonda n’avait pas fait porter le chapeau à Marti Noxon.
Parce que s’il y a bien une chose que Joss Whedon n’aime pas, c’est quand on dit du mal injustement de Marti Noxon, sa grande amie. Joss, il assume. C’est d’ailleurs pour cette raison que, récemment, il a tenu à faire passer un message de la plus haute importance à tous ses fans : « Oui, les premiers épisodes de Dollhouse sont bien nuls. Mais à partir du sixième, ça s’arrange. Faites-moi confiance. Et encore désolé pour avoir tué Tara ! Et Fred ! Et Wash ! Et Penny ! »

Non, je ne lui pardonnerai jamais pour Wash.

Le dernier membre du Club des Désolés, et celui qui m’a ouvert les yeux sur cette terrible maladie de l’excuse qui semble toucher Hollywood, c’est Josh Friedman. En effet, la semaine dernière, sur le blog officiel de la FOX, le showrunner de Sarah Connor s’excusait à demi-mots des trois derniers épisodes particulièrement lamentables de sa série.
En dehors du fait que j’aurais bien étendu son excuse aux quatre derniers épisodes, j’ai un petit message à faire passer à Josh, et à tous ses potes désolés : « Vous êtes lourds. » Et si je devais développer, j’ajouterais bien « Josh, je sais que ça part d’un bon sentiment, mais le fait est que, ou tu fais bien ton job, et dans ce cas tu n’as aucune raison de ne pas soutenir à 100% les épisodes qui viennent d’être diffusés, aussi inaccessibles soient-ils, ou bien tu as merdé et dans ce cas là tu l’écrases. »

Parce que là, sinon, on n’en finit plus avec les excuses. C’est que je me vexe facilement, moi. Et puisque j’aborde le sujet, j’ai dressé une liste non exhaustive des excuses que j’attends avec le plus d’impatience à l’heure d’aujourd’hui :
- Stephen Colbert, j’attends des excuses pour avoir failli m’étouffer sur un Dragibus ™ devant le Colbert Report d’il y a dix jours.
- Bret, Jemaine, j’attends des excuses pour la déception que je subis immanquablement chaque semaine depuis la diffusion du meilleur épisode de Flight of The Conchords que vous pourrez jamais produire, l’exceptionnel « Unnatural Love ». Et pour m’avoir forcé, à travers votre rythme et votre humour, à apprendre par cœur les paroles de Too Many Dicks on the Dance Floor.
- Vince Gilligan, j’attends des excuses pour la diffusion de la saison 2 de Breaking Bad, à partir de cette semaine, le même jour que Flight of the Conchords et United States of Tara. Trop de qualité d’un seul coup, ça blase.

Et, oui, je peux vraiment chanter Too Many Dicks en rythme.


Afrique Adieu
Joma rend hommage aux anciens d’E.R. (et les autres)

Cette dernière saison d’Urgences est plutôt bonne. Elle est loin d’être parfaite, certes, mais elle a au moins le mérite de rendre les urgences du Cook County Hospital de nouveaux intéressantes. Et pas seulement à cause du retour de quelques anciens.
Mais ça aide un peu.
Celui d’Elizabeth Corday est un peu anecdotique, puisque seule Neela a un contact avec elle, ce que je trouve d’ailleurs bien dommage. Mais bon, il faut être honnête, ça aurait été un peu léger au niveau interaction, vu le peu de monde qui restait de son époque. On peut comprendre que la faire revenir pour une période aussi courte dans le cadre du Cook County n’aurais pas apporté grand chose. Néanmoins, celui de son mari, le bien aimé Mark Greene, est beaucoup plus intéressant.
Contrairement à Elizabeth, ou Anspaugh, voire Morgenstern et son mentor mourant, la présence de Mark Greene ne semblait pas être là pour plaire à nos petits cœurs de fans éplorés.
Je précise que ceci n’est pas une critique, j’étais bien content de revoir ces trois là, ainsi qu’Eriq Lasalle, même si ce n’était que pour rendre hommage à Michael Crichton après le décès de celui-ci.
Mais dans Heal Thyself, les flashback sur Mark s’intégraient parfaitement à l’intrigue de l’épisode comme à la construction du personnage du Docteur Catherine Banfield. J’ai trouvé ça assez fort de la part de David Zabel. Et puis quand en plus, on peut revoir 30 secondes de bitchy Weaver et de bad ass Romano, je ne vais sûrement pas me plaindre.
L’autre grand retour c’est bien évidement de celui de Carter.
Là encore la raison de sa présence à Chicago est joliment trouvée. Un parasite contracté en Afrique a presque éliminé son dernier rein valide. L’autre ayant été perdu - tout le monde s’en souviens je parie - lorsque Carter et Lucy ont été poignardés dans l’épisode de la saison 6 Be Still My Heart. Il doit désormais attendre un transplant.
Noah Wyle reprend le rôle de Carter sans forcé, à croire qu’il ne sera toujours que lui. Mais c’est valable aussi pour les scénaristes ; en deux épisodes j’ai l’impression qu’ils ont retrouvés la « voix » du docteur. La blague qu’il fait à Banfield était vraiment dans l’esprit du personnage.
Et puis c’est marrant de voir Carter essayer d’évoluer dans un élément qu’il connait, les urgences du County, tout en étant désorienté face à un personnel qui lui est étranger en majorité. On se retrouverait presque comme en saison 1 quand il débarque pour la première fois dans le service.
En tout cas, je suis bien content de voir que cette ultime saison n’atteint pas les abysses des 3 dernières. Finir sur une note positive ne peut qu’être une bonne chose pour la série créée par Michael Cricton. Série qui à aussi lancé les fabuleuses carrières virtuelles de Feyrtys et moi-même à l’époque d’EDUSA et de la LTE... ’tain c’est bien loin tout ça... Ouais bon, il est vraiment temps d’en finir, quelque soit la qualité de cette ultime saison...


Why won’t you die, JERK ?!
Les prières de Drum se sont presque exaucées

Arrgghhhh !! On y était presque !! J’y ai cru, pourtant, j’y ai cru ! Non, parce que l’épisode double avec une naissance et une mort, ce terrible cliché très pénible du cycle de la vie, les scénaristes de Brothers & Sisters ne pouvaient pas y résister. Non, je leur en veux d’avoir jouer avec mes sentiments et de m’avoir surpris. Si la série tuait Rob Lowe, tout en amorçant une intrigue qui pourrait définitivement nous débarrasser de Tommy Walker, j’aurais du me douter que c’était trop beau.

Non, le sénateur McAllistair est encore des nôtres. Et assez étrangement, autant ma haine anti Rob Lowe est aussi profonde qu’inexplicable, je commence à apprécier ce petit con. Pour la première fois, on nous montre l’ambition de Robert non pas comme une menace qui pourrait montrer le bout de son nez, mais pour ce qu’elle est vraiment, à savoir sa priorité. Oui, c’était bien de le montrer… si la série ne s’appelait pas Brothers & Sisters. The West Wing, c’est fini, et avec, cette volonté d’un créateur prétentieux et assez médiocre de vouloir insuffler à sa série une vocation politique devait mourir avec son pire personnage.

En revanche, l’intrigue ridicule d’Ojay Foods me plait de plus en plus. C’est peut-être mon admiration pour Patricia Wettig, aussi profonde qu’inexplicable, qui fait que j’aime de plus en plus Holly Harper. Je ne sais pas si c’est sa façon de parler si peu naturelle (elle insiste sur la prononciation de chaque syllabe) ou s’il s’agit du fait que c’est peut-être, avec Rebecca, le seul personnage doté d’un iota de complexité, mais j’aime de plus en plus Holly Harper. Et la voir dans une intrigue qui la remet un peu au centre de la série me plait beaucoup.

En tout cas, après deux saisons et demie, il est grand temps de recentrer ce drama familial de pauvres gens riches. Rob Lowe n’est pas un acteur assez talentueux pour avoir sa propre intrigue. Et puis avec une distribution de 175 réguliers, il serait peut être temps de faire un peu de ménage avec l’arrivée d’un nouveau Walker, non ?


Being Archie Morris
Joma fait amende honorable

Morris, le rouquin incapable est de retour... Je me demande bien pourquoi !

On a toujours Morris la plante verte. Comprends toujours pas à quoi sert ce type à part faire partie des meubles, il n’apporte aucun élément comique ou dramatique, juste de l’irritation, à moins que ce soit le but recherché.

Morris l’interne qui ne sert à rien, et qui ne sert toujours à rien, vient d’avoir une storyline importante ! Alors que des membres du cast principal végètent toujours, je comprendrais jamais les scénaristes, moi, au moins cela me prouve la vacuité de cet épisode.

En fait si on réfléchit bien, Pratt c’est Morris (mais oui, Morris le rouquin qui ne sert a rien) et Morris c’est Pratt, alors ce qui serait cool c’est que les scénaristes nous fondent les deux personnages en un seul, un black roux qu’on appellerait Prorris. Et là, voir ce personnage ne faire que des conneries ça pourrait être marrant.

Ces quelques lignes sont issues de mes reviews de la saison 10 d’Urgences, ou, en comparant le Dr Morris à Pratt, cela prouvait bien le mépris que je pouvais avoir pour ce personnage à son introduction dans al série.
Je me dois aujourd’hui de rendre un hommage aux scénaristes de la série pour me faire adorer le personnages de Scott Grimes depuis déjà quelques temps.

Voilà c’est dit, dans l’épisode 15.18, je me suis retrouvé comme à la grande époque de la série à ne pas vouloir que quelque chose arrive à un personnage, en l’occurrence Morris ou sa compagne, parce qu’en peu de temps les scénaristes ont réussi à rendre très naturel le couple Claudia/Morris.
Morris qui repeint son appartement pour Claudia, qui garde son calme, gère les docteurs des urgences, alors qu’il devrait être au chevet de sa compagne, rend le personnage encore plus cool qu’il ne l’était déjà. Et au passage c’est bien comme ça qu’ils auraient du rendre Carter lors des saison 9 et 10.
Je me retrouve aujourd’hui à attendre le prochain épisode d’Urgences avec l’impatience de mon petit cœur de fan transi. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas ressenti ce genre de choses devant la série que ça en devient vraiment étrange.


Dans la douleur, tu accoucheras. Surtout à la télé
Feyrtys ne pouvait pas résister, après tout c’est la journée de la femme.

J’aimerais bien qu’on m’explique pourquoi, quand un personnage accouche dans une série, c’est toujours sans péridurale. Non, vraiment. Dans le dernier Brothers & Sisters par exemple, la formidable Sonja Sohn (Kima dans The Wire) est obligée de sombrer dans la caricature la plus abominable de femme qui souffre et qui, forcément, est hystérique. Parce que c’est bien connu, une femme qui souffre est obligatoirement hystérique.
Dans les sitcoms, ça ne manque jamais, l’accouchement est toujours le moment où les personnages féminins jurent de ne plus jamais avoir de rapports sexuels, où elles en font baver leurs maris/amis/partenaires d’infortune, et où elles broient les mains des pauvres personnages autour d’elle et que tout le monde semble vouloir leur faire manger des glaçons. Et sans que je sache vraiment pourquoi, que ce soit dans une sitcom ou dans un drama, il est TOUJOURS trop tard pour avoir recours à une péridurale. A croire qu’aux Etats-Unis, la technologie médicale n’est pas très avancée.

Mais pourquoi vouloir répandre l’idée que l’accouchement doit se faire dans la douleur pour être digne d’être raconté dans une série ? Quel est le but caché ? Vouloir faire payer Ève, encore et toujours ?
De toutes façons, je ne sais pas si les scénaristes à Hollywood sont au courant (probablement pas apparemment), mais même avec une péridurale, les femmes ne vont pas se mettre à accoucher avec le sourire, contrairement à ce que Laura Ingalls et la scientologie tentent de nous faire croire. Anesthésie ou pas, il faut continuer à travailler un peu pour les faire sortir, ces engeances maléfiques.

Même Joss Whedon, qui est un féministe convaincu, se met à la mode de l’accouchement dans la douleur à la télé dans le Dollhouse de cette semaine. Parce que c’est bien connu, quand on a des milliers de dollars à dépenser, on choisit d’accoucher sans péridurale dans la montagne. Ben oui. C’est tellement beau et émouvant ! Ceci dit, chacun fait ce qu’il veut, et après tout les femmes sont encore en droit de décider d’accoucher ou non dans la douleur si elles le veulent. Ce serait juste sympa qu’à la télé, on leur donne un peu le choix, justement.


BSG – Le bilan
Un bilan haut en couleurs, par Tigrou

C’est une Grande Série qui va nous quitter dans les semaines qui viennent : après nous avoir tenus en haleine pendant 4 saisons, 2 téléfilms et 25 webpisodes (on ne pourra pas reprocher à Sci-Fi de n’avoir pas su exploiter le filon !), Battlestar Galactica se terminera le 20 mars.

Et, pour quiconque regarde la série, le double épisode final promet d’ores et déjà d’être grandiose !

Déjà, sauf problème de dernière minute, la présidente Roslin devrait enfin y casser sa pipe. Depuis 4 saisons qu’elle nous saoule à répéter toutes les 3 minutes qu’elle a un cancer et qu’elle va mourir, j’ai envie de dire : y a intérêt ! Et sans marijuana médicinale s’il vous plait !

De plus, Ron Moore l’a promis, le meilleur personnage de toute la série sera présent dans l’épisode. Des négociations seraient en cours hors-caméra pour ramener également son acolyte félin. Croisons les doigts !

Et, s’il vous fallait encore une raison de regarder, sachez (mais ça, ce n’est pas sûr) que quelques cylons feront peut-être aussi une apparition dans les trois heures ultimes de la série. Ça dépendra du contrat des acteurs. Mais il y en aura sûrement 3 ou 4, quand même…

En tous cas, une chose est sûre : ce dernier épisode promet d’être difficile à suivre pour qui n’a pas toute les intrigues de la série en tête ! Vue la densité narrative des épisodes de cette seconde partie de saison 4, il apparaît assez évident que Ron Moore aura bien du mal à faire tenir tout ce qu’il veut nous raconter en 180 minutes sans nous imposer un rythme forcené. Il y a tant d’aspects de la mythologie à résoudre, tant de relations complexes à conclure…

C’est pourquoi je vous propose cette semaine une « carte des constellation » bilan de la série, afin de vous permettre d’apprécier pleinement ce Series Finale. Une fresque-synthèse qui vous remettra en tête TOUT ce que vous aurez besoin de savoir pour comprendre ce dernier épisode : des relations entre les différents personnages aux questions mythologiques essentielles.

Comment lire ce schéma ? De haut en bas et de gauche à droite bien sûr !

A gauche, les humains. A droite, les cylons. Entre ces deux races, un fossé infranchissable (symbolisé par un éclair rouge, parce qu’évidemment, il n’y a pas de fossés dans l’espace !), que seul l’amour et la libido peuvent traverser. Et évidemment, en rose, les indispensables liens sur « qui couche avec qui ».

Eh oui, Baltar s’est tapé 25% de la population Cylon à lui tout seul.
Sacré Baltar.
la Rédaction