Paul essaie de trouver avec Walter qu'est ce qui est à l'origine de ses crises de panique et pourquoi elles ne cessent pas.
Rosie, la fille de Paul lui rend visite. Un coursier arrive avec une enveloppe du cabinet. Rosie questionne son père et s'inquiète pour lui : pourquoi il s'investit dans un travail qui le coupe du monde si ces patients le poursuivent en justice alors qu'il les aide. Paul essaie de la rassurer à sa façon mais Rosie ne veut pas recevoir de câlin de son père tant que les choses ne sont pas réglées à la maison. Elle cède néanmoins et fait remarquer que sa tortue est très jolie.
Walter commence la séance en supposant que Paul a lu des articles sur lui ou son entreprise. Il est fière que ces articles soit passé de la section économique à la une. Mais il se méfie de la journaliste et pense qu'il y a des fuites au sein de la société. Il n'a pas peur pour sa réputation mais pour sa fille, il a peur que sa fille soit enlevée contre rançon dû à cette publicité sur lui. Il est aussi inquiet pour sa femme qui a perdu du poids.
Paul oriente la conversation vers les crises de panique. Paul souligne qu'il a dit « Elles s'en vont » et que donc elles doivent être fréquentes. Mais Walter insiste sur le fait que ce ne sont pas des crises de panique que ça lui arrive dans des situations non stressantes et que donc ça n'a rien à voir avec de la panique ou de l'anxiété. Il admet en avoir eu une autre dans la semaine, dans un ascenseur.
Paul lui demande de décrire ce qui s'est passé ce que Walter fait tout en montrant son agacement pour ce genre d'exercice. En le faisant développer, Walter explique que l'ancien garde qu'il connaissait depuis 30 ans est mort d'une crise cardiaque dans la semaine, « disparu ». Ils n'étaient pas amis mais avaient des conversations amicales tous les matins. Paul pense qu'il doit lui manquer et que ça a pu provoquer la crise. Mais Walter rejette cette idée.
Walter raconte la mort de son frère, Tommy qui avait 16 ans et un avenir prometteur. Il est mort noyé et Walter a commencé à avoir ses crises la nuit quand il a commencé à dormir dans la chambre de Tommy. Il ne se souvient pas de tout parce qu'il était jeune et Paul essaie de lui faire expliquer ce qu'il a ressenti quand même à ce moment là. Cet événement a affecté ses parents fortement et par conséquent lui aussi, ayant eu un poids à porter dés le plus jeune âge, renforcé par le silence de ses parents.
Paul souligne que Walter a employé le mot « disparaitre » pour son frère, sa fille et le garde. Il essaie de l'éclairer sur ce sujet mais Walter ne veut pas aller plus loin.
Paul expose sa théorie: que si les gens disparaissent, ne sont plus dans son champ de vision, quelque chose de terrible va arriver. La source serait le manque d'explication sur la mort de son frère.
Walter préférerait prendre des médicaments que d'aborder les problèmes par le côté psychiatrique.