Ca fait maintenant trois jours que le Grand Timonier est au FIPA, en compagnie de Carine d’Annuseries (le site des fous qui notent les noms du troisième assistant Régie sur des séries de 1963). Certains pensent que ça fait peu pour une telle couverture. Mais n’ai crainte, lecteur assidu, un autre membre du Village va les rejoindre, et ce dès demain.
N’ai crainte mais pondère ta joie. Range cotillons et instruments de fêtes. Ne débouche pas le champagne. Parce que ce n’est pas moi. Non, la personne qui va à Biarritz demain, c’est la demoiselle qui officie sur ces pages depuis quelques mois seulement et que j’appellerai sans animosité : « Numéro 3 ». El Presidente a préféré la jeunesse, la blondeur et les yeux bleus à l’âpreté sans concession d’un homme de talent. Et je ne nomme personne.
En plus ce choix est incohérent : « Hero Corp » n’est pas au FIPA. Simon Astier non plus. Impossible donc, de – respectivement – parler de l’un et séquestrer l’autre pendant huit heures sans eau ni nourriture pour lui demander quelle est sa marque de chaussette préférée. Je ne comprends pas ce choix, il me dépasse et me révolte.
De plus, je tiens à souligner un élément qui me surprend énormément dans la première page de votre webzine préféré (sous-entendu, le nôtre). Mon article publié hier soir arborait une merveilleuse photo d’un étalage d’écrans LCD. Illustration habile en accord avec un article de fond qui traitait intelligemment des rayons hi-fi de magasins de grande consommation.
Et que vois-je sur les deux articles publiés dans la foulée par notre Gourou ? « Bistro FIPA – 24 janvier : nos attentes » illustré par une image étrange qui fait penser à des écrans de projection, « FIPA CI, FIPA CA — La télé doit-elle faire son cinéma ? (mardi 25 janvier) » illustré par un écran LCD. Des idées visuelles d’où transpirent mon influence. Et c’est Numéro 3 qui vient jeudi…
Sans animosité aucune.
Enfin… je ne suis pas mesquin, mais je leur prépare des bonnes petites surprises à leur retour, à ces deux-là. Déjà, je vais faire croire au Capitaine mon Capitaine qu’il a une entrevue avec Russel T. Davies arrangée dans un endroit uniquement accessible après un trajet en téléphérique de quatre heures, et soumis à des températures bien en-deçà du négatif. Ensuite, je vais dire à Numéro 3 qu’il existe une chance qu’« Hero Corp » ait une saison 3, à la seule condition qu’elle enchaîne 74 flashs mobs sur 3 continents en 21 jours.
Ca leur apprendra à pas m’inviter à Biarritz…
Dernière mise à jour
le 25 janvier 2011 à 15h24