Pushing Daisies

Ici, à pErDUSA, on travaille quoiqu’il arrive. On s’efforce de tenir des délais insurmontables, de vous contenter vous qui êtes toujours plus pressants, qui mettez nos nerfs à rude épreuve, on vous guide, on vous aide, on veille sur vos écrans comme un ange le ferait sur un Caprice des Dieux, on se montre parfois injustes avec vous, mais c’est pour votre bien. C’est pourquoi, malgré la fièvre qui dévore mon corps tout entier, justifiant mes divagations, malgré les tremblements (...)

Je suis courageuse. Très courageuse, comme le prouve mon retard – That one never gets old. Mais voilà, il est justifié. Justifié car, une fois n’est pas coutume, j’avais peur. Peur ? Mais pourquoi, vous demandez-vous. Non, cessons de nous servir de lui comme d’un bouc émissaire, ce n’était pas la faute de Ju. Pourquoi, donc. Et bien voilà, on vous ment ! Ce que vous ignorez, c’est que Bryan tente de me faire garder le silence face à sa rentrée désastreuse. Et pour cela, il m’envoie des (...)

L’épisode de cette semaine... Bon, d’accord, pas de secrets entre nous. Oui, il date d’il y a plus d’un mois. Mais je vous vois venir. Non, ce que les mauvaises langues appellent du retard n’est rien de plus que de la conscience professionnelle : Pushing daisies étant proche de l’annulation, je pense à vous, pauvres lecteurs, et m’assure de vous laisser de la lecture pour toute l’année, et ce au péril de ma vie, endurant la crainte que m’inspire Ju sans sourciller, et presque sans (...)

At this very moment, precisely, Pushing Daisies was one year, two months, a week, two days, fifteen hours and eleven minutes. It was a young show, made with love, by an half-human half-god named after his mother’s goldfish, Bryan Fuller. Pushing Daisies, fable des temps modernes, comme ne manque pas de nous le rappeler la pompeuse et répétitive voix-off en usant et abusant d’un langage vieillot, nous conte la vie d’un piemaker sociopathe, décidé à semer la désolation dans son entourage, (...)