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Ma Tragédienne
Titre original : My Drama Queen
Saison 2 - Episode 21 | N° dans la série : 45 | N° de Production : 221
1ère Diffusion (Originale) : 10/04/2003 - (Française) : 19/07/2003

Résumé

J.D. sort toujours avec Jamie mais se rend compte qu’elle a besoin de drames pour vivre une histoire d’amour tandis que le docteur Cox est obligé de donner un cours sur la façon de bien approcher les patients afin d’empêcher les problèmes d’ordre juridique.
La mère de Carla meurt ce qui la pousse à vouloir se marier immédiatement avec Turk.


Synopsis de l'épisode

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Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Will Berson

Réalisateur(s) : Michael Spiller

Acteurs présents : Zach Braff (Dr John "J.D." Dorian), Sarah Chalke (Dr Elliott Reid), Donald Faison (Dr Chris Turk), Neil Flynn (Le Concierge), Ken Jenkins (Dr Bob Kelso), John C. McGinley (Dr Perry Cox), Judy Reyes (Infirmière Carla Espinosa)

Guest Star(s) Récurents : Johnny Kastl (Doug Murphy) [x51], Sam Lloyd (Ted Buckland) [x90], Robert Maschio (Todd Quinlan) [x114], Aloma Wright (Infirmière Laverne Roberts) [x80]

Guest Star(s) : Fred Berny (Lui-même), Robert Noble (Le prêtre), Gabriel Pimentel (Mike), Amy Smart (Jamie Moyer), Larry Udy (M. Weisfeiner), Gillian Vigman (Patiente)

Notes de production

* Note :
- Ted Buckland (joué par Sam Lloyd) révèle qu’il est stérile.

* Gaffes :
- A l’appartement de Jamie, quand elle dit à J.D. qu’elle va mettre un jogging, elle jette le magazine qu’elle était entrain de lire sur la table basse et se dirige vers sa chambre. Mais dans le plan suivant, elle tient de nouveau le magazine qu’elle est sensée avoir posé.
- Lorsqu’Elliot salut Carla d’un « Salut, salope », J.D. se précipite pour parler à Elliot qui tient une boisson à la main du côté du code barre. Quand elle pose sa boisson, sans l’avoir tournée, elle se trouve du côté de nom « Naked ». Dans les deux plans suivants, la boisson change de sens.

* Allusions :
- Dans la version originale, Elliot déclare : « When her husband was in a coma, it was all, like, taboo end exciting, but now that it’s okay for the two of you to be together, the relationship’s got no snap… it’s got no crackle, J.D…. it’s got no pop. » (Dans la VF, Elliot déclare: « Quand son mari était dans le coma, votre liaison était tabou et excitante mais maintenant que vous avez le droit de vous montrer ensemble, la relation a perdu une partie de son piment, il n’y a plus… de risque. J.D., ça manque de peps. »
“Snap, Crackle et Pop” sont des personnages de dessins animés qui sont sur les boîtes de riz soufflé.
- La scène où Ted Buckland sort de la salle de cours du docteur Cox, il met un bras en l’air en signe de victoire. C’est une imitation de Judd Nelson, à la fin du film The Breakfast Club. La musique utilisée (Don’t You (Forget About me) de Simple Minds) est la même que celle du film.

* Citations :
Pensées de J.D. : - Je sors avec une femme dont le mari vient de mourir après deux ans passés dans le coma. C’est pas très évident comme relation. Mais, bon, faut que je sois virile et que j’assume mes doutes.
Jamie : - A quoi tu penses ?
J.D. : - Aux œufs. Un jour, on vous dit que c’est mauvais pour vous et le lendemain on vous dit… c’est bon les œufs, c’est excellent pour la santé. Absurde ces histoires d’œufs.
Jamie : - Ah, c’est ça, c’est très intéressant.

J.D. : - Qu’est-ce qu’y a ?
Jamie : - J.D. j’avais tellement envie qu’on passe une soirée romantique.
J.D. : - Mais c’est très romantique. Et dis-moi, chérie, combien de temps est-ce que tu vas immobiliser mes extrémités ?
Jamie (retirant son peignoir) : - Jusqu’à ce qu’elles te fassent souffrir.

Elliot (regardant les poignets de J.D.) : - Ce sont des marques de corde, non ?
J.D. : - Non, c’est une allergie à cause de ma montre. Ils m’ont pas dit que le bracelet était en poil de… chat.

Elliot (regardant le catalogue de robe de mariée) : - Oh, elle ressemble à celle que j’ai achetée. (Turk et J.D. lui lance un regard surpris.) Non, non, j’ai pas acheté de robe de mariée, j’ai même pas de petit copain, ça serait vraiment absurde. Mais j’en ai vu de très jolies en soldes.

Turk : - Rappelle-moi, comment s’appelle cette styliste que t’aimais tellement qui a créée ces robes, là… Vera…
Carla : - Laverge (rires de Turk et J.D.).
Elliot : - C’est pas vrai, vous êtes vraiment des gosses. C’est le nom Laverge qui vous éclate ?
Todd : - Salut !
Elliot : - Aller, vas-y, balance.
Todd : - Quoi ? Je trouve que Vera Laverge fait des robes ravissantes. En plus, elle a un nom marrant, ça fait penser à pénis.

J.D. : - En short, hein ?
Le concierge : - Ouais. Quoi, j’ai pas le droit au short parce que je suis le nullard de l’entretien ?
J.D. : - J’ai pas dit nullard.
Le concierge : - Non, mais vous l’avez pensé.
J.D. : - C’est ça, oui. Hey, vous avez bu ou quoi ?

Pensées de J.D. (alors que le Dr Cox continue de lui parler) : - Bon sens, celui-là quand il commence, y a rien qui peut l’arrêter.
Dr Cox : - … impossible.
Carla : - Ma mère est morte.
Pensées de J.D. : - A part ça.

Le concierge : - Comme vous avez dit que vous aimiez le mien, j’ai demandé à ma femme d’en couper un pour vous. Ça vous plait ?
J.D. : - Si ça me plait ? Tenez, pas plus tard qu’hier soir, je me demandais, comment est-ce que je peux exposer mes avantages pour que ce soit à la fois chic et professionnel ?
Le concierge (montrant le short) : - C’est la réponse à votre question. (J.D. s’en va et l’homme de l’entretien rigole.) Être jeune et en short !

Elliot (parlant de Jamie) : - J.D. si tu trouves que ça va moins bien, je peux la sonder pour toi, essayer de voir où est le problème.
J.D. : - Ça va très bien, je t’assure. Hier soir, on a fabriqué des glaçons avec du jus d’orange, on s’amuse.

Ted : - On y va, les enfants. Alors, avant que nous commencions, le docteur Kelso m’a demandé de vous rappeler les implications et les ramifications légales de toutes vos sottises et maladresses…
Dr Kelso : - Sottises et maladresses ! Taisez-vous Ted, on se croirait dans la Comtesse de Ségur. Ecoutez-moi bien, bande d’idiots. Plus de 50% des procès qu’on nous intente sont imputables à un défaut de communication entre patients et médecins. Je précise donc que tous ceux d’entre vous qui ont tendance à s’exprimer à tort et à travers sont conviés à assister à ma prochaine intervention lors du séminaire sur les relations patients-médecins. Mon premier invité sera le docteur Murphy que j’ai récemment entendu dire à un de ses malades : « Arrêter de saigner, faut pas saigner, oh je vous en prie arrêter de saigner ».
Dr Murphy : - Il faisait une hémorragie.
Dr Kelso (râlant) : - Vous êtes catastrophique, imbécile.

Doug Murphy (parlant du Dr Kelso) : - Crève, espèce de salopard.
Ted : - On se défoulera ensemble lors de notre prochaine balade.

Infirmière Roberts : - Docteur Cox, me ferez-vous le plaisir de goûter à mes œufs mimosas ?
Dr Cox : - Non, sans façon, j’au déjà la diarrhée.

Carla (parlant de l’enterrement de la mère du Dr Cox) : - Ça c’est passé comment pour la votre ?
Dr Cox : - J’en sais rien, je n’y suis pas allé. Mais ma tante m’a dit que mon père était très émouvant (il rigole).

Elliot : - Tu veux que je te dise ce qui ne va pas avec Jamie ?
J.D. : - Ça va très bien.
Elliot : - Oh, arrête, elle vient de te virer de son appartement.
J.D. : - Mais non, elle m’a rapporté ça parce qu’elle sait que j’ai besoin de mes… (il prend un objet dans le sac que lui a donné Jamie) de mes lunettes de protection.
Elliot : - Mmm.
J.D. : - Je dois tronçonner un truc cet après-midi.

Elliot (parlant de Jamie) : - C’est une tragédienne accomplie, J.D. Quand son mari était dans le coma, votre liaison était tabou et excitante mais maintenant que vous avez le droit de vous montrer ensemble, la relation a perdu une partie de son piment, il n’y a plus… de risque. J.D., ça manque de peps. Je sais, je suis comme ça moi aussi.
J.D. : - Non, Jamie n’a rien à voir avec toi.
Elliot : - Plus de peps.

Dr Cox s’adressant à un de ses patients :
- C’est quoi, ça ? Quatre kilos de plus en huit jours. Bon, répondez vite à cette question. Qu’est-ce que vous voulez ? Que ma tête explose ? Parce que vous ne pouvez pas savoir à quel point c’est frustrant de travailler comme un dingue pour essayer de gonfler un minuscule petit ballon à l’intérieur d’une artère pour la déboucher. En sachant que tout ce que le malade doit faire ensuite c’est, j’en sais rien, marcher un peu tous les matins, se nourrir de crudités et de salade verte mais surtout pas d’engraisser comme ça. Oh, je sais ce que vous pensez, y a qu’à voir votre tête hein, cause toujours tu m’intéresse, c’est ça hein ? Mais je vais vous dire la vraie vérité, je vous annonce les faits. Vous êtes ce que vous mangez et d’après ce que je vois, vous avez dévoré au moins trois obèses aujourd’hui.

Ted : - Vous voyez, docteur Cox, c’est exactement le genre d’attitude agressive et maladroite qui risque d’entraîner des difficultés légales.
Dr Cox : - Ted, je ne sais pas ce qui me retient de vous arracher votre cravate et de vous l’enfoncer dans l’œsophage.
Ted : - Je vous ai déjà prouvé à la soirée costumée de l’infirmière Roberts que je la digérais très bien et que ça ne résolvait rien.

Dr Kelso : - C’est pas possible, Perry. Vous ne pouvez pas passer votre vie à insulter les obèses et bousculer les avocats.
Dr Cox : - Je ne suis plus un interne et rien ne me force à participer à votre séminaire sur les rapports patients-médecins. Désolé, mon petit Bobby, mais vous ne pouvez absolument rien faire contre moi, je regrette.

Dr Cox : - Bonjour à tous, je me présente, docteur Perry Cox. C’est moi qui suis votre professeur.
(Doug lève la main.)
Dr Cox : - Non.
(Doug relève la main.)
Dr Cox : - Non.
(Doug relève la main encore une fois.)
Dr Cox : - Non !
(C’est Todd qui lève la main.)
Dr Cox (se prenant la tête à deux mains) : - Oh…

Carla (parlant de sa mère) : - Je sais qu’elle était… vieille, mais… c’était ma meilleure amie. Je sais pas comment on doit réagir quand on n’a plus sa maman.
Turk : - Tu peux peut-être charger ton homme de remplir le vide qu’elle a laissé ?
Carla : - Ça lui plairait. (Pause)
Turk : - Elle me supportait pas.
Carla : - Non, je sais.

Le concierge (chuchotant) : - Chhhhh, je ne voulais pas vous faire peur.
J.D. (chuchotant) : - Pourquoi est-ce qu’on parle tout bas ?
Le concierge (chuchotant) : - Je voulais voir si vous m’imiteriez si moi, je parlais tout bas.
J.D. (chuchotant) : - Ben, oui, vous voyez.

Le concierge : - Mais dites-moi, vous ne devriez pas porter votre short aujourd’hui ? Vous avez vu le planning ? Lundi, mardi, short, mercredi, on les lave, jeudi, vendredi, short, le week-end, optionnel. Je me mets en short.
J.D. : - Oui, je sais, je voulais le mettre, mais je l’ai pas trouvé, on l’a volé dans mon vestiaire.

J.D. : - Euh, ce hamburger est délicieux. Non, sérieusement, c’est vrai, on sent bien le pain de mie.
Jamie (jetant son magazine) : - Bon, je vais aller me mettre en jogging.
J.D. : - Tu es déjà en jogging.

(J.D. vient de casser la table basse en verre de Jamie.)
J.D. : - Je suis désolé, c’est un accident, j’ai…
Jamie : - Pourquoi tu mens ? J’t’ai demandé de t’en aller alors tu as démoli ma table, c’est ça ?
Pensées de J.D. : - Elliot avait raison, elle aime les drames.
J.D. : - Je n’ai pas pu me dominer, tu me rends dingue.
Jamie : - Viens par là, j’ai très envie de toi.

J.D. : - Elle veut se marier tout de suite ?
Turk : - Elle dit que c’est romantique d’être spontané.
J.D. : - Waouh, c’est très romantique, enceinte de combien de mois ?
Turk : - Elle est pas enceinte. Moi qui commençais à m’exciter à cette idée, le mariage, l’orchestre, le buffet. Et je t’aurais placé à côté d’une des sœurs de Carla.
J.D. : - Ah oui, laquelle ?
Turk : - Celle qui boit trop.
J.D. : - Génial !

Le prêtre : - Vous travaillez ici, je ne vous prendrais que 40 dollars pour la cérémonie.
Turk (tombant dans les bras du prêtre) : - Merci, mon père.

J.D. (s’adressant à un nain) : - Je vous préviens, je supporte pas qu’on matte ma femme.
Jamie (montrant un homme beaucoup plus grand et fort) : - Euh, c’était pas lui J.D., c’était celui-là.
J.D. : - Non, je… je le sais, (montrant le nain) je l’ai vu, c’était lui.

Jamie (parlant d’Elliot) : - Qu’est-ce qu’y a, qu’est-ce qu’il lui prend ?
Pensées de J.D. : - Je ne vais quand même pas m’abaisser à ce point !
J.D. : - Autrefois, on était ensemble et maintenant que tu es dans le paysage, elle voudrait me reprendre.
Pensées de J.D. : - Et bien si, je l’ai fait.
Jamie : - Ah, on ne touche pas à mon mec, non.

Dr Cox : - Aller Ted, soyez sympa, à vous de jouer.
Ted : - Euh, mesdames et messieurs, nous voici réunit ce…
Dr Cox : - Je dors. Une autre idée. On va tous se taire une demi-heure pour que je puisse faire la sieste et, toi le rongeur…
Doug : - Oui, docteur Cox ?
Dr Cox : - Je te conseille d’avaler vite fait le contenu de ton sac de crudités parce que si je t’entends grignoter pendant que j’essaie de m’endormir, je n’hésiterais pas à me servir du reste de carottes qui sont dans ce paquet pour boucher hermétiquement tous tes orifices.

J.D. : - Non, non, non, je vais t’expliquer pourquoi Jamie a dit ça. Tu sais, Turk, il dit souvent « Salut mon pote » même quand il parle à une fille.
Elliot : - Ouais.
J.D. : - Et bien, Jamie vient de Cincinnati et à Cincinnati, ils disent « Salut, salope ».
Elliot : - Ah… marrant.

Carla : - Turk, t’es sur que t’auras pas de regrets ?
Turk : - Non, j’en aurais pas, c’est le mariage de mes rêves. Ce sera économique, personne pour vous harceler, en plus t’as dit que t’appellerais ma mère pour lui dire pourquoi elle est pas invitée.
Carla : - Ça se négocie.

Dr Kelso : - Enfin, Perry, vous étiez là pour enseigner. Si j’avais voulu quelqu’un qui passe sa journée allongé à ne rien faire, j’aurais fait venir un cadavre… ou bien ma femme de ménage, Rosella.
Dr Cox (s’adressant à Ted) : - Et vous là-bas, le traitre, c’est vous qui lui avez dit que j’avais dormi ?
Ted : - Oh, je vous en prie, vous me choquez Cox. D’ailleurs, grande nouvelle, je suis stérile. (Le Dr Kelso et le Dr Cox se tournent vers lui.) Je voulais dire dégonflé. Mes spermatos tournent en rond au lieu d’avancer. Je… je crois que je fais trop de bicyclette.

J.D. : - Hey, je voulais te dire que tu as raison à propos de Jamie.
Elliot : - Hein, hein. Et qu’est-ce qu’elle pense que tu es entrain de faire ?
J.D. : - Te supplier de ne pas débarquer dans mon appartement toute nue et en larmes.

Dr Cox (lisant le cours) : - Bon, vous y êtes, on y va. Quand un employé de l’hôpital a dû mal à communiquer avec les patients, cela entraîne toutes sortes de ramifications légales ou éthiques qui créent des problèmes financiers et des rapports difficiles avec les… (il se tourne vers Ted qui fait le discours en même temps) médecins.
Elliot : - Docteur Cox, ça n’a aucun intérêt, je croyais qu’on était là pour apprendre.
Dr Cox : - Poupée, pourquoi ils t’ont envoyé ici ?
Elliot : - Oh non, je suis là comme… euh, je suis là comme… auditeur.

Dr Cox (jetant son cours) : - Bon. Bon, bon, bon, bon, bon, bon. Aller, ça suffit, on arrête les conneries. Si vous voulez être de bons médecins ou infirmiers, il faut accepter l’idée que vous aurez des problèmes et des tas. Parce que les patients sont des imbéciles et qu’ils ont tous la trouille. Il y en a pas mal qui veulent qu’on leur tienne la main et il faut le faire. D’autres qui ont besoin d’un coup de pied au cul et il faut absolument le faire aussi mais là, la vraie question, la seule, c’est de savoir si oui ou non, vous aurez le courage de faire ce qu’au fond de votre cœur, vous savez qu’il faut… faire.
Dr Kelso (entrant dans la salle de cours) : - Alors, Ted, comment s’en sort le professeur Cox, dites-moi ?
Ted : - Excellent, monsieur.

J.D. : - Mmm, ça sent mauvais.
Le concierge : - Qu’est-ce qui peut sentir comme ça ? (Il sort le short que sa femme a fait pour J.D.) Ce short peut-être ?
J.D. : - Oh.
Le concierge : - Ma pauvre femme a galéré pour vous le faire.
J.D. : - Elle a juste coupé les manches d’une blouse et piqué le bas à la machine, c’est pas si dur.
Le concierge : - C’est pas si dur ! Et bien sachez que le Seigneur n’a pas doté ma femme de dizaines de doigts. Elle a seulement l’index et ces deux-là (il montre le petit doigt et le pouce).

Jamie : - Alors, tu crois qu’Elliot est prostrée quelque part et qu’elle est entrain de sangloter ?
J.D. : - Oh, sans aucun doute. Mais pas sur moi.

J.D. (habillé en short) : - Bonjour, excusez mon retard.
Dr Cox : - Heureusement que tu arrives, ce serait trop triste un mariage sans le boy scout de service.

Pensées de J.D. : - Il faut parfois un prêtre pour vous empêcher de faire une grosse bêtise.
Le prêtre : - Christopher, j’ai un trou de mémoire. Quel est le nom de votre future femme ?
Turk : - Carla.

Turk : - Chérie, c’est pas ce que tu veux.
Carla : - Quoi ?
Turk : - Je sais que la mort de ta mère, ça a été très dur et que tu as dû te sentir seule comme si tu n’avais plus de famille, mais c’est moi ta famille qu’on se marie maintenant ou qu’on attende un peu pour que ce soit comme tu l’as toujours rêvé (il embrasse Carla).
Dr Cox : - Oh, c’est pas vrai, pour me faire perdre mon temps, ce sont les champions ces deux-là.
Infirmière Roberts : - Ouais, m’en parlez pas.
Elliot : - Oh, faites pas la tête salope, c’est plutôt chouette.
Infirmière Roberts : - Qu’est-ce que vous dites ?

Pensées de J.D. : - Les grands moments de la vie, c’est important, bien sur. Mais les petits le sont peut-être encore plus. Et une fois qu’on a compris ça, tout devient simple. Il n’y a plus qu’une seule chose qui compte, c’est de faire le bonheur de l’autre.

* Musiques de l’épisode :
- Sleep de Keren DeBerg
- Sex Machine de James Brown (Quand J.D. s’imagine que Jamie et Elliot prennent des cours de danse ensemble et quand J.D. s’imagine l’enterrement de vie de garçon de Turk.)
- Don’t You (Forget About Me) de Simple Minds (Quand Ted sort de la salle de cours le bras levé.)

Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Bill Lawrence (III)
Co-producteur exécutif : Tim Hobert, Matt Tarses , Eric Weinberg
Producteur : Gabrielle Allan, Garrett Donovan, Neil Goldman, Randall Keenan Winston
Co-producteur : Liz Newman
Musique : Jan Stevens
Montage : Rick Blue
Directeur de la photographie : John Inwood
Création des décors : Susan Bolles
Producteur associé / délégué : Danny Rose
Chargé de Production : Mark J. Greenberg
Chef accessoiriste : Paul Iannizzotto
Chef décorateur : Brian Kasch
Coiffeur : Scot Williams
Consultant médical : Dr Jonathan Doris, Dr Dolly Klock
Coordinateur de la production : Hillary Simone Hirsch
Coordinateur de Post-Production : Nicola Scaramuzzo
Costumes / Costumière : Carey Bennett
Distribution des rôles : Brett Benner, Debby Romano
Maquilleur : Darla Albright
Montage de l'histoire : Janae Bakken, Debra Fordham, Mike Schwartz (II), Mark Stegemann
Premier Assistant Réalisateur : Richard A. Wells
Second Assistant Réalisateur : Franklyn M. Gottbetter
Supervisation du scénario : Denise Karey

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Mise à jour le : 12/12/2009 à 11:38