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Ma Troisième Année
Titre original : My Own American Girl
Saison 3 - Episode 1 | N° dans la série : 47 | N° de Production : 301
1ère Diffusion (Originale) : 02/10/2003 - (Française) : 19/06/2004

Résumé

Alors qu’ils commencent leur troisième année, Elliot se rend compte que rien de bon ne lui est arrivé depuis qu’elle travaille à l’hôpital. Cette prise de conscience la pousse à prendre des mesures drastiques dans le but d’avoir plus de chance.
Pendant ce temps, J.D. bloque sur le diagnostic d’une patiente et le Dr Cox refusant de l’aider, il se tourne vers Carla et Turk. De son côté, suite à son coup de poing, le Dr Cox tente de faire amende honorable auprès du Dr Kelso.


Synopsis de l'épisode

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Distribution & Production principale
Scénariste(s) : Bill Lawrence (III)

Réalisateur(s) : Bill Lawrence (III)

Acteurs présents : Zach Braff (Dr John "J.D." Dorian), Sarah Chalke (Dr Elliott Reid), Donald Faison (Dr Chris Turk), Neil Flynn (Le Concierge), Ken Jenkins (Dr Bob Kelso), John C. McGinley (Dr Perry Cox), Judy Reyes (Infirmière Carla Espinosa)

Guest Star(s) Récurents : Scott Foley (Sean Kelly) [x12], Sam Lloyd (Ted Buckland) [x90], Christa Miller (Jordan Sullivan) [x88], Aloma Wright (Infirmière Laverne Roberts) [x80]

Guest Star(s) : Lee Arenberg (Dr Moyer), Umoja Butler (Grand type), Nicholas DiNardo (Coursier), Jerry Farmer (Prisonnier), Brad Koepenick (Mitchell), Jennifer Lothrop (Fille), Mark Meismer (Stephen), Bonnie Perlman (Mme Farr), Sean Whalen (Laddy)

Notes de production

* Notes :
- Lee Arenberg (Dr Moyer) est un acteur, réalisateur et scénariste américain, né le 18 juillet 1962 en Californie. Il a notamment joué dans les Pirates des Caraïbes (La malédiction du Black Pearl, Le secret du coffre maudit et Jusqu’au bout du monde), le rôle de Pintel.
- C’est la première fois qu’Elliot prononce le mot “merde” qui sera, dans les futurs épisodes, signe de malédiction.
- La salle d’examen de la prison est en fait une salle de radiographie de l’hôpital. Les sons en toile de fond ont été ajoutés au montage.
- Mme Farr, une patiente de J.D., souffre de fièvre méditerranéenne familiale (FMF) qui est une maladie héréditaire la plus souvent observée chez les membres des groupes ethniques dont les origines se situent autour de la Méditerranée (juifs séfarades, arméniens, turques et arabes). Les symptômes sont généralement de la fièvre, des douleurs articulaires et abdominales. Cette maladie est souvent mal diagnostiquée car elle est rare et que ses symptômes sont semblables à ceux d’autres maladies. Il existe maintenant un test génétique pour savoir si une personne est atteinte de FMF.

* Gaffes :
- Juste après avoir parlé au Dr Kelso, le Dr Cox parle à J.D. qui a sa frange que son front. Quand le Dr Cox s’en va et que J.D. se retourne pour le regarder partir, ses cheveux sont bien coiffés et il n’a plus de frange.
- Quand le Dr Cox se trouve dans l’ascenseur avec le Dr Kelso, il prend sa petite lampe de poche dans la poche de sa blouse. Dans le plan suivant, alors qu’il l’a déjà prise, il la reprend une seconde fois.

* Citations :
Turk : - Tu te souviens de la règle pour les blancs qui dansent en public ?
J.D. : - Interdit sauf si on est gay.

Pensées de J.D. : - La troisième année, on se connaît si bien qu’on peut parler à la place des autres. Par exemple…
Turk : - Et n’oublie pas, t’as pas le droit de danser.
Carla : - Comment ça va Bambi ? Signe-là s’il te plait.
Le concierge : - Tu me fais pas peur, pauvre mec !
Pensées de J.D. : - Et naturellement…
Dr Cox : - Dis donc Zsa Zsa, ça m’angoisse de te voir comme ça parce que quand tu as tes écouteurs, t’entends rien de ce que je te dis mais je sais qu’il y a deux chances sur trois que t’ouvres ton clapet et que tu commences à me bassiner avec « Dr Cox, qu’est-ce que je fais, qu’est-ce que je fais, qu’est-ce que je fais ? ». Oh, l’horreur (il enlève les écouteurs de J.D.). Et je ne veux plus que tu m’appelles « Dr Cox » quand t’es devant tes patients. Une fois qu’ils connaissent mon nom, ils n’arrêtent pas de me biper pour m’interroger tellement ils se rendent compte que t’es incapable de les soigner. Je tiens à protéger mes arrières alors, à partir de maintenant, je ne répondrais que si tu m’appelles « Doc, Docteur, César, mon Maître » et non, non, ce n’est pas une plaisanterie. Ce n’est pas… drôle du tout. C’est même très grave.
Pensées de J.D. : - Les jours passent mais rien ne change.

Pensées de J.D. : - Les médecins affrontent toujours les chirurgiens au basket.
Le chirurgien : - Je vais tellement te démolir pendant ce match que même ta mère te reconnaîtra plus après.
J.D. : - Ah ouais. Alors c’est vrai que ta petite sœur a recommencé à boire ?
(Le chirurgien va pleurer dans les bras de Turk.)
Pensées de J.D. : - Oui, bon d’accord, je sais, je suis pas très doué.
J.D. : - Il faut pas que ce soit vrai ?
Turk : - Non. (S’adressant au chirurgien) Vas-y pleure, ça fait du bien.

Pensées de J.D. : - Elliot est toujours à la recherche de dérivatifs.
Elliot : - Oh, elle est trop belle, elle est magnifique. C’était de la folie d’acheter cette voiture, j’avais pas les moyens, je sais, mais c’était tellement bon pour le moral que je pense que ça vaut le coup. Pas vous ?
Livreur : - Moi, je suis seulement le livreur. Tenez, elle est à vous (il lui lance les clés et une voiture lui arrache sa portière).
Elliot : - Merde !

Carla : - Mme Farr souffre toujours de douleurs abdominales.
Mme Farr : - Alors, dites-moi ce qui ne va pas, docteur.
Pensées de J.D. : - Oh, la la, mais j’en sais rien, j’en ai aucune idée moi. Bon, pas de panique. Fais ce que font tous les médecins dans ce cas-là, un faux bip. (Son biper sonne.)
J.D. : - Oh, oh, hey, j’ai un appel code 3 dans le couloir.
Mme Farr : - Qu’est-ce que c’est ?
J.D. : - Un code 3, c’est pas aussi grave qu’un code 4 mais c’est beaucoup plus sérieux qu’un code 2 (il se prend un brancard en sortant de la chambre).
Carla (à Mme Farr) : - Ça c’est un code 2.

J.D. : - J’arrive pas à savoir ce qu’à Mme Farr. Il faut que je demande à Cox.
Turk : - Pourquoi tu me demandes pas ?
J.D. : - T’es chirurgien, les gens tu les découpe, t’es pas capable de les soigner.
Turk : - Ah, oui.

Dr Kelso : - Perry, excellente nouvelle. J’ai obtenu que ce soit vous qui puissiez vous rendre au pénitencier aujourd’hui pour faire le bilan de santé trimestriel des prisonniers.
Dr Cox : - Fichez-moi la paix, Bobby. Si vous voulez me virer, dites-le tout de suite.
Dr Kelso : - Ça me ferait plaisir mais bien que cette pièce ait été remplie de monde quand vous m’avez frappé, il me semble que personne n’a rien vu, malheureusement.
(Ted rigole dans son dos et le Dr Kelso se retourne vers lui.)
Ted : - Qu’est-ce qu’il fallait voir monsieur ?

J.D. : - Euh, Dr Cox, vous pouvez regarder ce dossier ?
Dr Cox : - Bizut, t’as pas vu ce qui vient de se passer ou t’as rien compris ? Kelso a été tellement méchant avec moi que j’ai failli pleurer et fondre en larmes.

Pensées de J.D. : - Elliot jouait toujours de malchance. Cette fois c’était avec le chef de service de radiologie.
Elliot : - Dr Moyer, vous m’avez dit que mon patient avait une colite alors qu’il souffre d’une simple turista.
Dr Moyer : - Et alors, quoi ? C’est plutôt une bonne nouvelle.
Elliot : - Euh, oui, pour lui c’est une mauvaise nouvelle peut-être à cause de toutes les analyses inutiles et des deux coloscopies que je lui ai fait subir.
Dr Moyer : - Qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse ?
Elliot : - Vous pouvez présenter vos excuses à mon patient et lui expliquer que… que vous vous êtes trompé.
Dr Moyer : - Je crois que je vais m’abstenir sur ce coup-là. Vous voyez j’ai compris que vous êtes une petite mollassonne dépourvue de tripes, ce qui ne me posera jamais aucun problème quoi que je fasse. Alors merci d’être passée me voir et n’oubliez pas votre portière.
Elliot : - C’est parce que j’ai peur qu’on me la vole.

Ted : - Alors, vous êtes fiancée avec ce chirurgien ?
Carla : - Mmm.
Ted : - C’est sérieux entre vous ?
Carla : - Non, Ted, c’est pour rire. (Ted lève le poing.)

Dr Cox s’adressant au Dr Kelso :
- Hey, Bobby ! Ecoutez, je me demande si vous ne pourriez pas envoyer quelqu’un d’autre que moi à la prison ce soir. Oui, je me rends compte que la seule idée de me rendre service ou de me faire plaisir vous fait grincer des dents et serrer les mâchoires si forts comme en avalant un morceau de charbon, vous pourriez probablement recracher un diamant. Non ?

Dr Cox : - Aller, Bobby, je ne me rappelle même plus la dernière fois que j’ai vu mon fils, et vous, vous êtes père, vous avez des enfants, vous devez savoir ce que c’est.
Dr Kelso : - Mon fils vient juste de se faire jeter de sa secte Hari Krishna qui lui reproche de se montrer un peu trop hippie et il réside actuellement dans un des couloirs du métro de Portland. Ce que je veux dire par là, Perry, c’est que la seule chose qui m’intéresse moins que mon fils… c’est votre fils. Bonne soirée au pénitencier.

Carla : - Hey, les garçons, vous savez ce type qui est tellement beau, le nouvel anesthésiste ?
J.D. : Oui (en même temps) Turk : - Non.
J.D. : - Non.
Carla : - Il savait pas que j’étais fiancée alors il m’a invité au cinéma.
Turk : - Et si c’est lui qui paye, tu peux me rapporter un esquimau ?
Carla : - Turk, tu sais ce que c’est la jalousie ?
Turk : - Ben, regarde-moi. Comment veux-tu que quelqu’un d’aussi bien que moi soit jaloux de gens aussi nuls !

Elliot : - Vous savez ce que je me suis dit en traînant partout ma portière ? Que j’arrive pas à me rappeler une seule bonne chose qui me soit arrivée dans cet hôpital. Pourquoi on me traite aussi mal ? Qu’est-ce qui va pas chez moi ?
Carla : - Tu manques de confiance.
Turk : - Quelquefois, tu parles comme un bébé.
J.D. : - Ta voix devient très aigüe quand tu t’énerves.
Elliot : - C’était une constatation, pas une question.

Sean : - Hey ! Elliot, qu’est-ce que tu deviens ?
Elliot : - T’es tout beau. Enfin à part la coupe militaire qui me rappelle un rêve récurrent où mon père m’obligeait à épouser un militaire qui s’appelle Johnny Cakes et dont je découvre très vite qu’il a déjà une femme aux Philippines, et ensuite elle et moi, on devient amie mais après elle l’étouffe entre ses cuisses et c’est moi qu’on accuse du meurtre.
Sean : - Oui, moi aussi, oui, oui, ça va bien, oui.

Sean : - Je croyais que tu détestais ce bar depuis que tu y as été malade ?
Elliot : - Tu te rappelles ?
Sean : - Oui… tu m’as vomi en plein visage.
Elliot : - Oh non, j’étais pas malade. Tu as dit que tu étais amoureux de moi et moi, quand je suis impressionnée, j’ai des hauts le cœur.
Sean : - Oui, je comprends ça, moi aussi, ça me donne des… des gaz.

J.D. : - Vous ne prendrez pas le petit déjeuner avec nous, demain.
Mme Farr : - Pourquoi, je rentre chez moi ?
J.D. : - Non, le cuistot est mort.

Turk (parlant de Carla) : - Hey, elle dit qu’elle veut pas te laisser. Et moi, je vais pas abandonner ma fiancée au milieu d’une bande de toquards qui ne pensent qu’à la mater dès que je tourne la tête.
Carla : - Tu n’arrives même pas à faire semblant d’être jaloux alors ne te donnes pas tant de mal.

Dr Cox : - Regardez, c’est mon fils (il tend une photo à un prisonnier).
Prisonnier : - Il est adorable. Je peux garder la photo ?
Dr Cox : - Non, non ! C’est absolument hors de question.

Infirmière Roberts : - Ça va s’arranger mon petit marshmallow.
Elliot : - Vous m’appelez marshmallow parce que je m’aplatis facilement et que je suis molle ?
Infirmière Roberts : - Oui. Mais si ça peut vous rassurer, c’est aussi parce que vous êtes rose et blanche.

J.D. : - Ecoute, je sais que tu es le seul technicien de service ce soir mais j’ai besoin d’une petite radio pour être sur que Mme Farr ne fait pas d’obstruction.
Laddy : - Non, non, non, non. Je veux pas savoir qui c’est ! Je veux pas savoir ce qu’elle a ! Moi je fais clic, clic et elle se barre. Ta bonne femme est à peu près la quarantième sur la liste. Tu connais la règle. Aucun passe droit.

(Après avoir fait une radiographie)
Laddy : - Et comme j’étais allongé sur toi, je peux faire croire à tout le monde que j’ai radiographié des siamois. Ce sera cool, non ?
J.D. : - Oui, c’est tellement cool qu’il faudra jamais le raconter à personne.

Turk : - Je ne comprends pas comment tu as convaincu le cardiologue de faire l’examen pour nous.
Carla : - J’ai travaillé en cardiologie et je sais comment ce type fonctionne. Et on a eu une petite aventure autrefois.
Turk : - Attends, oh. Tu vaux dire que t’as couché avec lui ?
Carla : - Turk, j’ai travaillé huit ans ici avant que tu arrives, fallait bien que je me défoule.
Turk : - Ouais, ben, laisse-moi te dire que c’est dégoutant.

Carla : - Bonsoir, Mitchell. Je me demandais si t’accepterais de nous aider avec une patiente, Mme Farr.
Mitchell : - Oh, je l’aurais fait volontiers mais euh… il est déjà six heures et c’est l’anniversaire de mon fils ce soir alors…
Carla : - Quel âge il a ?
Mitchell : - Dix ans.
Carla : - Et c’était quand cette soirée où tu m’as dit que tu étais célibataire et où tu m’as emmené danser ?
Mitchell : - Il y a huit ans. C’est bon, tu peux me l’amener.

Jordan : - T’aimes bien son costume ?
Dr Cox : - J’ai toujours rêvé d’être le père d’un petit marin efféminé. Ce n’est pas vrai, Jordan, on s’était mis d’accord pour attendre qu’il ait cinq ans avant de commencer à fiche sa vie en l’air, tu te souviens ? C’est pas vrai ?
Jordan : - C’est pour ça que je ne lui ai pas verni les ongles des pieds.

J.D. : - Dr Cox, j’ai obtenu qu’on fasse des examens à Mme Farr…
Dr Cox : - Ecoute, Gwendoline. Maintenant tu dois être assez grand pour comprendre. Ça fait des années que je me bats pour vous élever et je n’y ai rien gagné à part des problèmes. Et là, tu vois ce soir, ce sont les cinq premières minutes depuis plus d’une semaine que je passe avec mon fils. Et je n’ai pas la moindre envie de te voir pirouetter autour de moi alors que mon cœur se brise dans ma poitrine.
J.D. : - Désolé. (J.D. s’en va)
Jordan : - Ton cœur se brise dans ta poitrine (le Dr Cox hoche la tête puis montre leur fils) ? Ça va le traumatiser, pauvre chou.
Dr Cox : - Oui, oui, t’as raison.

Elliot : - Qu’est-ce que vous faites là ?
Le concierge : - Ce sont… les toilettes des hommes.
Elliot : - Je sais bien. Enfin… c’est pas comme si que j’avais cru que c’était de nouveaux urinoirs pour fille… que je les avais essayés et… trouver… très confortables.

Elliot : - Et vous, ça vous arrive de vous regarder dans le miroir et souhaiter être quelqu’un d’autre ?
Le concierge : - Non, je suis un battant moi. Mais, je vais vous dire quelque chose que ma grand-mère m’a dit quand j’étais petit. Encore qu’à l’époque, je croyais que c’était ma mère. Elle a dit « le temps passé à espérer est du temps perdu à jamais ». Et tout de suite après, elle est morte. Et ma sœur, qui en fait était ma mère, s’en ait jamais remise. Ni mon papa-frère d’ailleurs. C’est simple, si vous avez envie d’être différente… soyez différente.

Dr Moyer : - C’est moi le chef du service de radiologie. Vous m’avez fait revenir de chez moi pour faire un scanner qui pouvait attendre tranquillement demain matin, vous vous foutez de moi ?
J.D. : - Ecoutez Dr Moyer…
Dr Moyer (criant) : - CE SONT MES MACHINES.
Carla : - Monsieur…
Dr Moyer (criant) : - MES MACHINES.
Turk : - Vos machines ?
Dr Moyer (criant) : - MES MACHINES.
J.D. (s’adressant à Turk) : - Mais non, tu l’énerves.
Dr Moyer (criant) : - CE SONT MES MES MES MACHINES, MES MACHINES…

Dr Kelso : - Oh, vous allez encore me frapper, c’est ça ? Franchement, Perry, faire du mal à un vieil homme, ça ne vous dérange pas ?
Dr Cox : - Du calme, je veux juste réparer votre nez.

Dr Cox : - Je suis vraiment désolé de vous avoir cogné dessus, Bob, je n’aurais pas dû faire ça. Même si je me suis senti tellement bien après l’avoir fait qu’il a fallu que je change de pantalon. Mais quand même… Je commence à me dire que ce ne serait peut-être pas bête que vous et moi, on enterre la hache de guerre. Qu’est-ce que vous en dites Bob ?... C’est bon, je le savais (le Dr Kelso rigole et lui tape sur le bras).
Dr Kelso : - Ecoutez, petit crétin, vous serez toujours ma bête noire. Je peux pas supporter votre tête et j’attends avec impatience le jour où je pourrais vous enfoncer un poignard dans le dos et en finir une bonne fois pour toute. Vous le savez aussi bien que moi.
(Le Dr Cox redresse le nez du Dr Kelso.)
Dr Kelso : - C’est beaucoup mieux, merci.
Dr Cox : - Je vous en prie.
Dr Kelso : - Ne croyez pas que les gens changent, Perry.

Elliot s’adressant au Dr Moyer :
- Dr Moyer, vous allez faire ce scanner à Mme Farr et je vais vous dire pourquoi. Vous vous rappelez le mauvais diagnostic que vous avez fait sur mon patient ? Et bien je vais lui dire que c’est votre faute à vous et ensuite je passerais autant d’heures qu’il le faudra à lui expliquer comment il peut vous coller un procès et réclamer des dommages et intérêts et ça, même si je dois me faire virer. A vous de voir, Moyer.

Pensées de J.D. :
- Grâce à notre travail d’équipe, on a réussi à assembler toutes les pièces du puzzle et on a pu regarder Mme Farr dans les yeux et lui dire… qu’on savait toujours pas ce qu’elle avait.

Pensées de J.D. : - Le statu quo, c’est bon pour le travail. Et en plus, c’est rassurant.
Dr Cox : - Mais, non, je n’aurais jamais trouvé si vous n’aviez pas fait tout le travail, avant. C’est vous qui avez tout le mérite. Vraiment ! (Il se tourne vers Mme Farr.) Mme Farr, le Dr Cox a trouvé tout ce que vous aviez. Est-ce que je ne suis pas génial ? Je vais vous expliquer. (Il ferme la porte au nez de J.D., Turk, Carla et Elliot.)
Pensées de J.D. : - Et quand quelque chose change, ça vous rappelle en général, que vous êtes toujours le même.

* Musiques de l’épisode :
- Faith de George Michael (Chantée par Zach Braff au début de l’épisode.)
- Beautiful Day de U2 (Quand Turk et J.D. pénètre dans l’hôpital au début de l’épisode.)
- American Girl de Tom Petty et The HeartBreakers (Quand Elliot déchire ses affaires et change de look.)
Membres additionnels de la production

Producteur exécutif : Bill Lawrence (III)
Co-producteur exécutif : Tim Hobert, Matt Tarses , Eric Weinberg
Producteur : Randall Keenan Winston
Co-producteur : Liz Newman, Mike Schwartz (II)
Musique : Jan Stevens
Montage : John Michel
Directeur de la photographie : John Inwood
Création des décors : Cabot McMullen
Producteur associé / délégué : Danny Rose
Analyse du scénario : Angela Nissel
Assistant montage : Timothy Serda
Chef accessoiriste : Paul Iannizzotto
Chef décorateur : Brian Kasch
Coiffeur : Scot Williams
Consultant médical : Dr Jonathan Doris, Dr Dolly Klock
Coordinateur de la production : Hillary Simone Hirsch
Coordinateur de Post-Production : Nicola Scaramuzzo
Costumes / Costumière : Carey Bennett
Directeur des opérations : Irwin Marcus
Distribution des rôles : Brett Benner, Debby Romano
Maquilleur : Darla Albright
Montage de l'histoire : Janae Bakken, Debra Fordham, Mark Stegemann
Premier Assistant Réalisateur : Richard A. Wells
Second Assistant Réalisateur : Franklyn M. Gottbetter
Supervisation du scénario : Denise Karey
Superviseur de la production : Gabrielle Allan, Garrett Donovan, Neil Goldman
Superviseur du montage son : Mitchell C. Gettleman

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Mise à jour le : 07/06/2011 à 16:44